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  • Parmi les anomalies dentaires, l’amélogenèse imparfaite est, dans certaines de ses formes, l’une des plus sévères et des plus difficiles à prendre en charge sur le plan esthétique et fonctionnel. De nombreux progrès ont été accomplis sur le plan du diagnostic génétique et sur le plan thérapeutique. L’expertise du Pr Bloch-Zupan nous a permis de faire le point, non seulement sur la connaissance de la maladie et ses diverses formes, mais également sur sa prise en charge thérapeutique au sein du réseau des centres de compétences des maladies rares, de plus en plus étendu à l’échelle nationale.
  • « Les omnipraticiens français ont-ils adopté les nouveaux concepts de prise en charge de la maladie carieuse ? » Pour tenter de répondre à cette question, les deux techniques d'investigation les plus courantes - enquête par questionnaire sur la philosophie de traitements et enquête de pratique - ont été mises en oeuvre auprès d'omnipraticiens et enseignants français en odontologie conservatrice. Cet article se propose de résumer et de discuter les principaux résultats des études réalisées entre 2002 et 2006.
  • Au pays des chaînes discount, le secteur dentaire fait lui aussi miroiter des soins à bas prix. Les acteurs du marché se veulent toutefois nuancés, préférant plutôt parler qualité que prix. C’est que la profession s’est recadrée, aidée en cela par le législateur. Un clin d’œil à une...
  • Un chirurgien-dentiste, ça ne soigne pas les dents les mains dans les poches. Que serions-nous sans nos fraises, nos contre-angles et nos anesthésiques ?
  • INTRODUCTION Le terme de tumeur ou néoplasme, ou néoplasie, désigne une prolifération cellulaire excessive. La classification des tumeurs est fondée sur le tissu d’origine, le type histologique et le degré de malignité. Classiquement, et pour des raisons pédagogiques, on classe les tumeurs bénignes...
  • OBLIGATIONS
    Déclaration des installations de radiologie, formation de la personne compétente en radioprotection (PCR), suivis dosimétriques... L'Ordre, l'ADF, la CNSD et l'UJCD cosignent un texte publié dans le Bulletin de l'Ordre du mois de février, qui rassemble ce que le chirurgien-dentiste doit savoir pour...
  • Les pâtissiers travaillant le sucre sont en contact permanent avec les poussières de sucre, dans des lieux de travail parfois mal ventilés. Ces vapeurs alliées à certains gestes professionnels entraînent un risque important de carie caractéristique, dite carie du pâtissier. On constate en outre que c’est une profession qui consomme globalement plus d’actes dentaires que les autres professions indépendantes, montrant ainsi la prévalence des problèmes dentaires. Il existe toutefois une partie de cette profession qui n’a que peu recours aux soins. Afin de sensibiliser les chefs d’entreprise boulangers-pâtissiers de Paris et de la Seine-Saint-Denis qui n’avaient pas eu de remboursement d’actes dentaires depuis 3 ans, le Régime social des indépendants (RSI) d’Île-de-France les a invités, en 2009, à un examen de dépistage avec entretien personnalisé : en effet, certaines mesures de prévention au niveau du poste de travail et des règles d’hygiène bucco-dentaire peuvent permettre de diminuer ce risque.
  • En dépit des progrès dans le traitement de la prévention de la douleur, les soins dentaires occasionnent encore, chez certains adultes, enfants ou personnes handicapées, de la crainte ou de l’anxiété. Cette peur peut se traduire par des comportements difficiles à maîtriser au fauteuil, entravant l’exécution des soins.La sédation par inhalation d’oxygène et de protoxyde d’azote est une approche pharmacologique qui facilite les possibilités de traitement des patients peu ou pas coopérants. Elle induit une sédation consciente : elle déprime le système nerveux central pour permettre une relaxation du patient, avec un maintien de la communication verbale. Cet article a pour but de présenter cette technique de sédation dans ses aspects pharmacologiques, pratiques et médico-légaux.
  • Effondrement de la prévalence de la carie, diminution du nombre des praticiens… Michel Sixou alerte la profession sur l’urgence des choix à faire pour répondre aux besoins de la population. Le doyen de la faculté de Toulouse prévoit, dans le cadre d’une expérimentation, de former dès l’an prochain des aides-soignantes pour réaliser certains actes en bouche, sous la responsabilité du chirurgien-dentiste.
  • Aussi différents que complémentaires, Nam Ngo et Patrick Fournier ont su créer une homogénéité à la fois authentique et subtile dans leur cabinet de l’Est parisien. Leur espace de travail est le fruit d’expériences professionnelles respectives, d’une réflexion sur la pratique et d’ajustements au long cours. Leur credo ? Une quête constante d’équilibre.
  • En 1999, Cendres et Métaux SA a choisi d'illustrer son 75e anniversaire d'un engagement, « We care personally » (littéralement, « nous nous impliquons personnellement »), qui ne date pas d'hier. On peut même l'assimiler à ces éléments de tradition dont la société helvétique a toujours nourri son évolution, y compris… avant d'investir le domaine dentaire – à travers les attachements et les alliages – dans lequel il a aujourd'hui acquis une réputation internationale.
  • CHRISTIAN COUZINOUPrésident de l’Ordre national
    À la présidence de l’Ordre depuis 8 ans, Christian Couzinou décide de passer le témoin lors des prochaines élections au mois de juin. L’Ordre a-t-il changé pendant ces 8 années ? Plutôt que de répondre, Christian Couzinou préfère faire le point sur les dossiers dans lesquels l’Ordre s’implique.
  • Créés sur la base de partenariats entre les CHU et les facultés dentaires, les services d’odontologie volent au secours des régions dont les indicateurs de santé sont au rouge. Bien qu’ils aient encore besoin d’ajustements en matière d’encadrement universitaire, ces services font le bonheur des étudiants des cinquième et sixième années qui y sont accueillis et des praticiens locaux qui y trouvent du sang neuf.
  • NOVEMBRE 201315L’UFSBD rend publiques ses nouvelles recommandations en matière d’hygiène bucco-dentaire. Le nombre de brossages des dents recommandé est ramené à deux par jour, matin et soir, pendant 2 minutes environ. 18La ministre de la Santé Marisol Touraine et le ministre de l’Agriculture...
  • « Le développement professionnel continu : c’est parti ! » annonce le dernier ADF Infos. De fait, les pièces du puzzle ont été progressivement mises en place ces derniers mois pour qu’en juin, le développement professionnel continu (DPC) soit applicable : 6 types de programmes ont été validés par la Haute Autorité de santé (HAS), la liste des orientations nationales pour 2013 a été publiée, chaque praticien n’a plus qu’à ouvrir son compte sur www.mondpc.fr pour suivre son DPC tout au long de sa carrière… Pourtant, des responsables ordinaux expriment leur inquiétude sur les difficultés concrètes d’application du DPC.
  • Faire face, en odontologie pédiatrique, aux différentes questions des parents des jeunes patients nécessite à la fois une réactualisation permanente des connaissances cliniques et une solide compétence pédagogique. Michèle Muller-Bolla, professeur en odontologie pédiatrique à l’UFR d’odontologie de Nice, a opté pour une approche à la fois clinique, scientifique, humoristique et interactive avec la salle pour plonger le chirurgien-dentiste dans des scènes représentatives de son exercice quotidien.
  • Une pratique clinique « raisonnée » en cariologie repose sur une idée maîtresse, le contrôle de la maladie par la détermination et la gestion des facteurs de risque. Le présent document présente une version française de la fiche d’évaluation du risque carieux, très répandue aux États-Unis, développée par la CAMBRA Coalition ; les adaptations linguistiques et culturelles nécessaires à l’intégration de ce concept dans le paysage français seront aussi discutées.
  • Les pertes de substances de la sphère orofaciale engendrent des conséquences fonctionnelles, esthétiques et psychologiques graves. La prothèse maxillo-faciale est un moyen de traitement pour restaurer les pertes de substances non seulement dentaires mais aussi osseuses et muqueuses orofaciales. La prothèse maxillo-faciale couvre plusieurs champs d’activité tels que les reconstructions prothétiques à la suite d’une tumeur maligne ou d’un traumatisme balistique. Néanmoins, la chirurgie correctrice ne permet pas de rétablir ad integrum les structures anatomiques, entraînant ainsi une instabilité de la restauration prothétique. L’avènement et la fiabilisation de l’implantologie orale permettent d’envisager de nouvelles approches thérapeutiques restauratrices bucco-dentaires chez ces patients atteints d’une perte de substances de la sphère orofaciale.
  • Janvier 2014. Nos députés ont osé voter la loi qui autorise les mutuelles à créer des réseaux de soins. Grâce à ce texte, les mutuelles rembourseront mieux si le praticien est affilié à leur réseau et peuvent généraliser la pratique du tiers payant. Nos législateurs ont voté un texte qui...
  • PROTHÈSE
    La communication sur le prix des prothèses dentaires a fait l'objet de plusieurs débats dans les deux hémicycles l'année écoulée. La loi de financement pour la Sécurité sociale (LFSS) 2009 votée par les deux assemblées demandait (art. 72) au chirurgien-dentiste d'inscrire sur le devis « le prix de...
  • La luxation antérieure du condyle mandibulaire constitue une situation peu fréquente au cabinet dentaire mais toujours spectaculaire. Cependant, sa prise en charge doit être réalisée au fauteuil le plus précocement possible. En effet, il faut agir avant que la contracture des muscles masticateurs n’apparaisse et ne rende la réduction difficile. Cet article a pour but d’illustrer la prise en charge de cette urgence à l’aide d’un traitement mécanique, la manœuvre de Nélaton.
  • La profession inaugure une nouvelle fonction, celle du référent qui veille dans son département à ce que les personnes handicapées aient accès aux soins bucco-dentaires. Pour ces référents, souvent déjà très impliqués dans ce type de soins comme le montrent ces quelques témoignages, cette nouvelle fonction va permettre de fédérer et de dynamiser des initiatives menées jusqu’à présent de façon souvent éparse.
  • Installé depuis 1982 à Saint-Donat-sur-l’Herbasse, dans la Drôme, Daniel Brulebois prend soin de ses abeilles autant que de ses patients. Entre ruches et collines, ce passionné a su construire son coin de paradis.
  • Si l’essor de l’implantologie a réduit le champ d’application de la prothèse adjointe, il ne permet pas de traiter l’ensemble des situations cliniques auxquelles le chirurgien-dentiste peut être confronté. La prothèse adjointe conserve ainsi de nombreuses indications mais, dès l’examen clinique initial, certaines particularités anatomiques peuvent compromettre le succès du traitement si elles ne sont pas dépistées. En prothèse complète, comme dans toute restauration prothétique, l’examen clinique occupe une place déterminante dans la conduite du traitement ainsi que, indirectement, dans le succès et la pérennité de la restauration prothétique. L’objectif de cet article est de mettre en évidence les éléments défavorables à la réussite de la thérapeutique, facteurs qui, eux-mêmes, vont influer sur la conduite des différentes étapes de la réalisation prothétique.
  • Quels sont les effets de la formation du personnel soignant sur la santé orale d’une population âgée résidant en établissement d’hébergement de personnes âgées dépendantes (EHPAD) ? Une vaste étude pilote (1), qui a l’originalité d’avoir été menée conjointement par des chirurgiens-dentistes libéraux et hospitalo-universitaires et un réseau d’EHPAD du Val-d’Oise, donne des résultats prometteurs.