Recherche

Recherche documentaire

Rechercher
Sélectionner / Désélectionner tout

168 résultat(s) Trier par date Trier par pertinence

  • Irrigation manuelle pendant la phase d’instrumentation L’efficacité et la sécurité de l’irrigation canalaire seront fonction du mode d’injection des solutions dans le canal [1]. La méthode d’irrigation la plus simple consiste à introduire la solution dans les canaux à l’aide d’une seringue...
  • Les traumatismes bucco-dentaires se traduisent très souvent par des complications endodontiques et parodontales. Chez l’enfant, où les traumatismes battent leur plein, le choix du bon médicament appliqué au bon moment est crucial.
  • En odontologie, les premières applications d’ingénierie tissulaire ont concerné la régénération tissulaire guidée et les biomatériaux dits de comblement. Depuis quelques années, l’endodontie s’y intéresse et les procédures cliniques se précisent [1]. Les pôles de recherche ont la nécessité constante de connaître l’état d’avancement des connaissances des omnipraticiens sur le sujet afin d’adapter les thèmes de leurs recherches, la diffusion des informations, les protocoles cliniques et les formations postuniversitaires.Ce travail avait pour objectif d’évaluer l’intérêt des omnipraticiens pour la régénération tissulaire en endodontie en 2013 et a été réalisé dans le cadre d’une thèse d’exercice.
  • Les cellules souches… tout le monde en entend parler. Mais sait-on pour autant exactement de quoi il s’agit ? L’objectif de cet article est de rappeler brièvement ce qu’est une cellule souche et de définir les spécificités des niches pulpaires.
  • Sur le plan embryologique, les fentes labio-maxillo-palatines (FLMP) constituent un exemple d'interaction de facteurs génétiques et environnementaux []. Elles résultent d'un défaut de fusion entre les bourgeons nasaux et maxillaires qui va désorganiser l'ensemble des structures d'appui et d'animation...
  • La LIPOE (lésion inflammatoire périradiculaire d’origine endodontique) provient d’un processus inflammatoire engendrant une destruction des tissus durs périradiculaires dont l’étiologie est la présence d’agents irritants au niveau endodontique. L’objectif de ce texte est de détailler simplement les processus impliqués dans le développement d’une lésion d’origine endodontique afin de mieux la comprendre et, surtout, de mieux appréhender les voies thérapeutiques nécessaires pour la soigner.
  • La proportion de patients dits à risque a augmenté en raison des innombrables progrès médicaux accomplis au cours des dernières décennies. Ces patients, à cause de la présence de pathologies chroniques, d’une condition particulière ou encore du traitement subi (chimiothérapie, radiothérapie, bisphosphonates, immunosuppresseurs), doivent bénéficier de mesures thérapeutiques particulières. L’endodontie n’y fait pas défaut et une prise en charge inadéquate pourrait s’accompagner de conséquences cliniques sévères et dommageables. Cet article vient compléter celui publié dans le numéro de Clinic d’octobre 2015 en abordant les risques associés à la thérapeutique médicamenteuse dont bénéficient certains patients, ainsi que les stratégies thérapeutiques qu’elles imposent en endodontie.
  • Depuis l’apparition sur le marché, en 1995, des premiers instruments de rotation continue en nickel-titane, de nombreux systèmes ont vu le jour. Malgré des concepts et des formes différentes, chacun a trouvé sa place et généré des adeptes. L’ensemble de ces instruments permet d’atteindre les...
  • L’ANALYSE
    Le nouvel ouvrage de Stéphane Simon, P. Machtou et W.-J. Pertot va-t-il devenir (comme le souhaite expressément Shimon Friedman dans sa préface) la nouvelle référence en langue française de l’endodontie ?
  • Les progrès médicaux réalisés au cours des dernières décennies ont non seulement accru l’espérance de vie de la population mais se sont également accompagnés d’une augmentation de la proportion de patients dits à risque. Ces patients, en raison de la présence de pathologies chroniques (VIH, diabète, lésion de l’endocarde), d’une condition particulière (prothèse valvulaire, prothèse articulaire) ou encore du traitement observé (chimiothérapie, radiothérapie, bisphosphonates, immunosuppresseurs), doivent bénéficier de mesures thérapeutiques particulières. L’endodontie n’y fait pas exception et une prise en charge inadéquate pourrait s’accompagner de conséquences cliniques sévères et dommageables pour le patient. Se maintenir informé des situations et contextes médicaux devant faire l’objet d’une adaptation des protocoles opératoires est nécessaire. Ce sujet important et complexe sera traité en deux temps, par deux articles successifs. Dans ce premier volet, les pathologies générales fréquemment rencontrées seront abordées, ainsi que les stratégies thérapeutiques qu’elles imposent, avant d’envisager un traitement endodontique.
  • Si les principes de l’endodontie ont finalement peu évolué depuis presque une quarantaine d’années, les évolutions techniques et matérielles se font de plus en plus inventives. De plus en plus de praticiens sont persuadés que le futur de l’endodontie sera « sans instrument ». Les investigations vont donc bon train et si l’ingénierie tissulaire commence à remplir les esprits et à se présenter comme une évolution prometteuse, beaucoup de problèmes restent à contourner et à élucider ; les vrais objectifs à atteindre sont encore à établir. En attendant cette heure de l’endodontie biologique, les instruments continuent à se perfectionner et les derniers systèmes en date ont franchi le seuil psychologique de « l’instrument unique ».
  • Les travaux de Kakehashi et al. [1], dès 1965, ont permis de confirmer l’origine bactérienne de la parodontite apicale, origine suspectée depuis la fin du XIXe siècle par l’américain Miller [2]. Les procédures thérapeutiques doivent ainsi être dirigées vers la réduction maximale de la population...
  • Le traitement de la dent immature par revascularisation est de plus en plus proposé comme une option thérapeutique intéressante. Depuis un premier article publié dans ces colonnes en 2010 [1], les nombreuses publications scientifiques et cliniques ont permis de mieux comprendre les processus de...
  • Le nombre de séances (une ou deux) pour le traitement endodontique des canaux infectés demeure un sujet controversé dans la littérature médicale. Pour aborder cette question et essayer de se faire une opinion, il convient de comprendre la vraie problématique. S’agit-il d’un problème technique ou biologique ? Ce document a pour objectif de détailler les faits de la discorde et d’essayer d’apporter des éléments de réflexion, sans pour autant dicter une approche systématique.
  • Il y a quelques semaines, nous décrivions dans cette rubrique l’utilisation de trois systèmes de préparation endodontique [1] ne comprenant qu’un seul instrument. Parmi les trois présentés, le Self Adjusting File (SAF®) permet d’appréhender le nettoyage du canal de façon complètement différente, en sortant des principes fondés sur la conicité. Il nous a semblé pertinent de revenir sur cet instrument particulièrement innovant.
  • Le traitement endodontique est une succession d’étapes. De la précision de la réalisation de chacune d’elles dépend le résultat final. La détermination de la longueur du canal et le choix de la longueur de travail correspondent à une étape.Cet article est la finalisation d’un séminaire d’enseignement du Diplôme universitaire européen d’endodontologie (DUEEC) (Université Paris Diderot) et du Master POA parcours endodontie. Sur le format d’un enseignement « classe inversée », les étudiants ont été invités à rédiger cet article par un travail collaboratif encadré (fig. 1 et 2).
  • L’inflammation pulpaire, synonyme de douleur pour le patient, est encore associée à la nécessité de dépulper. Or, les récentes avancées de la biologie pulpaire montrent que l’inflammation pulpaire est nécessaire, car liée à la capacité de réparation pulpodentinaire. Ces avancées bouleversent progressivement le paradigme qui associe inflammation et « dépulpation ».
  • Il n’y a pas une formation sur le sujet de la conservation de la vitalité pulpaire où l’on ne me fait remarquer que les résultats du coiffage pulpaire sont aléatoires. En fait, ils le sont beaucoup moins qu’on ne l’imagine mais les manifestations des échecs sont très marquantes. Dans cet article, je reviens sur cinq idées reçues sur le concept et la technique opératoire du coiffage pulpaire et de la pulpotomie. De ces 5 idées reçus nous pouvons tirer des conseils de procédure ou d’abstention !
  • Les techniques de préservation de la vitalité pulpaire sont décrites depuis plusieurs dizaines d'années. Pourtant, les protocoles semblent être encore empiriques, les résultats incertains et le pronostic difficile à évaluer. Pour toutes ces raisons, l'intégrer à un exercice quotidien demande un...
  • Les techniques de préservation de la vitalité pulpaire sont décrites depuis plusieurs dizaines d'années. Pourtant, les protocoles semblent être encore empiriques, les résultats incertains et le pronostic difficile à évaluer. Pour toutes ces raisons, l'intégrer à un exercice quotidien demande un...
  • Les techniques de préservation de la vitalité pulpaire sont décrites depuis plusieurs dizaines d'années. Pourtant, les protocoles semblent être encore empiriques, les résultats incertains et le pronostic difficile à évaluer. Pour toutes ces raisons, l'intégrer à un exercice quotidien demande un...
  • Les techniques de préservation de la vitalité pulpaire sont décrites depuis plusieurs dizaines d'années. Pourtant, les protocoles semblent être encore empiriques, les résultats incertains et le pronostic difficile à évaluer. Pour toutes ces raisons, l'intégrer à un exercice quotidien demande un...
  • C'est probablement la question que l'on m'a posée le plus fréquemment depuis mon retour ! Au cours de ces deux années inoubliables, j'ai connu la vie du chercheur à l'étranger, de l'enseignant et de l'exercice privé. J'ai eu la chance incroyable de travailler dans l'équipe du Pr A.J. Smith, leader...
  • Les critères de la demande esthétique sont très variés ; ils sont fonction des goûts, du niveau culturel, du sexe et de l’âge des personnes. Ils varient aussi avec les praticiens. Il n’est d’ailleurs pas certain qu’un praticien donné aimerait se voir appliquer à lui-même les critères...
  • Issus de la moelle osseuse, les ostéoclastes sont très impliqués dans l’homéostasie osseuse et sont sous la dépendance des ostéoblastes. Dans les conditions physiologiques, l’espace desmodontal sépare la dent de l’os alvéolaire et permet de protéger la surface dentaire sous-jacente, limitant...