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  • Les traumatismes dentaires figurent parmi les affections les plus fréquentes de la sphère orale aux côtés des caries dentaires, des maladies parodontales et des cancers de la cavité buccale [1]. Ces situations représentent pourtant un défi pour le praticien qui doit garder à l’esprit le caractère...
  • La pratique sportive régulière est essentielle pour la santé car elle apporte un bien-être physique, mental et émotionnel. Elle contribue aussi à offrir des opportunités sociales en favorisant les interactions sociales, en renforçant le sentiment d’appartenance à une communauté et en cultivant des...
  • La restauration d’une dent délabrée en méthode indirecte place le praticien devant le difficile choix du type de recouvrement à envisager et du mode d’assemblage à privilégier. L’arbre décisionnel de réhabilitation de l’organe dentaire renvoie au gradient thérapeutique proposé par Gil Tirlet et Jean-Pierre Attal dès la fin des années 2000 [1]. Le traitement de premier choix, face à une perte de substance importante impliquant une ou plusieurs cuspides, est la restauration indirecte collée, réalisée, au cabinet ou au laboratoire de prothèses, après empreinte physique ou numérique. Contrairement à une restauration en méthode directe, elle permet un contrôle précis du profil d’émergence, d’une occlusion pérenne et des points de contact de la dent à reconstruire. L’utilisation d’une résine composite en méthode directe est cependant tout à fait indiquée dans de nombreuses situations cliniques car elle présente de nombreux avantages : une restauration de 1,5 à 2 mm peut être réalisée facilement au fauteuil en une seule séance. Les propriétés mécaniques sont proches de celles des tissus dentaires [2] et leur taux de survie est très bon jusqu’à plus de 10 ans [3] si le protocole de collage est respecté. Cependant, le respect de l’anatomie et le contrôle du point de contact ou du profil d’émergence restent difficiles à gérer. Ainsi, lorsqu’il faut réhabiliter plusieurs quadrants ou modifier l’occlusion, ou encore lorsque la restauration nécessite un recouvrement cuspidien, la restauration indirecte devient alors plus évidente pour le clinicien.
  • [Première parution : Stratégie prothétique 2022;22(2):76-84] De nouveaux composites dits injectables ont vu le jour récemment. Ils se présentent sous forme fluide mais ont des propriétés optiques et mécaniques qui permettent leur utilisation comme composite de restauration [1, 2]. Ces matériaux ont...
  • Une perte de calage postérieur (PCP) engendre une adaptation musculo-articulaire, une modification de la répartition des contraintes sur les dents résiduelles et le parodonte. Ces répercussions créent un terrain à risques de dysfonctionnement temporo-mandibulaire (DTM), de lésions dentaires et/ou parodontales. De plus, si les dents antagonistes sont présentes et qu’aucune réhabilitation n’est entreprise, l’espace prothétique vertical initial diminuera progressivement. Au vu de ces risques, et idéalement de façon préventive, la prise en charge des pertes de calage postérieur est indiquée, le recours aux restaurations implantoportées restant le traitement de référence dans ces situations cliniques. Cependant, à ce jour, aucun consensus n’existe concernant les protocoles chirurgicaux et prothétiques pour les réhabilitations implanto-portées dans les cas de PCP. L’objectif de cet article est d’analyser les différentes situations et de proposer une approche clinique basée sur les données de la littérature.
  • L’objectif de toute réhabilitation implantaire est le remplacement des dents absentes. Or, la morphologie des couronnes supra-implantaires est dépendante de la position de l’implant, de la morphologie des tissus mous péri-implantaires et de l’espace prothétique disponible. La réalisation d’une prothèse supra-implantaire implique donc une réflexion aboutie tant pré- que post-chirurgicale pour concevoir une couronne qui respecte à la fois la biologie, la fonction et l’esthétique. Au travers de cet article, nous proposons donc d’aborder les points importants à prendre en compte pour obtenir un résultat prothétique supra-implantaire optimal sur le long terme.
  • La chirurgie endodontique guidée, dont le développement a débuté voici une vingtaine d’années, est encore en pleine évolution. Son utilisation peut être particulièrement bénéfique pour le praticien débutant, mais aussi pour le praticien expérimenté confronté à des situations complexes. Cet article illustre ces usages à travers 4 cas cliniques.
  • Dans un article de la prestigieuse revue Periodontology 2000, en 2023, Roccuzzo et al. présentent la péri-implantite comme une conséquence d’erreurs techniques commises en thérapeutique implantaire [1]. Les erreurs mises en évidence par les auteurs et décrites comme à l’origine de la...
  • Une péri-implantite… Une péri quoi ? Non, connais pas, pas de ça chez moi ! Ça, c’était le discours que l’on pouvait parfois entendre, disons il y a quelques années. D’ailleurs, très peu de statistiques sur les péri-implantites et leurs issues plus ou moins heureuses étaient disponibles. La...
  • Le processus coronoïde, ou apophyse coronoïde, est une saillie osseuse antérieure du bord supérieur du ramus de la mandibule, qui reçoit principalement l’insertion du muscle temporal. Dans le cadre d’une hyperplasie des processus coronoïdes, leur taille augmente, ce qui entraîne progressivement un...
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les sinus maxillaires et les fosses nasales étant en contiguïté anatomique avec l’arcade supérieure, le chirurgien-dentiste est très régulièrement confronté aux pathologies rhino-sinusiennes, et ce aussi bien de manière fortuite que face à un tableau symptomatique. Qu’elles soient de nature infectieuse, inflammatoire ou tumorale, ces pathologies se traduisent par une radio-opacité des cavités aériennes : une analyse fine des imageries ainsi que le recueil des symptômes et des signes cliniques sont essentiels pour orienter le diagnostic. L’étiologie dentaire étant une cause fréquente de sinusite maxillaire, la coordination entre ORL et chirurgien-dentiste permet d’améliorer significativement la prise en charge des patients.
  • Après un parcours chahuté, le statut d’assistant(e) dentaire de niveau 2 a été adopté au printemps 2023 (loi n° 2023-379 du 19 mai 2023 portant sur l’amélioration de l’accès aux soins par la confiance aux professionnels de santé).
  • En présence d’une malocclusion et/ou de malpositions dentaires, un traitement orthodontique est souvent requis mais il peut ne pas être suffisant sur le plan esthétique lorsqu’une anomalie est survenue au cours de l’éruption dentaire. Des techniques chirurgicales d’allongement des couronnes cliniques peuvent s’avérer nécessaires. Cette complémentarité orthodontie/parodontie souligne l’importance d’un diagnostic esthétique et fonctionnel commun entre orthodontiste et parodontiste.
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • La mise en charge précoce exige une séquence de traitement rigoureuse dont chaque étape doit être scrupuleusement respectée et validée avant de passer à la suivante. Néanmoins, avant de décrire le protocole en détails, il est important de définir le cadre dans lequel nous souhaitons intégrer notre...
  • Le traitement des usures dentaires représente l’un des défis majeurs de la dentisterie actuelle. L’attaque érosive, souvent combinée à des phénomènes concomitants d’abrasion et d’attrition, est à présent considérée comme l’un des principaux facteurs de perte tissulaire dentaire. Dans les...
  • L’usure dentaire (attrition, érosion) est un phénomène physiologique. Mais elle peut voir son évolution largement accélérée lorsqu’interviennent des facteurs aggravants, qu’ils soient intrinsèques ou extrinsèques. Les usures évoluent à bas bruit, de façon chronique et, lorsqu’on les...
  • Les atteintes non carieuses des tissus durs dentaires, telles que la perte érosive de substance dentaire, sont observées de plus en plus largement ces dernières années. La prévalence des atteintes clairement visibles est aujourd’hui estimée autour de 30 % [1]. Les raisons en sont notamment un...
  • Les lésions érosives résultent d’un processus d’exposition aux acides, quelles qu’en soient leurs origines, qui s’inscrit sur des périodes souvent longues de plusieurs années. Elles sont susceptibles de se superposer avec d’autres lésions des tissus durs ou des tissus parodontaux pour...
  • Depuis ces vingt dernières années, l’usure par érosion chimique connaît une augmentation exponentielle. Elle constitue désormais un réel problème de santé publique, pouvant impacter la qualité de vie des patients au niveau physique et psycho-social. Les signaux d’alerte étant faibles au stade...
  • Pourquoi s’intéresser à l’hypersensibilité dentinaire (HD) ? Parce qu’il semble qu’elle soit souvent sous-diagnostiquée (ses signes cliniques étant peu « spectaculaires » et les douleurs certes intenses mais intermittentes) mais aussi sous-traitée parce qu’il n’existe pas de consensus...
  • Les récessions tissulaires marginales ou récessions gingivales sont définies par le déplacement du tissu gingival marginal apicalement à la jonction amélo-cémentaire. Elles sont très répandues, avec une prévalence estimée à 50 % pour les sujets âgés de 18 à 64 ans et à 88 % pour les sujets...
  • Depuis 20 ans, nous assistons à une forte médicalisation de notre profession. Elle a été accompagnée par une évolution des pratiques qui s’orientent vers une activité en équipe multidisciplinaire et le recours fréquent à des compétences médicales multiples. Les examens biologiques de laboratoire...
  • L’obturation canalaire constitue une étape importante du traitement endodontique. Elle vise à sceller l’endodonte afin d’éviter une contamination ultérieure par les micro-organismes ou de permettre la cicatrisation d’une parodontite péri-apicale. La technique de condensation latérale à froid ou manuelle reste la plus enseignée en France. Dans la perspective d’amélioration de cette technique, une nouvelle variante assistée mécaniquement a été mise au point.