La connaissance de l'étiopathogénie des taches blanches et de la variabilité de leur expression clinique est indispensable afin de réaliser un diagnostic différentiel fiable avant d'envisager toute tentative thérapeutique visant à traiter ces lésions.
Au-delà du diagnostic, l'examen clinique doit permettre d'apprécier la sévérité, l'évolutivité ainsi que la visibilité de ces taches blanches lors du sourire.
Image tirée de l'article "Les taches blanches de l'émail - 1ère partie Étiopathogénie" de Vivien Moll et Christian Pignoly, publié dans Clinic, octobre 2013.