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  • RETRAITE
    L'an dernier, 19 557 chirurgiens-dentistes ont bénéficié d'un montant moyen de retraite de 29 836 euros. Parmi eux, 1 668 praticiens cumulent emploi et retraite.
  • Responsable d’une structure de soins soumise aux lois de l’entreprise, le praticien se doit également d’assumer une fonction de leader au sein de son équipe. Définir le projet du cabinet, provoquer le changement, montrer l’exemple et donner l’énergie à son équipe sont quelques-uns des rôles...
  • INSTALLATION
    La SNCF, qui dispose d’un réseau de 3 000 gares, propose aux professionnels de santé libéraux d’y ouvrir des cabinets à côté des commerces et activités. Les avantages ? Une implantation dans un lieu bien identifié, bien desservi par le train mais aussi les autres transports en commun. Ce sont...
  • En cette période de ralentissement économique, les patients, disons-le clairement, consentent moins facilement qu’avant à se défaire de leur argent. Ajoutez à cela une certaine concurrence avec les centres mutualistes, les réseaux de soins et, surtout, la concurrence extraprofessionnelle, et vous...
  • NOUVELLE INSCRIPTION À L’ORDRE
    La part des chirurgiens-dentistes diplômés à l’étranger continue de progresser parmi les nouveaux inscrits au tableau de l’Ordre. En 2014, ils ont représenté le tiers des primo-inscrits. Ainsi, sur 1 466 nouveaux inscrits au tableau, 510 ont obtenu un diplôme hors de France, soit 34,7 % du total....
  • La demande de réhabilitation du sourire confronte les chirurgiens-dentistes à des situations éthiquement délicates. Le soin esthétique aura pour le patient des conséquences physiques, psychiques, mais aussi économiques. C’est pourquoi des précautions s’imposent pour savoir si son souhait est...
  • CHIRURGIEN-DENTISTE
    « On s'en est pris plein la poire », résume un responsable professionnel en faisant référence à des propos tenus au sein des deux assemblées et au cours d'émissions télévisées tout au long de l'année écoulée ! Pour l'Ordre et l'ADF, il est temps de réagir. Les deux institutions ont décidé de...
  • Profession : chirurgien-dentiste
    La profession de chirurgien-dentiste est toujours aussi attrayante et offre des possibilités de développement à la fois professionnel et personnel. Et ce malgré la morosité ambiante. C’est l’un des enseignements de la première grande enquête annuelle menée par le Groupe Edmond Binhas et Clinic entre le 1er septembre et le 31 octobre 2011. Quelques résultats clés en témoignent. Ainsi, près de 30 % des sondés estiment que leur résultat en 2011 sera meilleur que celui de 2010 et que la moyenne de leur chiffre d’affaires a augmenté. Sur environ 200 praticiens ayant répondu à la question sur le stress, les deux tiers évaluent le leur de bas à tolérable.
  • Depuis 6 ans, Marie Civel alterne vie professionnelle et vie personnelle. Le remplacement lui permet de s’engager comme chirurgien-dentiste dans des missions humanitaires, de voyager et de faire aussi beaucoup de sport. Elle a participé au trophée automobile Roses des sables en 2010.Aussi débrouillarde que déterminée, cette jeune Bretonne de 31 ans vit ses passions sans concession.
  • Quarante ans après l’invention de la CAO/CFAO en dentisterie, son découvreur François Duret savoure enfin le temps venu de la diffusion de cette nouvelle technologie dans la profession. Rencontre avec ce chirurgien-dentiste, chercheur et président d’honneur du prochain congrès Imagina Dental à Monaco qui ouvre ses portes le 21 février prochain.
  • Pour être chirurgien-dentiste, elle n’en est pas moins blogueuse. Chaque semaine, son franc-parler et ses réflexions sur la profession intéressent ses lecteurs… et dérangent parfois ses confrères.
  • Avant de réaliser un acte, le chirurgien-dentiste doit informer son patient sur les investigations, les actions de prévention ou les traitements divers qui sont proposés, leur utilité, leur urgence éventuelle et leurs conséquences. Il conserve une trace écrite, papier ou numérique, du consentement.
  • Le rôle du chirurgien-dentiste ne consiste plus uniquement en la prise en charge des urgences, des douleurs, des infections… On ne peut en effet méconnaître les progrès de la dentisterie actuelle, et en particulier de l’adhésion qui permet une préservation tissulaire maximale. Il faut aussi considérer le changement fondamental de la demande sociétale en matière de confort et d’esthétique.
  • Aucun article du Code de déontologie ne prévoit d’obligation d’archivage des dossiers patients à la charge du chirurgien-dentiste. Pourtant, l’archivage des données de santé est le seul moyen à la disposition du professionnel pour suivre l’évolution de l’état de santé du patient, assurer la transmission des informations à un confrère ou encore bénéficier d’éléments de défense en cas d’engagement de sa responsabilité. En l’absence de préconisations, quelles règles doit-il respecter pour assurer l’archivage de ses dossiers ?
  • Vendre son cabinet n’est pas chose simple aujourd’hui et céder sa clientèle encore moins. Si la profession de chirurgien-dentiste ne saurait être exercée comme un commerce, reste que le cabinet est défini comme un fonds libéral d’exercice, autorisant les cessions de clientèle appelées « droit de présentation à la clientèle » et donnant lieu à une indemnité.
  • L’image du chirurgien-dentiste véhiculée par les médias ou le cinéma apparaît rarement à l’avantage de la profession. La publicité sert en revanche beaucoup mieux les intérêts de la profession.
  • Dans sa pratique quotidienne, le chirurgien-dentiste peut être confronté à des réactions allergiques. Certaines sont mineures et bénignes, tandis que d’autres sont susceptibles de mettre en jeu le pronostic vital du patient. Chaque praticien doit connaître les risques inhérents aux produits et aux matériels qu’il utilise et être à même de prendre en charge efficacement un patient présentant une réaction allergique grave dans son cabinet.
  • L’humain est au cœur de tout ce qu’il entreprend. Son credo : chercher, accompagner et partager. Pierre Fronty, chirurgien-dentiste poitevin, est également docteur en sciences odontologiques, président du Conseil de l’Ordre et expert auprès des tribunaux. Sa passion ? La paléontologie, discipline scientifique qui raconte l’évolution par l’étude des pièces fossiles.
  • Grâce à différents médicaments, aux anesthésies locales, voire même générales dans les cas extrêmes, et à la sédation, le chirurgien-dentiste est efficace dans la prise en charge de la douleur aiguë, qu’elle soit liée aux soins ou à un défaut de soins. Il est en revanche moins sensibilisé aux douleurs chroniques dont les mécanismes sont beaucoup plus complexes à appréhender. Trois chirurgiens-dentistes qui exercent en milieu hospitalier évoquent, pour Clinic, leur expérience de la prise en charge de douleurs chroniques.
  • Aux termes du Code de déontologie, le chirurgien-dentiste doit exercer personnellement, ce qui signifie qu’il ne peut donner son cabinet ni en gérance, ni en location-gérance. Cependant, rien ne lui interdit d’être assisté par un collaborateur qui peut avoir un statut libéral ou de salarié.
  • COTISATIONS SOCIALES
    La maladie et la retraite sont au coeur des préoccupations des pouvoirs publics. À juste raison. Le chirurgien-dentiste a déjà constaté, en quelques années, plusieurs évolutions, coûteuses et sans contrepartie. Considérations générales à l'usage de ceux qui ne comprennent plus.
  • La thèse de Marie Franchiset a servi de trame à un livre qui vient de paraître aux éditions L’Harmattan : Le chirurgien-dentiste dans le cinéma et la littérature du XXe siècle. Son auteur y confronte les représentations du métier à la pratique dentaire d’aujourd’hui pour, au final, redorer le blason des chirurgiens­dentistes et rassurer les patients.
  • Tout au long de sa formation continue, le chirurgien-dentiste se doit de se tenir au courant des dernières données avérées de la science, à la fois pour améliorer encore et toujours sa pratique clinique, mais aussi pour augmenter son rendement et diminuer ses risques d'échecs potentiels. Optimiser ses recherches documentaires devient donc vital et nécessite la consultation de données synthétiques, facilement accessibles et fiables : les revues systématiques de la littérature.
  • « Médecine bucco-dentaire » a remplacé « art dentaire » pour désigner l'activité du chirurgien-dentiste le 15 décembre 2009. Philippe Calfon, qui dirige depuis 2001 à l'Organisation internationale de normalisation (ISO) le sous-comité technique TC 106/SC3 à l'initiative de cette évolution, explique les enjeux de cette décision et l'important travail de terminologie dans le domaine dentaire mené au sein de cette organisation.
  • Les praticiens sont fréquemment confrontés à des patients consultant pour des sensibilités dentaires pouvant être associées à des récessions tissulaires marginales. Face à ce type de situation, le chirurgien-dentiste dispose de tout un arsenal thérapeutique : vernis protecteur, dentisterie restauratrice, laser, chirurgie parodontale de recouvrement, etc. Chaque type de traitement possède ses propres indications qu’il faut savoir respecter. Dans certains cas, l’apport de la chirurgie parodontale ne peut être écarté.