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  • La prise en charge des dysfonctions relève principalement de la compétence de l’occlusodontiste, voire de l’omnipraticien, quand elles n’ont pas une originetraumatique ou systémique. Il est important d’établir un diagnostic précis avant de mettre en oeuvre un projet thérapeutique et cela suppose...
  • Le diagnostic des dyskinésies dento-articulaires (DDA) et les propositions thérapeutiques envisageables constituent la préoccupation majeure de l’occlusodontiste. Une nosologie clinique n’est pas facile à élaborer.
  • Après l’anamnèse et l’examen clinique, le praticien recourt à l’axiographie pour compléter ou étayer son diagnostic. L’axiographie mécanique en particulier est un moyen simple, peu coûteux et suffisant dans la plupart des cas pour explorer l’ATM directement au fauteuil, sans aucune aide complémentaire. Elle ne remplace cependant pas l’IRM, elle la précède et la complète. Les praticiens sont souvent peu adeptes de cette technique pourtant généreuse en renseignements et d’une aide précieuse dans le pronostic des dyskinésies dento-articulaires.
  • L’occlusion fonctionnelle se détourne significativement du recours à l’orthèse pour le traitement des DDA, au profit de la modification directe des faces occlusales par adjonction de composite. Hommage à Marcel Le Gall qui avait collaboré à cette publication pendant sa maladie.
  • Formalisé en 1980 par Guyatt pour améliorer la pédagogie de l’enseignement médical, repris et développé par Sackett en 1996, le but de l’Evidence-Based Medicine (EBM) est de placer la décision médicale à l’intersection de trois composantes : l’expérience du clinicien, les données fournies et validées par les chercheurs et l’opinion du patient [1] (figure 1).