Complications précoces et échecs à court terme de couronnes unitaires et de prothèses fixées partielles en zircone - Implant n° 2 du 01/05/2015
 

Implant n° 2 du 01/05/2015

 

REVUE DE PRESSE

Prothèse

Thierry Neimann  

Le but de l’étude était d’évaluer les complications précoces et les échecs à court terme de couronnes unitaires et de prothèses dentaires fixes partielles (PDF) en zircone réalisées par des étudiants dentaires.

Les données ont été recueillies à partir des dossiers des patients. Au total, 264 couronnes unitaires en zircone et 120 bridges (342 piliers et 190 pontiques) ont été fabriqués pour 173 patients entre 2007 et 2010. Les complications précoces ont été...


Le but de l’étude était d’évaluer les complications précoces et les échecs à court terme de couronnes unitaires et de prothèses dentaires fixes partielles (PDF) en zircone réalisées par des étudiants dentaires.

Les données ont été recueillies à partir des dossiers des patients. Au total, 264 couronnes unitaires en zircone et 120 bridges (342 piliers et 190 pontiques) ont été fabriqués pour 173 patients entre 2007 et 2010. Les complications précoces ont été enregistrées au cours de la phase de traitement prothétique et les échecs à court terme l’ont été au cours de la première année d’utilisation.

Les complications précoces les plus fréquentes ont été une irritation localisée de la gencive (1,9 % de couronnes unitaires et 2,5 % de PDF) et une sensibilité dentaire postopératoire (0,4 % de couronnes unitaires et 3,3 % de PDF). L’exposition de la pulpe pendant la préparation a été enregistrée pour 3 dents piliers de bridge. L’échec le plus fréquent à court terme était une écaille de la céramique cosmétique (0,8 % aussi bien pour les couronnes unitaires que pour les PDF).

Une couronne s’est descellée en raison d’une mauvaise rétention (0,4 %) et 2 bridges ont échoué en raison de fracture de l’armature (1,7 %).

Les auteurs concluent que les complications précoces les plus fréquentes ont été une irritation localisée de la gencive et une sensibilité dentaire postopératoire, et l’échec à court terme le plus fréquent était la perte d’écaille de la céramique cosmétique.

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