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  • Une étude rétrospective est réalisée en cabinet privé sur des sujets partiellement édentés, traités par des restaurations implanto-portées au maxillaire et suivis en moyenne pendant 130 mois. Le taux de survie implantaire est de 99,42 %. La plupart des implants ne présentent aucune perte osseuse, laquelle, quand elle existe, se retrouve essentiellement chez les femmes et des patients aux antécédents de maladie parodontale. Dans les cas d’échec prothétique (25,2 %), toutes les prothèses ont été immédiatement remplacées. La susceptibilité parodontale et, pour les femmes, la période postménopausique favorisent une perte osseuse accrue mais n’affectent pas le taux de survie implantaire.
  • Les 11 et 12 décembre 2015, direction le Mont des Arts, à Bruxelles, pour la nouvelle biennale de la CIDAE, la conférence internationale de dentisterie adhésive et esthétique. Après trois éditions couronnées de succès, la formule reste la même. Elle réunit de nouveau les ténors de la dentisterie adhésive et esthétique venus des quatre coins du monde pour présenter leurs travaux. Alain Perceval et son équipe, au cœur de ce rendez-vous international, sont parvenus à réunir plus de 900 participants venus de 14 pays différents. Alternance de didactisme, de pédagogie et avec leur dimension spectaculaire, les présentations de la CIDAE incarnent ce juste équilibre entre la formation et la passion du métier avec, toujours, le souci de l’excellence.
  • Le foramen mentonnier, à travers lequel émerge le nerf mentonnier, est un repère anatomique important en odontostomatologie. La connaissance de ses variations anatomiques, selon l’âge et selon les ethnies, est indispensable lors de la réalisation d’une anesthésie locale et locorégionale, ou lors de chirurgies implantaires, parodontales et orthognatiques. Outre la présence d’un foramen surnuméraire et les variations de sa localisation, de nombreuses topographies ont été décrites telles que des foramina triples, des hypoplasies ou des agénésies unilatérales ou bilatérales. Le cas présenté ici est extrêmement rare. Il concerne un patient vivant et asymptomatique dont le scanner témoigne d’une absence bilatérale de foramen mentonnier. À travers ce cas, les différentes situations cliniques qui pourraient se manifester lors d’une telle variation anatomique sont résumées.
  • Deux précédentes études ont validé un protocole de stérilisation (destiné à un contexte professionnel) et un protocole de décontamination/assainissement (destiné à un contexte domestique) des brosses à dents Inava® et ceci sans altération des propriétés mécaniques de la brosse à dents. L’objectif de cette étude complémentaire est de valider le protocole de décontamination/assainissement sur des espèces bactériennes et virales d’intérêt médical pouvant être responsables d’infections ou de surinfections notamment au sein de populations dites à risque.
  • Le taux élevé de survie des implants a été démontré à travers de nombreuses études. Cependant, parmi les implants en survie, tous ne sont pas des succès implantaires. Pour être considérée comme un succès, la réhabilitation implanto-prothétique doit répondre aux attentes esthétiques et fonctionnelles du patient, elle doit être asymptomatique et, surtout, chaque implant doit maintenir son niveau d'ostéo-intégration. Or, dans certaines conditions, il est possible d'observer une perte progressive de celle-ci. La surcharge occlusale et l'infection péri-implantaire sont considérées comme les responsables majeures de la désostéo-intégration. Cet article aborde ces aspects à partir d'une analyse de littérature.
  • La technique de remontée de marge consiste à réaliser un comblement partiel d’une perte de substance coronaire, dans sa partie la plus cervicale, afin de déplacer en position plus supragingivale des marges prothétiques qui seraient intrasulculaires. Elle répond à un principe de préservation tissulaire car elle favorise l’indication et la réalisation de restaurations indirectes collées (du type inlay, onlay ou overlay) sur les dents fortement délabrées. Afin de garantir une longévité suffisante à cette base intermédiaire, le choix des matériaux employés et des protocoles décrits s’appuie sur l’analyse du vieillissement des matériaux et de la spécificité de la région cervicale.
  • Étape finale de la réalisation d’une restauration composite, les gestes de finition sont indispensables au succès durable du traitement. L’objectif de ce temps opératoire est d’éliminer les excès de matériaux, d’obtenir la forme finale de la restauration (anatomie primaire et secondaire) et de reproduire un état de surface (anatomie tertiaire) proche de celui de l’émail pour satisfaire aux impératifs anatomiques et cliniques. La qualité de la finition conditionne en partie l’intégration biologique (diminution de l’adhérence du biofilm), fonctionnelle (résistance à l’usure) et esthétique (réflexion optique) du traitement restaurateur. Le confort du patient (contact de la langue) est également un critère immédiat de satisfaction.Ce temps opératoire a deux aspects limitatifs pour le praticien : le choix des instruments parmi une (trop) grande diversité du matériel existant et un manque de rationalisation.
  • La maintenance est déterminante pour le succès à long terme de l’ostéo-intégration. Elle doit être assurée par le patient et par le praticien. Son but est de préserver la santé des tissus péri-implantaires en évitant les complications ou les échecs secondaires. Malheureusement, il n’est pas toujours facile pour les patients, même pour ceux à qui on l’a appris, de parfaitement contrôler la plaque sous leur prothèse supra-implantaire. Cet article décrit la réalisation d’un type de prothèse permettant une maintenance implantaire facilitée pour les patients.
  • Guide pratique de la maintenance péri-implantaire
    Après une quarantaine d’années d’utilisation des implants dentaires, l’ostéo-intégration est aujourd’hui un concept validé. Avec des taux de survie s’élevant entre 95 et 98 %, de plus en plus d’implants sont posés à travers le monde. Mais survie ne signifie pas succès et les...
  • La prise en charge d’un maxillaire édenté ne dépend pas uniquement du volume osseux résiduel et de la possibilité de mettre en place des implants. Le gradient de résorption est également à prendre en compte pour optimiser l’esthétique et la fonction. L’étude prothétique oriente le traitement.
  • La perte d'une dent en secteur esthétique se révèle être un élément autant délicat et stressant pour le clinicien que pour le patient. Le remplacement d'une incisive antérieure par un implant fait appel à de nombreux paramètres biologiques, esthétiques et fonctionnels. Même s'il demeure un objet...
  • Le résultat esthétique implantaire est capital aujourd’hui : des indices [1] nous permettent de valider objectivement la conformité des protocoles et des résultats, tant du côté du patient que de celui du professionnel. Dans le cadre de la réhabilitation esthétique du secteur antérieur, et lorsque...
  • Le numérique prend de plus en plus de place dans notre profession. Nous ne cessons d’entendre parler de digital workflow, un anglicisme revêtant à lui seul de nombreuses facettes en implantologie. Grâce aux grands progrès des scanners intra-oraux (SIO) ces dernières années en termes de rapidité...
  • Dans la pratique quotidienne de l’implantologie orale, les complications implantaires représentent un événement relativement fréquent. Même si elles n’aboutissent que rarement à la perte de l’implant (0-8,3 % des implants posés [1]), cet événement reste néanmoins désagréable tant pour le...
  • Lorsqu’une dent présente une perte osseuse sévère ou une importante lésion d’origine endodontique, l’indication d’extraction est posée et, si nécessaire, un implant est envisagé. Bien que l’extraction paraisse inéluctable, il existe des situations cliniques où le traitement conservateur bien conduit permet pourtant d’obtenir des résultats fiables et parfois spectaculaires. Le succès du traitement parodontal ou endodontique permet alors d’éviter ou de différer durablement un traitement implantaire dont la complexité est en rapport avec l’importance des lésions. Il est également rappelé que, dans un contexte où la prévalence de la péri-implantite est élevée, il ne faut pas avoir une vision trop idéalisée de ce traitement implantaire.
  • La maintenance parodontale est une thérapie parodontale réalisée à intervalles réguliers, définis en fonction du patient et permettant un diagnostic continu de la part du praticien. Ces séances de suivi sont souvent reléguées au rang de simple contrôle. Pourtant, leur rôle est essentiel dans le maintien des résultats des thérapeutiques parodontales et cela est d’autant plus vrai les premières années qui suivent les traitements initiaux. Comment valoriser cet acte important, à nos yeux et, par ricochet, aux yeux des patients ? Comment présenter ces séances aux patients pour s’assurer de leur adhésion dans le but de maintenir sur le long terme nos résultats ?
  • La prise en charge de l’absence d’une ou de plusieurs dents dans la région incisive mandibulaire représente toujours un défi délicat pour le praticien. Bien que moins exposée sur le plan esthétique par rapport au maxillaire, cette zone amène son lot de difficultés et pièges (anatomiques et...
  • La prothèse amovible complète supra-implantaire est une option thérapeutique fiable chez le patient édenté complet. Après la réalisation de la prothèse, et pour ne pas en priver le patient, la mise en place des attachements peut se faire directement au fauteuil. Protocole à suivre…
  • L’amélioration des soins dentaires au cours du siècle dernier permet aujourd’hui aux patients de conserver leurs dents tout au long de leur vie. Malgré tout, le vieillissement de la population suppose un nombre croissant de personnes édentées. Pas moins de 2 milliards de personnes de plus de 60 ans...
  • 1989 : c’est à cette date qu’il faut remonter pour apprécier les premiers guides chirurgicaux en implantologie orale. Le principe breveté par un prothésiste dentaire [1] consistait en l’élaboration d’un gabarit en résine, avec déjà des canons de forages calibrés aux ancillaires, permettant...
  • Pour améliorer la précision de la position implantaire, les outils informatiques de planification ont remplacé les protocoles analogiques et les guides chirurgicaux artisanaux ont cédé la place aux guides imprimés. Cependant, des différences dans les composants des trousses de chirurgie guidée disponibles peuvent influencer la précision de l’ostéotomie et la position implantaire finale, ce qui nécessite une attention particulière lors du choix de ce matériel ancillaire.
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • La sûreté, l’efficacité et l’acceptabilité d’une brosse à dents électrique oscillo-rotative ont été évaluées chez des patients porteurs de prothèses implanto-portées. Cent patients âgés de 18 à 80 ans (âge moyen : 56,3 ; 51 femmes) répondant aux critères d’inclusion ont participé...