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  • Un traitement endodontique optimal consiste à réaliser une cavité d’accès appropriée, une bonne mise en forme du système canalaire, une détersion efficace et finalement une obturation 3D optimale du système canalaire afin d’assurer l’étanchéité apicale. Plusieurs matériaux sont...
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • La résorption alvéolaire post-extractionnelle ainsi que le phénomène de pneumatisation du sinus maxillaire entraînent une diminution des volumes osseux disponibles pour positionner des implants [1]. La réhabilitation des secteurs maxillaires postérieurs nécessite ainsi le plus souvent l’augmentation...
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • La chirurgie guidée permet aujourd’hui de positionner des implants selon une planification chirurgicale et prothétique dans le but d’obtenir des profils d’émergences prophylactiques et esthétiques. Néanmoins, les résorptions osseuses post-extractionnelles nous contraignent souvent à placer des implants en position plus linguale, ce qui crée un sur-contour prothétique néfaste à long terme. Nous pouvons guider la position d’un implant mais comment guider la position de la greffe pour garantir un environnement tissulaire sain.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
  • L’implantologie dentaire est une alternative thérapeutique pour remplacer les dents manquantes chez les patients présentant une édentation partielle ou totale. Le taux de réussite à long terme est satisfaisant autant dans l’os natif que dans un os régénéré [1]. Très souvent, les réhabilitations...
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • Le maxillaire postérieur édenté représente un défi thérapeutique pour le traitement implantaire. Après avulsion, la résorption osseuse et la pneumatisation du sinus maxillaire peuvent aboutir à une hauteur osseuse résiduelle réduite, souvent associée à une diminution de la densité osseuse. La...
  • La péri-implantite est une affection fréquente, de traitement compliqué et mal codifié. Un débridement chirurgical est souvent pratiqué, parfois associé à un apport osseux. Plusieurs matériaux de greffe de membranes et quelques antibiotiques ont été tentés selon différentes combinaisons. Cette...
  • Lors d’un édentement maxillaire postérieur, un manque d’os est fréquemment rencontré. La greffe de sinus par voie latérale ou crestale est largement répandue pour traiter ces défauts osseux verticaux. Le critère de choix entre ces deux techniques repose sur la hauteur osseuse résiduelle (RBH),...
  • L’élévation du plancher sinusien par approche latérale a été présentée pour la première fois en 1976 par Tatum puis décrite dans la littérature par Boyne et James (1980). Elle représente une option fiable pour augmenter la hauteur osseuse disponible dans le maxillaire postérieur édenté. Le but...
  • Les radiographies rétro-alvéolaires et panoramiques ainsi que le CBCT (Cone Beam Computed Tomography) sont des outils indispensables afin d’évaluer l’environnement direct d’une dent destinée à être extraite et remplacée par un implant. Ces examens sont complémentaires mais la précision des...
  • DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE Interrogatoire Dans la plupart des cas, le patient ne consulte pas pour la présence d’une image radioclaire. Il s’agit d’une découverte fortuite radiologique faite le plus souvent par le chirurgien-dentiste traitant lors d’un examen panoramique de contrôle. Ces ostéolyses...
  • Il existe plusieurs techniques chirurgicales afin d’augmenter les volumes osseux : bloc autogène, distraction osseuse, régénération osseuse guidée (ROG)… Malgré les nombreuses publications sur leur efficacité, les ROG avec des membranes non résorbables ont toujours été au centre des débats du...
  • La navigation permet de réaliser des actes chirurgicaux de façon fiable et prédictible grâce à son système de repérage. Cet article illustre une indication complémentaire dans le cadre de la chirurgie implantaire du patient totalement édenté et, plus précisément, dans l’aide à la réalisation de la mise en fonction immédiate par la connexion de la prothèse préfabriquée. Cette aide est de deux ordres : le premier dans le bon positionnement des implants et le deuxième dans le bon positionnement du bridge (appui osseux).
  • La langue joue un rôle primordial dans le développement des fonctions manducatrices telles que la succion, la déglutition, la gustation, la mastication ou encore la phonation. Par ailleurs, cet organe participe également à la croissance osseuse des maxillaires [1]. Sur le plan anatomique, sa face...
  • En présence d’une lésion muqueuse linguale suspecte dépistée en pratique quotidienne, chaque praticien doit savoir indiquer, voire réaliser une biopsie. Nous envisageons dans cet article la démarche à suivre jusqu’à l’annonce du résultat. La biopsie est un examen complémentaire dont...
  • Masse musculaire puissante de la cavité orale, la langue est au cœur des préoccupations de notre spécialité. Son anatomie est complexe : un agencement intriqué de fibres musculaires intrinsèques et extrinsèques conférant une mobilité fine, en harmonie avec un réseau neuro-vasculaire riche. Cet...
  • La fibrine riche en plaquettes (PRF) a été développée en tant que concentré plaquettaire de deuxième génération. Après centrifugation, une membrane dense en fibrine est produite. Les plaquettes et les leucocytes de l’hôte sont piégés, ce qui favorise la libération lente et progressive des...
  • La réhabilitation fixe maxillaire d’un patient édenté ou chez lequel il est indiqué d’extraire les dents restantes peut se révéler complexe s’il existe une atrophie osseuse majeure étendue à l’ensemble du maxillaire. Dans ce cas, la pose de 6 implants conventionnels (IC) ou de 4 IC selon le...
  • L’édenté complet maxillaire présente une différence majeure avec les édentés partiels dont les secteurs d’édentement sont le plus souvent postérieurs : la possibilité existe de réaliser une implantation en avant des sinus maxillaires en utilisant 4 implants (All-on-4®) ou une reconstruction...