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  • Traiter les dents qui présentent des caries avancées ou qui nécessitent le remplacement de restaurations importantes met en avant les facultés à la fois de diagnostic, d’analyse clinique, de décision thérapeutique et de procédure opératoire du praticien. Des années d’expérience clinique sur les...
  • La sensation de « bouche sèche » touche 1 patient sur 5 (22 % de la population adulte). Elle peut survenir de manière physiologique (ex. : vieillissement, stress) ou être associée à un état pathologique (ex. : prise de médicaments sialoprives). Elle représente un enjeu majeur dans...
  • La perte de la vitalité pulpaire positionne la dent dans une phase finale pour laquelle des solutions de conservation sont toujours possibles. Bien que son pronostic soit diminué, on sait que les tissus persistants de la dent dépulpée sont peu modifiés, capables de résistance intrinsèque, et qu’ils restent durablement liés au parodonte par l’intermédiaire du cément et du ligament alvéolo-dentaire [1].
  • Dans le secteur antérieur, les enjeux de traitement portent sur l’obtention d’un résultat esthétique optimal. C’est le critère principal de la satisfaction du patient. On sait que le respect des objectifs de finition et de polissage des restaurations en composite conditionne le succès du traitement à court et moyen termes. Une attention particulière doit être apportée à cette étape pour reproduire un mimétisme tant des formes anatomiques que du rendu optique de surface. Après une première partie (Clinic n° 351, novembre 2016) consacrée à la description et à l’utilisation des séquences instrumentales de finition et de polissage, l’objectif de cet article est de détailler les gestes cliniques de cette procédure permettant d’obtenir un résultat reproductible pour l’intégration des restaurations composites sur les dents antérieures.
  • Les restaurations antérieures directes en résine composite sont une solution fiable pour compenser les pertes de substance avec une bonne intégration esthétique. Même dans le cas de reconstitutions importantes (angle ou traumatisme) à l’aide de techniques de stratification, ces traitements s’inscrivent dans une logique de préservation tissulaire à privilégier. Sous bien des aspects, ils constituent une thérapeutique de choix, à la fois pour le patient et pour la dent (coût, temps de mise en œuvre, atteinte des objectifs esthétique, biologique et fonctionnel, possibilité de réintervention). Cependant, bien que ces préceptes soient admis par une grande partie de la profession, rien dans la littérature scientifique ne permet d’affirmer que les restaurations en composite antérieures représentent la meilleure solution thérapeutique, ni la plus durable. L’analyse de la littérature scientifique a permis d’avoir une vision plus objective et de déterminer les paramètres de vieillissement de ces restaurations adhésives à moyen et long termes. Il apparaît que les facteurs patient, opérateur, matériau de restauration, protocole opératoire et localisation de la lésion influencent considérablement leur longévité.
  • Finition et polissage des restaurations composites
    La première partie de cet article (Clinic n° 351, novembre 2016) a détaillé et argumenté la bonne utilisation des séquences instrumentales à la disposition du praticien pour atteindre les objectifs cliniques requis de la finition et du polissage des restaurations en composite.Les études comparatives montrent clairement qu’il n’est pas nécessaire d’acquérir beaucoup d’instruments pour avoir un plateau technique adéquat. Au contraire, l’important est de faire le bon choix au niveau de l’instrumentation afin de rendre performant le protocole tout en le simplifiant pour consacrer un temps raisonnable à sa réalisation. Dans cette deuxième partie, la procédure clinique et le plateau technique concernant plus spécifiquement la séquence de finition et de polissage des restaurations composites postérieures vont être détaillés. Une prochaine et dernière partie s’intéressera aux spécificités pour le secteur antérieur, en intégrant l’importance des critères optiques.
  • L’intégration esthétique d’un traitement restaurateur, dans le secteur antérieur, est complète lorsque les résultats obtenus correspondent aux attentes du patient et du praticien. Cette réussite dépend de nombreux paramètres. Son résultat peut être maîtrisé en définissant le plus précocement et le plus clairement possible un véritable projet esthétique. Cet objectif relève non pas d’une démarche artistique plus ou moins talentueuse mais d’une approche biomimétique et systématique alliant diagnostic, communication et planification du traitement. Afin de faciliter les étapes essentielles du diagnostic et de la création du futur sourire, apparaissent depuis plusieurs années de nouveaux outils permettant la création de projets esthétiques virtuels assistés par ordinateur. Ce travail propose un mode d’emploi accessible à tous permettant de réaliser son premier projet virtuel.
  • En dentisterie restauratrice, les propositions de traitement engageant la préservation tissulaire et les restaurations adhésives se sont imposées depuis plus de 20 ans. Cela a été un véritable changement de paradigme pour l’approche opératoire des préparations cavitaires, des tissus durs mais aussi plus récemment, pour la préservation de la vitalité pulpaire même pour des atteintes carieuses profondes atteignant le tiers interne dentinaire. Pour mettre en œuvre ces concepts, chaque praticien doit être convaincu de leurs avantages et maîtriser la réalisation des procédures. Un grand nombre de données scientifiques, dont certaines évaluations en cours actuellement (programme hospitalier de recherche clinique DECAT), tendent à montrer que cette démarche doit devenir le gold standard pour nos traitements. L’objectif de cet article est de faire le point sur les recommandations de la littérature scientifique concernant le curetage des lésions carieuses profondes et de détailler, à l’aide d’un cas clinique, la procédure recommandée, étape par étape, pour mettre en œuvre ces protocoles récents.
  • Ce numéro Best of INNOVATION est le fruit d’une envie des rédactions de partager la quintessence d’une sélection d’articles. 68 auteurs ont joué le jeu pour vous offrir un abstract de leur article. Et en bonus, 4 articles inédits et 4 articles en vidéo. La sélection de Clinic met en avant les...
  • Restaurer une dent n’est pas seulement réaliser un comblement par un matériau. Aujourd’hui, l’objectif recherché est de rendre à l’organe abîmé ses capacités les plus proches du naturel, assurées normalement par l’architectonie de l’émail, de la dentine et par la pulpe vivante. Une restauration biomimétique vise à maintenir l’équilibre biologique, à recréer un comportement mécanique adapté et à restituer l’aspect anatomique. Pour le moment, aucun matériau à lui seul n’est capable de répondre à l’ensemble de ces besoins mais il est possible de scinder les rôles pour mieux s’approcher du résultat. On qualifie de substitut dentinaire ceux qui s’inscrivent à la place du volume de dentine détruit et qui cherchent à en imiter les fonctions.
  • « Fêlure », « fissure » ou « craquelure » sont autant de termes utilisés pour désigner un processus pathologique aux formes cliniques variées et à la symptomatologie complexe. Alors que la littérature peine à trouver un consensus quant à sa terminologie, le praticien est souvent démuni face à son diagnostic et à son traitement. Cet article propose de se focaliser sur les fêlures coronaires, souvent présentes, parfois risquées, pouvant être source de complications pulpaires ou mécaniques, et d’en explorer les différentes formes, de la genèse jusqu’à la thérapeutique.
  • En réaction à la politique de santé en cours contre notre convention, une profession entière, responsable, digne, solidaire, avec ses jeunes en formation en figure de proue, réagit et agit. Nous refusons la prise de contrôle de notre modèle de santé sur des bases de raisonnement économiques et sans...
  • La restauration de la dent dépulpée est un acte très courant. Quand une couronne est indiquée, la reconstruction corono-radiculaire sous-jacente peut être réalisée par technique indirecte (inlay-core) ou directe (reconstruction composite). C'est cette dernière procédure clinique (SC 33), aujourd'hui bien développée, qui est décrite ici, étape par étape. Le choix de ce traitement présente un intérêt évident pour la préservation des dents. Les recommandations cliniques présentées dans cet article cherchent à en faciliter l'exécution et à en assurer la fiabilité.
  • Étape finale de la réalisation d’une restauration composite, les gestes de finition sont indispensables au succès durable du traitement. L’objectif de ce temps opératoire est d’éliminer les excès de matériaux, d’obtenir la forme finale de la restauration (anatomie primaire et secondaire) et de reproduire un état de surface (anatomie tertiaire) proche de celui de l’émail pour satisfaire aux impératifs anatomiques et cliniques. La qualité de la finition conditionne en partie l’intégration biologique (diminution de l’adhérence du biofilm), fonctionnelle (résistance à l’usure) et esthétique (réflexion optique) du traitement restaurateur. Le confort du patient (contact de la langue) est également un critère immédiat de satisfaction.Ce temps opératoire a deux aspects limitatifs pour le praticien : le choix des instruments parmi une (trop) grande diversité du matériel existant et un manque de rationalisation.
  • Le remplacement d’un ancien amalgame par une restauration adhésive représente un acte quotidien de l’exercice de l’omnipraticien. S’il ne s’agit pas de déposer systématiquement les anciennes restaurations à l’amalgame, il importe, lorsque l’indication de dépose est justifiée, d’optimiser la longévité de la nouvelle restauration collée. Des transformations tissulaires modifient sensiblement les structures résiduelles. Cet article a pour but de présenter une méthodologie de préparation des tissus prenant en compte les modifications induites par les phénomènes de corrosion électrochimique.
  • Vous nous prouvez par votre fidélité combien vous appréciez Clinic. En 2018, nous ferons tout pour que la découverte de chaque numéro de Clinic soit un vrai plaisir, pour faciliter votre exercice, pour vous former et éveiller votre curiosité. Nous nous joignons aux auteurs, au comité scientifique, aux...
  • Les consultations d’urgence dentaire traumatique de l’adulte ne sont pas très fréquentes mais revêtent des caractéristiques à part. Ces moments sont généralement vécus difficilement non seulement par le patient mais aussi par l’ensemble de l’équipe soignante qui doit mobiliser temps et compétence dans un délai réduit pour répondre aux exigences d’un patient en activité. Ces situations inhabituelles confrontent le praticien à des prises de décisions et à des procédures exceptionnelles qui ont intérêt à être référencées. Il a besoin de se reposer sur une démarche diagnostique structurée, un protocole de traitement efficient et des documents initiaux et de suivi établis systématiquement. L’objectif de cet article est de synthétiser les connaissances nécessaires à la prise en charge des différents traumatismes rencontrés chez l’adulte. Les détails des procédures thérapeutiques seront présentés au cours de prochains articles.
  • L’attente des patients aujourd’hui est autant tournée vers leur guérison que vers le contrôle de leur bonne santé. Dans le domaine bucco-dentaire, nous connaissons cette équation depuis longtemps avec la prévention. Elle se précise actuellement en intégrant des paramètres comme la prise en compte des facteurs de risque, le suivi statistique des traitements ou l’évolution des stratégies d’éducation thérapeutique. Mais, s’il y a bien une constante qui caractérise nos actions de prévention, cela reste le recours au fluor. Une mise à jour des recommandations sur son utilisation vise à rendre sa prescription toujours et encore plus pertinente. Notre groupe s’est livré à une revue de la littérature la plus récente pour venir en aide à notre pratique clinique.
  • Une analyse de la littérature montre qu'un tiers des adultes a subi un traumatisme dentaire, et le plus souvent avant l'âge de 19 ans. La sévérité des traumatismes dentaires est variable. Ceux qui se traduisent par un déplacement alvéolo-dentaire sont impressionnants et représentent un choc...
  • Le traitement non chirurgical des lésions carieuses constitue une voie de recherche dans notre discipline qui répond à la fois aux stratégies actuelles de préservation tissulaire ainsi qu'à l'attente des patients pour leur confort de traitement. L'inhibition du processus carieux par l'intermédiaire...
  • La lésion carieuse n'est aujourd'hui plus seulement appréhendée à travers le prisme de la dentisterie réparatrice qui cherche à éliminer les tissus altérés pour les remplacer. Il est désormais question de contrôler un déséquilibre écologique (ou dysbiose) et de favoriser la préservation ainsi...
  • La technique appelée Biologically Oriented Preparation Technique (BOPT) est une procédure clinique de préparation à la fois dentaire et parodontale qui vise à améliorer l'intégration d'une restauration au parodonte marginal. Elle a été proposée par le Dr Ignazio LOI et suscite l'intérêt de la...
  • La consultation d'urgence dentaire traumatique pour l'adulte nécessite une bonne identification diagnostic et des décisions rapides pour l'application d'un protocole de traitement efficient. Le contexte particulier (perturbation de l'agenda du cabinet, choc psychologique du patient, difficultés...
  • L'irradiation de la sphère cervico-faciale est un outil thérapeutique dans les cancers ORL mais ses répercussionsne sont malheureusement pas limitées au volume tumoral. Avec 14 000 nouveaux cas par an et 50 % de décès, les cancers ORL sont en plus d'être une problématique de santé publique,...
  • La radiothérapie externe dans les cancers ORL entraîne divers effets secondaires bucco-dentaires au long terme qui modifient le risque carieux individuel (RCI) : la limitation d'ouverture buccale (LOB) qui complique l'hygiène, l'hyposialie, la dysgueusie (préférence pour une alimentation sucrée) ainsi...