Le CLESI peut donc continuer à enseigner en attendant que l’appel déposé par son président, Bruno Ravaz soit jugé sur le fond, en mai prochain !
Selon l’UJCD, le CLESI qui ne remplit toujours pas les conditions requises pour dispenser un enseignement sur le territoire français, doit désormais franchir trois obstacles. D’ici au 21 décembre, il doit signer des conventions avec des établissements de santé et au moins une université dans l’Union Européenne. Il doit ensuite gagner devant la cour d’Appel en mai prochain. Mais Le Clesi doit aussi faire valider les enseignements dispensés « jusqu’à l’hypothétique devenir de cet établissement ». L’UJCD affirme que si Le Clesi devait fermer, le ministère a affirmé qu’il « s’opposerait à toute passerelle avec une filière relevant du numerus clausus de santé, dans une université française diplomante ».
Pour l’UJCD donc, « le combat continue » sur le « long chemin encore à parcourir » pour obtenir la fermeture du Clesi.
ACD