Évaluez vos connaissances en lisant et relisantLes Cahiers de prothèse - Cahiers de Prothèse n° 161 du 01/03/2013
 

Les cahiers de prothèse n° 161 du 01/03/2013

 

TEST DE LECTURE

Le DPC, introduit par la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) du 21 juillet 2009, renforce l’obligation de formation continue pour les chirurgiens-dentistes. Les programmes de DPC doivent être conformes aux orientations nationales définies par le Ministère de la Santé (Arrêté du 26 février 2013).

Les Éditions CdP sont enregistrées comme organisme de DPC par l’Organisme gestionnaire du développement professionnel continu...


Le DPC, introduit par la loi « Hôpital, patients, santé et territoires » (HPST) du 21 juillet 2009, renforce l’obligation de formation continue pour les chirurgiens-dentistes. Les programmes de DPC doivent être conformes aux orientations nationales définies par le Ministère de la Santé (Arrêté du 26 février 2013).

Les Éditions CdP sont enregistrées comme organisme de DPC par l’Organisme gestionnaire du développement professionnel continu (OGDPC).

Pour favoriser l’acquisition des connaissances et vous aider à mener à bien vos actions de DPC, nous vous proposons les questions à choix multiples ci-dessous.

Avez-vous bien lu et retenu ce que vous avez lu dans votre « Cahiers de prothèse » de ce trimestre ? Vérifiez-le en complétant ce test, également disponible sur www.editionscdp.fr > Formation continue > QCM.

Bruxisme et restauration globale

Laurent Venet, Maxime Ducret, Catherine Millet

1. Le bruxisme nocturne est :

• a. une activité motrice physiologique

• b. une activité parafonctionnelle

• c. peu répandu et facilement diagnostiqué

• d. très répandu mais de diagnostic souvent tardif

2. À propos des restaurations prothétiques :

• a. elles permettent une guérison complète du bruxisme

• b. leur usure peut être limitée par le port d’une gouttière occlusale nocturne

• c. les couronnes tout céramique constituent le standard thérapeutique

3. À propos des réalisations cliniques :

• a. pour la restauration d’une arcade complète, l’arc facial est vivement conseillé lors du transfert sur articulateur

• b. l’enregistrement du rapport maxillo-mandibulaire pour une arcade complète est réalisé de façon séquentielle

• c. une variation de DVO ne demande aucune temporisation

• d. les couronnes provisoires n’ont qu’un rôle de temporisation

Technique adhésive pour le traitement d’un cas de denture fortement érodée

Sébastien Felenc, Josselin Lethuillier, Maxime Jaisson

4. Quel geste permet l’optimisation du collage aux surfaces dentaires ?

• a. mordancer à l’acide phosphorique 2 fois plus longtemps

• b. sablage alumine 50 microns, 10 secondes

• c. nettoyer la surface à l’H2O2

5. Le point-clé d’un bon collage côté dentaire est :

• a. la présence d’émail périphérique

• b. de larges surfaces de dentine tertiaire à mordancer

• c. la rapidité d’exécution du protocole

6. Le traitement de surface de la céramique dépend :

• a. de la nature de la colle utilisée

• b. de la proximité pulpaire de la préparation

• c. de la nature de la céramique

Montage des dents en prothèse amovible complète : du conventionnel à l’atypique

Pierre Le Bars, Latifa Merdes

7. Le plan d’occlusion en prothèse amovible complète :

• a. au niveau des groupes incisivo-canins, le plan d’occlusion est situé à la moitié de la distance entre la crête édentée supérieure et inférieure

• b. en présence d’une classe II squelettique, le plan d’occlusion peut être légèrement remonté au niveau des molaires et des prémolaires maxillaires afin de faciliter l’agencement des dents

• c. en présence d’une classe III, le plan d’occlusion peut être légèrement remonté au niveau des molaires et des prémolaires maxillaires afin de faciliter l’agencement des dents

• d. le déplacement du plan d’occlusion verticalement au niveau des incisives n’est pas influencé par la typologie du patient

8. La langue présente plusieurs rôles en prothèse amovible complète :

• a. elle facilite la stabilisation de la prothèse complète maxillaire

• b. elle facilite la stabilisation de la prothèse complète mandibulaire

• c. elle perturbe durablement la phonation chez l’édenté appareillé âgé

9. L’utilisation de dents plates en prothèse amovible complète est recommandée :

• a. pour un patient édenté jeune et en bonne santé

• b. en présence d’une coordination musculaire satisfaisante

• c. en présence d’une perte de substance de plus de la moitié de la voûte palatine

La gestion de l’occlusion par les systèmes de CFAO : les critères de choix

Maxime Jaisson, Olivier Nocent, Sébastien Felenc

10. La gestion de l’occlusion pour une restauration unitaire CFAO :

• a. nécessite obligatoirement l’empreinte optique de l’hémiarcade antagoniste

• b. la seule empreinte de la préparation peut suffire

• c. nécessite d’associer à l’empreinte de la préparation l’empreinte du mordu occlusal

11. Le montage sur occluseur des modèles physiques issus de l’empreinte optique ne doit pas se faire :

• a. en cas d’édentement postérieur terminal

• b. si les dents bordant l’édentement sont fortement abrasées

• c. en cas d’absence de guidage antérieur

12. Les articulateurs virtuels :

• a. il n’existe qu’un seul modèle d’articulateur virtuel

• b. ils ne sont pas programmables

• c. dès que l’arc facial est utilisé, il est nécessaire de faire un montage sur articulateur mécanique

Évaluation de l’adaptation des restaurations prothétiques fixées réalisées par CFAO et facteurs de variation : revue de littérature

Philippe Boitelle, Olivier Fromentin, Bernardin Mawussi, Laurent Tapie, Elsa Vennat

13. Par rapport à un procédé de réalisation par coulée métallique, le hiatus cervical moyen des prothèses usinées par CFAO est :

• a. identique

• b. plus faible

• c. supérieur

14. Quel que soit le type de prothèse usinée (unitaire ou plurale) le niveau d’adaptation moyen obtenu sur une même machine d’usinage sera :

• a. identique

• b. meilleur pour une prothèse unitaire

• c. meilleur pour une prothèse plurale de grande étendue.

15. En clinique, la précision d’adaptation d’une prothèse usinée dépend :

• a. uniquement de la CFAO

• b. de l’ensemble du protocole de réalisation par CFAO

• c. des séquences cliniques (préparation, empreinte, scellement) et du protocole complet de CFAO

La mise en condition gingivale : arbre décisionnel

Maxime Ducret, Stéphane Viennot

16. L’objectif de l’accès aux limites cervicales est :

• a. de favoriser l’insertion du matériau à empreinte au sein du sillon gingival

• b. d’utiliser une technique qui laisse un sillon gingival propre et sain

• c. de n’enregistrer que les limites de la préparation

• d. les trois réponses sont bonnes

• e. les trois réponses sont fausses

17. Les facteurs clés à prendre en compte avant de sélectionner une technique de mise en condition gingivale :

• a. le type de préparation

• b. la situation des limites

• c. le biotype parodontal

• d. les trois réponses sont bonnes

• e. les trois réponses sont fausses

18. Sélectionner les affirmations correctes :

• a. le profil d’émergence radiculaire est la partie cervicale de la préparation

• b. les techniques mécanico-chimiques permettent d’enregistrer les limites dans tous les types de situations.

• c. il est possible d’associer différentes techniques comme les techniques mécanico-chimiques et le curetage rotatif

• d. les affirmations a), b) et c) sont bonnes

• e. les affirmations a), b) et c) sont fausses

Découvrez les bonnes réponses sur notre site internet www.editionscdp.fr ; rubrique Formation continue.