Série de perquisitions dans la profession
Des perquisitions ont eu lieu mardi 5 mai à la demande l’Autorité de la concurrence, au Conseil national de l’Ordre, dans quatre conseils départementaux (Bouches du Rhône, Haut-Rhin, Isère, Dordogne), au siège de la FSDL et dans trois de ses sièges régionaux ainsi qu’au cabinet du président du syndicat.
Patrick Solera explique qu’il ne mène pas d’action contre Santéclair et « n’appelle pas au boycott ». Le rôle de la FSDL est, pour son président, de « défendre nos adhérents qui reçoivent des courriers de patients disant qu’ils ont été volontairement détournés. On défend nos adhérents en envoyant des avocats lors des chambres disciplinaire contre les praticiens qui bénéficieraient de ces publicités et de ces détournements », continue le président de la FSDL, bien décidé à ce que ce type de procédure se poursuive.
L'ordonnance du TGI avance aussi la possibilité d'une « seconde pratique illicite présumée » qui consisterait en incitation au boycott des centres dentaires dits low cost.
ACD