Clinic
n°06
06/2013
Lorsque les pertes de substance coronaire des dents postérieures peuvent faire l’objet d’une restauration conservatrice, le praticien se retrouve devant un éventail de choix de matériaux et de techniques de restauration. Toutes ces solutions ne se valent pas du point de vue de la longévité clinique [1]. Les paramètres régissant la durée des restaurations postérieures sont fonction du cas clinique, du praticien, du biomatériau et de la technique utilisée. Ce dernier critère s’avérant déterminant, nous voulons faire ici le point sur l’indication du composite en méthode indirecte. Face à l’insertion directe du composite, la technique indirecte est considérée comme le gold standard, dans les cas notamment de pertes coronaires étendues ou de reconstitutions proximales [2, 3].