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  • Pascal Valentini fait partie des figures marquantes de l'implantologie en France. Diplomé en 82, il intègre rapidement le nouveau service d'implantologie de l'Université Paris Diderot créé par les Docteurs Missika et Bert. Il effectue des séjours en Californie à UCLA puis Loma Linda où il...
  • L'essentiel de ce qu'il faut retenir :Malgré leur grande efficacité en l'absence de complications, les membranes non résorbables nécessitent une réintervention pour leur dépose. Pour pallier cet inconvénient, de nombreux auteurs ont suggéré l'utilisation de membranes résorbables sous forme de...
  • Depuis 1980, année de la première publication de Boyne et James [1] sur les comblements de sinus, cette technique s'est largement répandue et intégrée dans les plans de traitements implantaires. À l'origine, le matériau de choix était l'os autogène. Mais depuis 10 ans, des biomatériaux ont été...
  • XXIXe CONGRÈS DE L'ASSOCIATION FRANÇAISE DES CHIRURGIENS MAXILLO-FACIAUX JUMELÉE À LA SOCIÉTÉ PARISIENNE DE PARODONTOLOGIE
    Pour le XXIXe édition de son congrès, l'Association française des chirurgiens maxillo-faciaux (AFCMF) s'est associée à la Société parisienne de parodontologie pour échanger leurs connaissances et compétences respectives sur le thème « L'os alvéolaire, préserver et reconstruire ». Dans une première partie (Implant 2002;8(4):267-275), Gérard Aouate a rappelé l'intérêt thérapeutique qui peut résulter d'une collaboration entre les deux disciplines. Cette deuxième partie présente les trois dernières séances.
  • 16 ET 17 OCTOBRE 2009 / AIX-EN-PROVENCE
    Faisant suite au compte rendu de la journée du 16 octobre dernier paru dans notre précédent numéro, nous vous présentons une sélection des communications de la 2e journée de cette dernière édition de Aix-Po.
  • La prévention des neuropathies liées à la pose d'implants implique : - pour les implants antérieurs, le respect d'une distance de 5 mm en avant du bord antérieur du foramen mentonnier ; - pour les implants postérieurs, le respect d'une distance de 2 mm au-dessus du bord supérieur du canal mandibulaire ; - pour la latéralisation du nerf alvéolaire, de n'indiquer cette technique qu'en dernier recours et, dans ce cas, de ne pas toucher au nerf mentonnier tout en diminuant le temps de traction du nerf ; - pour le prélèvement mentonnier, de privilégier une incision intrasulculaire ou dans le vestibule en « V » ouvert à pointe antérieure ; - pour les psychalgies postimplantaires, de contre-indiquer les implants chez les patients insuffisamment motivés ou présentant des troubles psychiatriques.