Réhabilitation totale maxillaire transvissée avec armature entièrement conçue et réalisée par CFAO : étapes de laboratoire - Implant n° 4 du 01/11/2011
 

Implant n° 4 du 01/11/2011

 

PAS À PAS

Résolution du cas

Emmanuel Brun  

Laboratoire Luminescence
33, rue Marie-Ampère, rue Marie-Ampère
Zone 1 de la Verdière
13880 Velaux
contact@labo-luminescence.com

L’usinage des armatures prothétiques par les techniques de CFAO a progressivement pris le pas sur les techniques de coulée métallique.

La confection des armatures nécessite impérativement de réaliser une maquette préalable, cette maquette étant issue du montage préliminaire des dents reflétant les particularités du projet prothétique validé par le praticien en présence de son patient. Cette étape essentielle de validation des spécificités esthétiques et...


L’usinage des armatures prothétiques par les techniques de CFAO a progressivement pris le pas sur les techniques de coulée métallique.

La confection des armatures nécessite impérativement de réaliser une maquette préalable, cette maquette étant issue du montage préliminaire des dents reflétant les particularités du projet prothétique validé par le praticien en présence de son patient. Cette étape essentielle de validation des spécificités esthétiques et fonctionnelles de la future réhabilitation ne doit en aucun cas être éliminée au risque de susciter de la part du patient une déception et une contestation du résultat de la réhabilitation.

Dans les techniques précédemment en usage, le montage préalable servait de guide à la confection d’une armature coulée ou usinée dont les caractéristiques étaient dictées par la position des futures dents de la restauration. Des clés de montage de divers types servaient de calibrage à la conception de l’armature à partir du montage préliminaire des dents.

Dans la technique décrite ici, le montage et la maquette préalable demeurent mais celle-ci est directement scannée au laboratoire de prothèse à l’aide d’un logiciel adapté (Nobel-Procera®, Nobel Biocare) ; elle va permettre de réaliser une armature virtuelle à partir d’une banque de données propre au logiciel. Les risques de produire une armature imprécise sont de ce fait fortement réduits.

CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6

CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 1 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 2 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 3 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 4 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 5 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).CONCEPTION VIRTUELLE DE LA FUTURE ARMATURE (suite) Fig. 1 à 6 : Fig. 6 / Modélisation virtuelle de la future armature à partir de la captation optique du projet prothétique avec montage directeur des dents. Cette captation optique produit une armature virtuelle dite prophylactique dont les caractéristiques biomécaniques (notamment au niveau des extensions distales) vont minimiser le risque de surcharge occlusale transmise aux implants. Cette procédure améliore la précision des rapports homothétiques et équilibre les rapports mécaniques occlusaux en limitant les risques de parafonction, arrachement et cisaillement pouvant provoquer un décrochage entre résine et armature. Noter sur la figure 3 la possibilité de prévisualiser l’axe d’émergence des piliers implantaires. Modélisation à partir du même logiciel des dents virtuelles superposées sur l’armature en vue de prévisualiser la future réalisation (Fig. 5 et 6).

USINAGE DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE À PARTIR DE LA MAQUETTE VIRTUELLE (Fig. 7 et 8)

USINAGE DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE À PARTIR DE LA MAQUETTE VIRTUELLE (Fig. 7 et 8) : Fig. 7 / Vue des armatures usinées en titane d’après la conception 3D précédemment tracée par le logiciel.USINAGE DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE À PARTIR DE LA MAQUETTE VIRTUELLE (Fig. 7 et 8) : Fig. 8 / Positionnement de l’armature sur le maître modèle. La longueur des extensions distales a été déterminée par le logiciel (scannage prophylactique).

CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13)

CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 9 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 10 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 11 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 12 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 13 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.

PRÉPARATION DE L’ARMATURE AVANT COLLAGE DES DENTS (Fig. 14 et 15)

CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 13 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 15 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.

CHOIX DES DENTS ET DE LA TECHNIQUE DE COLLAGE (Fig. 16 à 18)

CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 16 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 17 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.CONTRÔLE SUR LE MAÎTRE MODÈLE DE L’AJUSTAGE PASSIF DE L’ARMATURE PROTHÉTIQUE USINÉE EN TITANE (Fig. 9 à 13) : Fig. 18 / Mise en relation intermaxillaire : contrôle sur les maîtres modèles de l’ajustage passif des armatures (ce test de Sheffield devra aussi être réalisé en bouche). Noter la présence de tiges rétentives à double méplat dévissables afin de s’adapter aux spécificités du montage des dents ; ces tiges rétentives sont usinées en même temps que l’armature.

COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30)

COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 19 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 20 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 21 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 22 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 23 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 24 / Une première liaison avec le matériau composite combo.lign® de Bredent permet de mettre en situation un montage dent par dent photopolymérisé avec la lampe 3M Curing Light XL 1000, directement en situation occlusale sur l’articulateur. Les rapports intrinsèques se font sur de faibles épaisseurs afin de favoriser la photopolymérisation par couches successives. Une cuisson d’homogénéisation dans un Unit XS Kulzer pendant 180 secondes est souhaitable.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 25 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 26 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 27 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 28 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 29 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.COLLAGE DES DENTS EN COMPOSITE SUR L’ARMATURE MÉTALLIQUE (Fig. 19 à 30) : Fig. 30 / Plusieurs injections de la teinte déterminée sont réalisées aux interstices restants. Les puits d’accès aux vis de l’armature transvissée sont isolés à l’aide de tiges de coulée en cire de diamètre adapté, afin de préserver l’accès lors des injections de composite fluide.

CONFECTION DE LA FAUSSE GENCIVE (Fig. 31 à 33)

CONFECTION DE LA FAUSSE GENCIVE (Fig. 31 à 33) : Fig. 31 / Pour terminer, nous utilisons des apports de fausse gencive rose de saturations différentes (rosa ou light) pour jouer sur la pigmentation gingivale et sur les espaces papillaires. Une cuisson finale optimise la liaison finale.CONFECTION DE LA FAUSSE GENCIVE (Fig. 31 à 33) : Fig. 32 / Pour terminer, nous utilisons des apports de fausse gencive rose de saturations différentes (rosa ou light) pour jouer sur la pigmentation gingivale et sur les espaces papillaires. Une cuisson finale optimise la liaison finale.CONFECTION DE LA FAUSSE GENCIVE (Fig. 31 à 33) : Fig. 33 / Pour terminer, nous utilisons des apports de fausse gencive rose de saturations différentes (rosa ou light) pour jouer sur la pigmentation gingivale et sur les espaces papillaires. Une cuisson finale optimise la liaison finale.

FINITIONS EN VUE DE LA LIVRAISON (Fig. 34 à 36) : Fig. 34 / Le polissage final peut s’effectuer de manière mécanique ou par glasure de surface.FINITIONS EN VUE DE LA LIVRAISON (Fig. 34 à 36) : Fig. 35 / Le polissage final peut s’effectuer de manière mécanique ou par glasure de surface.FINITIONS EN VUE DE LA LIVRAISON (Fig. 34 à 36) : Fig. 36 / Le polissage final peut s’effectuer de manière mécanique ou par glasure de surface.