L’une des questions posées lors du concours le 30 mai dernier avait déjà été utilisée comme sujet d’étude à la faculté de Reims en 2010. Cette situation créait une « rupture d’égalité entre les candidats » susceptible d’entraîner « l’annulation du concours en cas de contentieux ». « Nous ne comprenons pas et trouvons inadmissible qu’une erreur aussi grossière ait pu avoir lieu », écrit le syndicat des internes (SNIO) qui apporte son soutien à tous les étudiants devant repasser le concours. L’UNECD a déploré cette « erreur invraisemblable au regard du temps et de l’énergie engagés par les étudiants ».