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  • Dans l’ensemble des systèmes implantaires, il existe deux systèmes de connexion à deux étages entre la suprastructure et l’implant : les systèmes à emboîtement parallèle (également appelés « à joint plat ») et les systèmes à interface conique. Ces derniers, fondés sur l’emboîtement de deux cônes normalisés, apportent une augmentation maximale de la surface de contact entre les deux pièces, ce qui évite les micromouvements et assure ainsi une plus grande stabilité de la connexion pilier-implant. Le cône morse permet aussi une meilleure répartition des contraintes et une distribution optimale des forces sur l’os péri-implantaire.
  • Au début de l'implantologie, les bridges implanto-portés étaient limités aux arcades mandibulaires totalement édentées. Cette technique s'est ensuite étendue au maxillaire et tout particulièrement au prémaxillaire. Dans ce dernier cas, les difficultés sont alors devenues plus importantes. En effet,...
  • Lors de reconstructions implanto-prothétiques, il arrive souvent que le volume osseux ne soit pas satisfaisant. Pour le restaurer, en réalisant le meilleur choix thérapeutique, il est nécessaire de bien considérer les indications et de maîtriser les techniques de reconstruction (ROG ou greffes à l’aide d’os pariétal, iliaque, rétromolaire, allogénique, etc.) ou encore utiliser des implants courts devenus une indication thérapeutique avérée.
  • INTRODUCTION Il est communément admis que plus un implant est long, plus son taux de succès est élevé à long terme. Ce postulat de la longueur des implants était fondé sur le principe de l’ancrage bicortical censé diminuer a priori les contraintes sur l’os entourant les implants mais il permettait...
  • La technique implantaire ne cesse d'augmenter notre potentiel de réalisations prothétiques, là où les conditions anatomiques paraissaient défavorables. Au maxillaire, dans les secteurs latéraux, la faible hauteur d'os résiduel ainsi que la pneumatisation du sinus constituent deux difficultés...
  • Le traitement de l’édenté complet mandibulaire a connu de nombreuses évolutions au cours des dernières décennies et les possibilités actuelles de traitement vont de la simple stabilisation par deux implants d’une prothèse amovible à la réalisation de prothèses fixes ostéo-ancrées. Si, dans la majorité des cas, la symphyse mentonnière offre un volume osseux compatible avec la mise en place d’implants dentaires, il est parfois nécessaire, dans certains cas d’atrophie sévère, de réaliser des augmentations osseuses. Le cas clinique présenté dans cet article montre qu’il peut parfois exister des solutions simples pour réaliser des greffes osseuses autogènes volumineuses sans obligatoirement avoir recours aux prélèvements extra-oraux.