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  • Introduction L'objectif de cette étude est de comparer le comportement à l'usure de différents matériaux pour des restaurations provisoires. Pour cela, 3 résines pour l'impression 3D et un bloc PMMA pour l'usinage CAD/CAM sont comparés entre eux. Une résine composite pour les restaurations directes...
  • Les biocéramiques sont des biomatériaux utilisés depuis de nombreuses années en chirurgie orthopédique ou reconstructrice. Leurs propriétés biologiques s’avèrent particulièrement intéressantes en endodontie. Au regard de propriétés biologiques équivalentes, voire supérieures, leur facilité de mise en œuvre et de manipulation est un véritable atout par rapport aux biomatériaux déjà existants.
  • À l’époque d’une société sur le qui-vive, où le principe de précaution prend de plus en plus d’importance, nouvelle controverse : nos matériaux adhésifs dentaires seraient suspectés de relarguer du bisphénol A, molécule qui pourrait avoir un impact sur la santé, en particulier pour certaines catégories de la population.
  • Nous avons vu, dans un précédent article (Clinic 2015 ; 36 : 463-470) que les ciments verres ionomères (CVI) constituaient une large famille de matériaux, tous fondés sur une chimie proche et se prêtant à de nombreuses indications, en particulier dans le cadre de la restauration des pertes de substance dentaire. Nous avions présenté en détail la famille des ciments verres ionomères modifiés par addition de résine (CVIMAR). Une autre famille de CVI à viscosité accrue, les ciments verres ionomères à haute viscosité (CVI-HV), également nommés CVI condensables, a été introduite pour améliorer les propriétés des CVI conventionnels.
  • Les restaurations directes des dents postérieures avec des composites sont actuellement incontournables. Les situations cliniques traitées par des techniques adhésives directes sont nombreuses et la connaissance des principes de l’adhésion, des matériaux et des protocoles opératoires permet d’avoir des restaurations pérennes. La technique de la cavité « tunnel » s’intègre bien dans l’approche actuelle de la dentisterie adhésive moderne a minima et elle doit être une option thérapeutique à envisager lorsque les crêtes marginales sont intactes. Tout en respectant les indications, les temps opératoires associés à un matriçage de qualité, le substitut dentinaire allié à un composite permet de réaliser une restauration esthétique et fonctionnelle avec une technique simple et adaptée à la pratique quotidienne.
  • Lorsque les pertes de substance coronaire des dents postérieures peuvent faire l’objet d’une restauration conservatrice, le praticien se retrouve devant un éventail de choix de matériaux et de techniques de restauration. Toutes ces solutions ne se valent pas du point de vue de la longévité clinique [1]. Les paramètres régissant la durée des restaurations postérieures sont fonction du cas clinique, du praticien, du biomatériau et de la technique utilisée. Ce dernier critère s’avérant déterminant, nous voulons faire ici le point sur l’indication du composite en méthode indirecte. Face à l’insertion directe du composite, la technique indirecte est considérée comme le gold standard, dans les cas notamment de pertes coronaires étendues ou de reconstitutions proximales [2, 3].
  • Dans sa pratique quotidienne, le chirurgien-dentiste peut être confronté à des réactions allergiques. Certaines sont mineures et bénignes, tandis que d’autres sont susceptibles de mettre en jeu le pronostic vital du patient. Chaque praticien doit connaître les risques inhérents aux produits et aux matériels qu’il utilise et être à même de prendre en charge efficacement un patient présentant une réaction allergique grave dans son cabinet.
  • Le praticien dispose aujourd’hui d’un très grand éventail de matériaux d’assemblage. Cette abondance de choix peut être source de confusion et de difficultés, d’autant que la nature des biomatériaux qu’il doit assembler s’est diversifiée. Il s’avère nécessaire de faire le point sur ces matériaux, notamment sur les colles. La recherche industrielle s’oriente vers la simplification et propose depuis plusieurs années des colles dites auto-adhésives dont il va être question dans cet article. Nous aborderons dans un article prochain, les colles sans propriétés adhésives, qui requièrent des traitements de surface et l’emploi d’agents de couplage.
  • Les situations cliniques postérieures traitées par des techniques adhésives directes sont nombreuses et la connaissance des principes de l’adhésion ainsi que des matériaux permet d’avoir des restaurations pérennes. Trois techniques d’obturation directe postérieure peuvent être utilisées avec des protocoles stricts et précis (la technique en masse unique, les techniques de stratification classiques et les techniques dites « sandwich » ou avec des substituts dentinaires). Ce cas clinique montre qu’associée à un système adhésif MR2, la technique « sandwich » s’intègre bien dans l’approche actuelle de la dentisterie adhésive moderne.
  • Étape finale de la réalisation d’une restauration composite, les gestes de finition sont indispensables au succès durable du traitement. L’objectif de ce temps opératoire est d’éliminer les excès de matériaux, d’obtenir la forme finale de la restauration (anatomie primaire et secondaire) et de reproduire un état de surface (anatomie tertiaire) proche de celui de l’émail pour satisfaire aux impératifs anatomiques et cliniques. La qualité de la finition conditionne en partie l’intégration biologique (diminution de l’adhérence du biofilm), fonctionnelle (résistance à l’usure) et esthétique (réflexion optique) du traitement restaurateur. Le confort du patient (contact de la langue) est également un critère immédiat de satisfaction.Ce temps opératoire a deux aspects limitatifs pour le praticien : le choix des instruments parmi une (trop) grande diversité du matériel existant et un manque de rationalisation.
  • Dans l’arsenal thérapeutique du praticien, la technique directe de stratification et la technique indirecte de facettes en céramique sont essentiellement fondées sur le collage. Ces deux techniques sont devenues incontournables. Les résines composites ont énormément évolué en matière de rendements tant esthétiques que fonctionnels, tout en ayant parfois des limites cliniques.
  • Le risque de contamination nosocomiale au cabinet dentaire reste notablement élevé. En raison de la diversité des actes, du matériel et des matériaux mis en jeu et des différents allers-retours entre le cabinet dentaire et le laboratoire de prothèses, l’acte prothétique est l’un de ceux où la rupture de la chaîne d’asepsie est la plus fréquente.Par conséquent, chaque étape doit générer une réflexion propre à combattre la dissémination de l’infection. Les précautions à prendre dans le cadre des soins prodigués au cabinet dentaire doivent trouver naturellement leur prolongement au laboratoire. Cela implique que le praticien et le laboratoire respectent, d’une part, les principes et les règles de décontamination et de désinfection, qui sont parfaitement définis, et, d’autre part, les séquences et les temps d’application des produits décontaminants afin que la contamination croisée soit éliminée et la précision prothétique assurée.
  • Finition et polissage des restaurations composites
    La première partie de cet article (Clinic n° 351, novembre 2016) a détaillé et argumenté la bonne utilisation des séquences instrumentales à la disposition du praticien pour atteindre les objectifs cliniques requis de la finition et du polissage des restaurations en composite.Les études comparatives montrent clairement qu’il n’est pas nécessaire d’acquérir beaucoup d’instruments pour avoir un plateau technique adéquat. Au contraire, l’important est de faire le bon choix au niveau de l’instrumentation afin de rendre performant le protocole tout en le simplifiant pour consacrer un temps raisonnable à sa réalisation. Dans cette deuxième partie, la procédure clinique et le plateau technique concernant plus spécifiquement la séquence de finition et de polissage des restaurations composites postérieures vont être détaillés. Une prochaine et dernière partie s’intéressera aux spécificités pour le secteur antérieur, en intégrant l’importance des critères optiques.
  • Dans de nombreux domaines de notre vie, nous sommes guidés par des paradigmes. La dentisterie ne fait pas exception. Pendant des années, nous avons placé des implants et attendu plusieurs mois avant de les mettre en charge. Puis des implants permettant une mise en charge immédiate ont été mis au point. Au début, nous étions sceptiques, mais cela a fonctionné. Cela vaut pour les obturations directes. Lorsque nous étions étudiants, on nous disait que pour maîtriser le retrait de polymérisation, le composite devait être appliqué en plusieurs couches. Les années ont passé, de nouveaux matériaux composites, se disant révolutionnaires, sont apparus sur le marché. Pourtant, ils n’ont pas réussi à répondre aux nouvelles attentes. C’est seulement récemment que les choses ont changé et que nous sommes maintenant prêts à changer le paradigme de la stratification du composite.
  • Les lésions des dents postérieures donnent lieu à de multiples solutions restauratrices. À côté des matériaux d’usage direct, notamment l’amalgame et la résine composite, les plus fréquemment utilisés, il existe des techniques de reconstitution par méthode indirecte en composite, céramique ou alliages d’or. Le comportement clinique de ces restaurations sur le long terme, peu étudié, est d’un intérêt significatif pour le praticien dans le choix du meilleur plan de traitement.
  • Alors que l’évaluation statistique apparaît désormais indispensable à la compréhension des pathologies et à la mesure du succès des thérapeutiques proposées, la recherche clinique s’impose comme une évidence en odontologie pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés dans la pratique clinique.
  • « J’ai eu l’occasion de participer à deux projets de recherche clinique que l’on pourrait appeler practice-based. En effet, des praticiens libéraux avaient volontairement été impliqués dans ces deux projets pour réaliser les soins ou une partie des soins, afin que les résultats soient valables...
  • L'évolution de la structure et de la composition des composites a conduit à l'apparition des matériaux dits « bulk fill » qui sont spécifiquement conçus pour une mise en place en masse et une simplification du protocole d'utilisation. Toutefois, de tels matériaux doivent conserver des propriétés...
  • Un patient s’est présenté au cabinet dentaire en raison d’une douleur lors de la mastication d’aliments sucrés, ressentie depuis la pose récente (moins de 6 mois auparavant) de deux restaurations collées (fig. 1). Après une évaluation clinique, il est apparu que des défauts d’étanchéité étaient dus à une altération des joints marginaux des restaurations sur les dents 36 et 37. Le traitement indiqué a été de remplacer les deux restaurations.Le composite Essentia (GC) a été utilisé.
  • PROTOCOLE • Corriger l’intrados et les bords de la prothèse : libération des freins, réduction des bords en surextension ou en surépaisseur, déchargement des surpressions éventuelles. • Dépolir l’intrados de la prothèse à aménager (par sablage ou passage d’une fraise résine en carbure...
  • Le problème de la photo-polymérisation qui se posait au début des années 2000 était que différents dispositifs étaient proposés en plus et en alternative aux générateurs halogènes conventionnels : lampes à arc plasma et lampes à diodes électroluminescentes. Ces nouvelles technologies ont eu...
  • Le terme de péri-implantite est apparu en 1987 dans une publication de Mombelli et al. [1]. Depuis, de nombreux travaux se sont attachés à définir et caractériser cette pathologie inflammatoire qui représente la complication la plus fréquente concernant l’environnement tissulaire péri-implantaire...
  • Le terme de péri-implantite est apparu en 1987 dans une publication de Mombelli et al. [1]. Depuis, de nombreux travaux se sont attachés à définir et caractériser cette pathologie inflammatoire qui représente la complication la plus fréquente concernant l’environnement tissulaire péri-implantaire...
  • L’enseignement de l’odontologie s’appuie beaucoup sur des images fournies par la microscopie. Elles permettent de montrer l’infiniment petit pour mieux comprendre des concepts ardus tels que l’adhésion ou la physiologie pulpaire. Souvent cantonnée à l’illustration de cas cliniques [1], la photographie est un autre excellent moyen d’examiner les tissus de près, tout en conservant les couleurs d’origine.
  • Coller une restauration ou assembler deux surfaces prothétiques ensemble n’est pas un choix philosophique jusqu’au-boutiste du « tout collage » mais, au contraire, une nécessité pour amener plus loin de nouvelles indications thérapeutiques. Quand le scellement ne permet pas de résoudre des...