Quelle place pour l’empreinte optique dans les cabinets dentaires ?
 
Quelle place pour l’empreinte optique dans les cabinets dentaires ?

28/08/2012

Quelle place pour l’empreinte optique dans les cabinets dentaires ?

L’empreinte optique peine à prendre place dans les cabinets dentaires. Les quelques praticiens équipés font encore figure de pionniers. Des pionniers convaincus. Christian Moussally qui utilise un appareil Cerec depuis dix ans par goût pour le contrôle de la chaîne de fabrication de A à Z, est un inconditionnel.

La prise d’empreinte est plus pratique et plus rapide qu’avec une pâte et surtout le modèle qui apparaît à l’écran lui permet de vérifier si la préparation a été bien faite. Au moindre défaut, l’empreinte est refaite dans la même séance.

Jean-Luc Berruet s’est équipé beaucoup plus récemment quand il a estimé la technologie suffisamment avancée pour pouvoir réaliser tous les artifices de prothèse fixée, même les plus complexes. Avec son appareil iTero, développé par l’américain Cadent, il n’a rencontré que trois limites techniques sur les 200 cas traités jusqu’à aujourd’hui pour lesquelles il s’est remis à l’empreinte classique.

Quant à Brigitte Vignal, attirée depuis longtemps par cette technique qui permet d’obtenir une grande précision pour faire des reconstitutions et persuadée, cette praticienne a sauté le pas très récemment et plus tôt que prévu quand elle a découvert que la caméra Lava COS lui permettait aussi de simplifier les étapes de l’implantologie.

Retrouvez l'intégralité de l'enquête dans le numéro de Clinic du mois de septembre


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