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  • Un nombre croissant de patients se présente aujourd’hui en consultation avec le souhait d’une prise en charge esthétique de taches blanches disgracieuses au niveau de l’émail. La prévalence de ces lésions au sein de la population varie de 24 à 32 % selon l’étiologie et selon les auteurs [1]. Cette importante prévalence justifie la recherche d’une thérapeutique répondant aux doléances de ces patients. L’arrivée sur le marché de matériaux comme l’Icon® (DMG) offre la possibilité de traiter ces lésions blanches de manière simple, protocolaire et avec un coût tissulaire réduit.
  • Après l’anamnèse et l’examen clinique, le praticien recourt à l’axiographie pour compléter ou étayer son diagnostic. L’axiographie mécanique en particulier est un moyen simple, peu coûteux et suffisant dans la plupart des cas pour explorer l’ATM directement au fauteuil, sans aucune aide complémentaire. Elle ne remplace cependant pas l’IRM, elle la précède et la complète. Les praticiens sont souvent peu adeptes de cette technique pourtant généreuse en renseignements et d’une aide précieuse dans le pronostic des dyskinésies dento-articulaires.
  • L’occlusion fonctionnelle se détourne significativement du recours à l’orthèse pour le traitement des DDA, au profit de la modification directe des faces occlusales par adjonction de composite. Hommage à Marcel Le Gall qui avait collaboré à cette publication pendant sa maladie.
  • Vous nous prouvez par votre fidélité combien vous appréciez Clinic. En 2018, nous ferons tout pour que la découverte de chaque numéro de Clinic soit un vrai plaisir, pour faciliter votre exercice, pour vous former et éveiller votre curiosité. Nous nous joignons aux auteurs, au comité scientifique, aux...
  • Entre 8 et 31 % de la population présenterait [1] un bruxisme nocturne dit « sévère », c’est-à-dire susceptible d’entraîner des conséquences dentaires, parodontales, musculoarticulaires, voire posturales. Plusieurs types de bruxismes nocturnes ont été décrits, chacun ayant ses propres manifestations cliniques et des répercussions différentes. Si le traitement de choix est idéalement préventif en tentant de dépister et de gérer au mieux les étiologies, il s’avère parfois nécessaire, en complément, de prévenir ou de limiter les conséquences du bruxisme nocturne. Les orthèses occlusales sont un des outils à notre disposition, leur utilisation méritant une mise au point sur les impératifs, leur réalisation ainsi que la maintenance. D’autres options de prise en charge sont également exposées.
  • NOTION DE PATIENTS À RISQUE Peuvent être considérés « à risque » les patients susceptibles d’avoir des difficultés, voire une incapacité, à s’habituer au changement de DVO de façon durable. Si un inconfort ou des symptômes sont parfois signalés par les patients ayant bénéficié d’une...
  • Les traitements des dysfonctionnements temporo-mandibulaires (DTM) ont eu tendance au fil des années à se simplifier et à être de moins en moins invasifs. Cette transition dans la stratégie thérapeutique est due à deux éléments principaux. • Le premier est que les DTM ont une étiopathogénie...