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  • Le praticien dispose aujourd’hui d’un très grand éventail de matériaux d’assemblage. Cette abondance de choix peut être source de confusion et de difficultés, d’autant que la nature des biomatériaux que l’on doit assembler s’est diversifiée.Il s’avère nécessaire de faire le point sur ces matériaux, notamment sur les colles. Cet article traitera des colles sans propriétés adhésives, qui requièrent des traitements de surface et l’emploi d’agents de couplage. Les colles dites autoadhésives, s’orientant vers la simplification ont été abordées dans un article précédent (voir Clinic n° 344).
  • Les fabricants ont récemment mis au point des systèmes adhésifs universels ou multimodes qui peuvent être utilisés soit après application d’un gel de mordançage, soit directement en automordançants. Ces produits, de même que leur conception, sont nouveaux. Ils donnent à l’utilisateur la possibilité de choisir librement la manière de conditionner les tissus dentaires selon la situation clinique.
  • Les ciments verre ionomère ont de multiples indications ; cependant ils ont une limite quand ils sont placés en tant que restauration soumise à des contraintes : leurs propriétés mécaniques. Ayant une adhésion aux tissus durs de la dent inégalée, ces matériaux présentent des qualités biologiques qui leur confèrent une place toute particulière dans la gamme des restaurations à notre disposition. Cet article présente un ciment verre ionomère de haute viscosité indiqué pour les restaurations coronaires semi-permanentes.
  • Lorsque les pertes de substance coronaire des dents postérieures peuvent faire l’objet d’une restauration conservatrice, le praticien se retrouve devant un éventail de choix de matériaux et de techniques de restauration. Toutes ces solutions ne se valent pas du point de vue de la longévité clinique [1]. Les paramètres régissant la durée des restaurations postérieures sont fonction du cas clinique, du praticien, du biomatériau et de la technique utilisée. Ce dernier critère s’avérant déterminant, nous voulons faire ici le point sur l’indication du composite en méthode indirecte. Face à l’insertion directe du composite, la technique indirecte est considérée comme le gold standard, dans les cas notamment de pertes coronaires étendues ou de reconstitutions proximales [2, 3].
  • Le praticien dispose aujourd’hui d’un très grand éventail de matériaux d’assemblage. Cette abondance de choix peut être source de confusion et de difficultés, d’autant que la nature des biomatériaux qu’il doit assembler s’est diversifiée. Il s’avère nécessaire de faire le point sur ces matériaux, notamment sur les colles. La recherche industrielle s’oriente vers la simplification et propose depuis plusieurs années des colles dites auto-adhésives dont il va être question dans cet article. Nous aborderons dans un article prochain, les colles sans propriétés adhésives, qui requièrent des traitements de surface et l’emploi d’agents de couplage.
  • Les restaurations directes en composite sont une partie intégrante indispensable des traitements conservateurs de l’odontologie restauratrice. Ils sont impliqués selon la technique d’insertion incrémentale, par couches d’une épaisseur maximale de 2 mm d’épaisseur. Les incréments sont polymérisés séparément, avec des temps d’exposition à la lumière variant en fonction de l’intensité lumineuse de la lampe, de la teinte et de la translucidité de l’incrément.Des produits intéressants ont été mis au point et proposés aux praticiens : les composites de type bulk fill ou « placement en masse » [1, 2]. Ces composites permettent de réaliser et de photopolymériser en un temps des couches d’une épaisseur de 4 mm. Ils permettent ainsi une manipulation simplifiée et l’absence d’interfaces entre 2 couches d’incréments de composites qui peuvent parfois être imparfaites (bulles, pertes…). Les données issues des études cliniques disponibles montrent des performances intra-orales satisfaisantes [2-4].
  • Les composites indirects offrent une solution esthétique et fonctionnelle pour la restauration des pertes de substance des dents postérieures. Les composites de laboratoire utilisés pour cette technique permettent notamment un accroissement du degré de conversion des monomères grâce à la post-polymérisation, optimisant les propriétés mécaniques et la résistance à l’usure du matériau. L’objet de cette étude est de mesurer le maintien dans le temps de la qualité de surface de deux composites de laboratoire destinés aux restaurations indirectes, le SR Nexco Paste et le SR Adoro (Ivoclar Vivadent). Un composite de restauration postérieure destiné à être utilisé en méthode directe, testé avec la même méthodologie, est utilisé comme témoin.
  • Les adhésifs universels ou multi-protocoles permettent à l'opérateur de placer le système adhésif avec mordançage préalable ou en automordançant. L'opérateur bénéficie d'une variété et d'une flexibilité d'utilisations cliniques. Les études montrent de bonnes performances en adhésion...
  • L'adhésion entre une zircone non traitée et un composite de collage est relativement faible du fait de l'inertie de cette céramique, de sa faible mouillabilité et de sa faible énergie de surface. Il est nécessaire de traiter l'intrados de la céramique pour optimiser son aptitude au collage et de...