Dijon, Rouen, Le Havre, Caen et bientôt Amiens, Le Mans et Besançon... Le Tour de France des services d'odontologie nouvelle génération est loin d'être bouclé. Mais ces nouveaux centres liés par convention aux facultés dentaires les plus proches comblent peu à peu les vides du paysage dentaire français.
Dijon, Rouen, Le Havre, Caen et bientôt Amiens, Le Mans et Besançon... Le Tour de France des services d'odontologie nouvelle génération est loin d'être bouclé. Mais ces nouveaux centres liés par convention aux facultés dentaires les plus proches comblent peu à peu les vides du paysage dentaire français. À deux titres. D’une part en répondant aux besoins de santé publique dans des régions jusqu'à présent dépourvues de centres de Soins, d'Enseignement et de Recherche Dentaires existant au sein des CHU. D’autre part en prétendant ancrer dans ces régions victimes de désertification médicale, de futurs praticiens libéraux.
Mission accomplie donc ? Pas encore. Car si les étudiants sont enthousiasmés par la convivialité et la proximité de cet enseignement pratique, aucune mesure ne peut les obliger aujourd'hui à opter pour ces terroirs en vue de leur future installation.
Enquête à lire dans le numéro Clinic de septembre.