Deux recommandations en 2011 - Clinic n° 04 du 01/04/2011
 

Clinic n° 04 du 01/04/2011

 

COLLÈGE DES BONNES PRATIQUES

ACTUALITÉ

« Le dossier médical patient en médecine bucco-dentaire » et « la prise en charge du patient diabétique en médecine bucco-dentaire », tels sont les thèmes des deux premières recommandations que doit produire d’ici à la fin de l’année le tout nouveau Collège des bonnes pratiques (CBP) en méde­cine bucco-dentaire. Des groupes d’experts doivent être constitués pour élaborer ces recommandations selon une méthodologie qui sera validée par la Haute Autorité de...


« Le dossier médical patient en médecine bucco-dentaire » et « la prise en charge du patient diabétique en médecine bucco-dentaire », tels sont les thèmes des deux premières recommandations que doit produire d’ici à la fin de l’année le tout nouveau Collège des bonnes pratiques (CBP) en méde­cine bucco-dentaire. Des groupes d’experts doivent être constitués pour élaborer ces recommandations selon une méthodologie qui sera validée par la Haute Autorité de santé (HAS), comme le veut le règlement du Collège. Créé par la profession au mois de juillet 2010, le CBP a pour mission d’«  élaborer des recommandations et des référentiels destinés à analyser et à améliorer les pratiques en médecine bucco-dentaire pour accroître la qualité et la sécurité des soins ». Constitué de représentants des 3 entités de la profession (académique, scientifique et syndicale) qui comptent 12 personnes chacune, le CBP s’est réuni pour la première fois le 3 février dernier. Il a élu son président, Jean-Patrick Druo (entité scientifique) et ses 2 vice-présidents, Youssef Haïkel (doyen de la faculté de Strasbourg – entité académique) et Dominique Brachet (CNSD – entité syndicale). Pour la CNSD, qui a joué un rôle actif dans sa création, le CBP permet à la profession de produire ses recommandations de bonnes pratiques et ses référentiels selon une méthodologie validée par la HAS, et cela tout en tenant compte des réalités économiques. « Il est en effet essentiel que les syndicats puissent faire valoir les principes de réalité du cabinet dans l’élaboration des recommandations et des exigences qui encadrent notre exercice ! »