Entre finalité prothétique et moyen implantaire, les connexions implant-prothèse
 
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26/05/2021

Entre finalité prothétique et moyen implantaire, les connexions implant-prothèse

Quelles sont les connexions disponibles ? Quel est leur comportement mécanique ? Sont-elles stables et étanches ? Quel est l’intérêt du déport jonctionnel horizontal ? Quelle adaptation et passivité des connexions reliées par l’armature ? Autant de réponses que Julien Pacchioni, Pascal Auroy et Jean-Luc Veyrune synthétisent dans ce dossier. 

La somme des compétences des 10 praticiens de l’UFIO (unité fonctionnelle d’implantologie orale) du CHU de Clermont-Ferrand, en interaction constante, produit des articles originaux, synthèse des connaissances spécifiques. C’est le cas des 2 articles de ce dossier :

- la connexion entre le pilier et l’implant ;

- la passivité et l’adaptation de ces interfaces situées entre la finalité prothétique et son moyen implantaire.

En 1994, lorsque fut créée l’UFIO, les connectiques disponibles étaient principalement des hexagones externes. La connexion entre le pilier et l’implant n’était que le moyen de les solidariser entre eux.

Depuis, le foisonnement des concepts a permis des progrès importants. Il a surtout permis de comprendre que le choix du type de connexion conditionne la pérennité du traitement en assurant durablement la transmission des contraintes occlusales à l’implant et aux tissus de soutien.

Quelles sont les connexions désormais disponibles ? Quel est leur comportement mécanique ? Sont-elles stables et étanches ? Quel est l’intérêt du déport jonctionnel horizontal ? Ce sont autant de réponses que Julien Pacchioni et Pascal Auroy, en  s’appuyant sur la littérature scientifique et en croisant leurs regards, synthétisent dans cet article.

Dès lors que les implants unitaires sont réunis par une prothèse plurale, apparaît la problématique de l’adaptation et de la passivité des connexions reliées par l’armature. Jean-Luc Veyrune détricote ces deux notions intriquées, afin de les rendre plus intelligibles. Bien que la passivité et l’adaptation absolue soient difficiles à obtenir, il existe un consensus pour dire quelles sont les prérequis incontournables à la pérennité des thérapeutiques prothétiques des bridges implantaires. Entre passivité et adaptation, quels sont les concepts, les enjeux et la pratique clinique ?

Sommaire de CLINIC mai 

Pascal Auroy


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