Clinic
n°10
11/2010
Grâce à différents médicaments, aux anesthésies locales, voire même générales dans les cas extrêmes, et à la sédation, le chirurgien-dentiste est efficace dans la prise en charge de la douleur aiguë, qu’elle soit liée aux soins ou à un défaut de soins. Il est en revanche moins sensibilisé aux douleurs chroniques dont les mécanismes sont beaucoup plus complexes à appréhender. Trois chirurgiens-dentistes qui exercent en milieu hospitalier évoquent, pour Clinic, leur expérience de la prise en charge de douleurs chroniques.