E-réputation ou le droit à l’oubli…
 
E-réputation ou le droit à l’oubli…

07/07/2011

E-réputation ou le droit à l’oubli…

Etre ou ne pas être sur le Web… L’usage généralisé de ce média ne laisse plus indifférent. Mais la puissance croissante de ce support d’informations pose un réel problème, celui de la réputation négative qu’il peut engendrer par des actes malveillants ou par des informations erronées, partiales ou obsolètes. Là se pose le réel enjeu, celui du droit à l’oubli.

Comme le dit si bien l’écrivain anglais Thomas Paine : « Il est plus facile de garder intacte sa réputation que de la blanchir quand elle est ternie ».

Des hauts … et des bas
Un jour vous irez vérifier votre excellent référencement et positionnement à l’aide d’un moteur de recherche. Quelle ne sera pas votre surprise de trouver des commentaires d’anciens camarades de fac ou de confrèrese désabusés ou revanchards. Cruelle désillusion lorsque vous prendrez connaissance du commentaire catastrophique que l’un de vos anciens patients fait de votre cabinet et de vos compétences.

Un commentaire désobligeant sur un blog, une photo prise lors d’une soirée publiée sur Facebook, une mauvaise notation sur un site… et voilà votre réputation entachée durablement. 

Les informations circulant sur la toile sont là pour durer. L’archivage numérique et les outils de recherche sont aujourd’hui d’une telle puissance que l’on peut dire que le Web n’oublie jamais. Toute trace sur le web est indélébile… ou presque.


Passer à l’offensive

Agir sur le référencement négatif relève d’un traitement de fond et au cas par cas. Pas même le leader du ‘nettoyage’ de la Toile , www.reputation.com, ne peut prétendre totalement faire disparaitre un référencement négatif.


- Agir auprès des éditeurs

Aux vues des nombreux sites et relais existants, l’information négative est reprise à l’envi. Le travail de déréférencement va consister à, pied à pied, obtenir le retrait des insertions non désirables. La technique doit combiner contacts pour des demandes de retrait (ou, faute de mieux, droit de réponse) et efforts en termes d’actions de communication (publication d’articles, diffusion de communiqués…) afin d’augmenter le nombre de références positives et de rétrograder en parallèle celles qui ne les sont pas. Le « nettoyage » seul ne suffit pas : il se doit d’être accompagné d’un maillage de la Toile.

Il faut agir auprès des éditeurs et non des hébergeurs. Le plus efficace est de prendre contact avec les principaux diffuseurs d’une information et de leur demander de faire disparaître l’information (le plus souvent archivée).

Vous pouvez agir en apportant la preuve que l’on a affaire à des insinuations mensongères, il est possible d’obtenir gain de cause (avec juste un peu de ténacité)


- Agir auprès des moteurs

Dans l’attente d’une réponse éventuelle de l’éditeur, il s’avère que la seule solution est de faire descendre le référencement négatif dans les profondeurs des moteurs de recherche type Google. Pour une plus grande efficacité, nous vous conseillons de coupler vos contacts par des écrits, des commentaires positifs et autres blogs.


Faire et ne pas faire … quelques sages conseils

• Sensibiliser les membres du cabinet sur le fait que la bonne réputation est l’affaire de tous et que leurs agissements peuvent nuire à l’entreprise.

• Ne pas attendre que l’on parle de vous, il faut être présents et actifs sur les différents supports du Web. La meilleure défense c’est d’anticiper.

• Privilégier le contenu au paraître. Etre soi-même et ne pas essayer de plaire ou ressembler aux autres.

• Choisir des supports de communication dans lesquels vous êtes en mesure de jouer un rôle actif, dans la durée.


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