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  • Un traitement endodontique optimal consiste à réaliser une cavité d’accès appropriée, une bonne mise en forme du système canalaire, une détersion efficace et finalement une obturation 3D optimale du système canalaire afin d’assurer l’étanchéité apicale. Plusieurs matériaux sont...
  • La réimplantation intentionnelle se définit comme l’avulsion délibérée d’une dent, suivie de sa réinsertion dans l’alvéole, ceci après avoir évalué ses surfaces radiculaires et réalisé une réparation radiculaire et/ou une prise en charge sur le plan endodontique [1-3]. Elle se destine aux...
  • LES PERFORATIONS, UN PROBLÈME MAJEUR EN ENDODONTIE La perforation, qui est définie comme la communication entre le système endo-canalaire et le parodonte, représente une complication fréquente en endodontie. Même si les perforations peuvent survenir en raison de causes pathologiques, comme...
  • La prise en charge des dents permanentes immatures nécrosées concerne souvent les incisives maxillaires du fait de leur exposition plus fréquente à des événements traumatiques. Les traumatismes bucco-dentaires affectent en effet préférentiellement les incisives maxillaires permanentes lorsqu’elles...
  • Puisque les pathologies endodontiques, y compris celles qui font suite au traitement endodontique initial, sont essentiellement de nature microbienne [1, 2], le succès du retraitement endodontique dépendra du contrôle de l’infection dans l’ensemble du réseau pulpaire. L’objectif de la désobturation...
  • Le succès du traitement endodontique dépend essentiellement du contrôle de l’infection. Cependant, si le système canalaire est infecté, même avec une mise en forme et une irrigation efficace, il est impossible d’éliminer 100 % des micro-organismes, notamment du fait de la complexité anatomique de...
  • Éviter la réalisation d’un traitement endodontique améliore les taux de survie des dents permanentes [1]. Face à cette observation, la dentisterie restauratrice et l’endodontie prennent en compte, depuis quelques années déjà, cette nécessité de s’orienter vers une approche minimalement invasive...
  • HISTORIQUE Le terme « biocéramique » désigne un groupe de céramiques biocompatibles, chimiquement stables et non corrosives. Elles peuvent être bioactives ou bio-inertes, déclenchant ou non, respectivement, une réaction biologique au sein du tissu hôte. En médecine, les céramiques bio-inertes...
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • En présence d’une malocclusion et/ou de malpositions dentaires, un traitement orthodontique est souvent requis mais il peut ne pas être suffisant sur le plan esthétique lorsqu’une anomalie est survenue au cours de l’éruption dentaire. Des techniques chirurgicales d’allongement des couronnes cliniques peuvent s’avérer nécessaires. Cette complémentarité orthodontie/parodontie souligne l’importance d’un diagnostic esthétique et fonctionnel commun entre orthodontiste et parodontiste.
  • Face à la demande croissante de restaurations esthétiques, l’élongation coronaire en secteur antérieur est souvent nécessaire lors d’une réhabilitation globale. Dans la recherche d’une dentisterie la moins invasive possible, les procédures sans lambeaux se sont développées. Néanmoins, il y a encore de nombreux cas pour lesquels l’élévation de lambeaux s’avère nécessaire. Alors comment prendre la bonne décision avant de démarrer le traitement ? Et quels éléments peuvent nous aider dans cette prise de décision ?
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Les glandes salivaires accessoires, disséminées dans l’ensemble des voies aérodigestives supérieures, peuvent être le siège de tumeurs, principalement au niveau de la muqueuse buccale (voûte ou voile du palais, plancher buccal, joues, lèvres), plus rarement du larynx ou des fosses nasales. Les...
  • La résorption alvéolaire post-extractionnelle ainsi que le phénomène de pneumatisation du sinus maxillaire entraînent une diminution des volumes osseux disponibles pour positionner des implants [1]. La réhabilitation des secteurs maxillaires postérieurs nécessite ainsi le plus souvent l’augmentation...
  • « Le succès est l’échec de l’échec… » (Delphine Lamotte). Les restaurations postérieures (directes et indirectes) occupent une place importante de l’activité des omnipraticiens. Compte tenu de la quantité et du fait qu’aucune restauration n’est éternelle, il est normal d’être...
  • « Je ne perds jamais, soit je gagne soit j’apprends ». Dans la vie de tous les jours, on apprend de nos erreurs. C’est ce qui nous fait progresser et avancer. Cette citation de Nelson Mandela prend tout son sens en dentisterie. Il n’est pas rare que la réalité clinique nous confronte à des...
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.
  • Nous avons tous déjà vécu ou entendu parler d’une expérience décevante lors de la réalisation d’une extraction/implantation immédiate dans le secteur antérieur. La littérature n’est pas toujours tendre avec cette technique. Mais le risque de ce protocole est-il une réalité scientifique ? Les protocoles modernes décrits pour la gestion des cas esthétiques en extraction/implantation immédiate fournissent les clés pour obtenir des résultats esthétiques reproductibles, la technique devenant un allié de choix pour la préservation tissulaire.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • Le traitement des usures dentaires représente l’un des défis majeurs de la dentisterie actuelle. L’attaque érosive, souvent combinée à des phénomènes concomitants d’abrasion et d’attrition, est à présent considérée comme l’un des principaux facteurs de perte tissulaire dentaire. Dans les...
  • Les atteintes non carieuses des tissus durs dentaires, telles que la perte érosive de substance dentaire, sont observées de plus en plus largement ces dernières années. La prévalence des atteintes clairement visibles est aujourd’hui estimée autour de 30 % [1]. Les raisons en sont notamment un...
  • Atteinte clinique mal identifiée, la fêlure coronaire n’est pas une pathologie anecdotique. Elle touche un nombre de plus en plus important de patients et laisse souvent désemparés les praticiens qui y sont confrontés. Nous évoquons dans cet article les fêlures coronaires sur dents pulpées situées au niveau des dents cuspidées. Un sujet très ciblé mais dont on retrouve les implications dans de nombreux domaines de la dentisterie regroupées en sept points clés.
  • L’obturation canalaire constitue une étape importante du traitement endodontique. Elle vise à sceller l’endodonte afin d’éviter une contamination ultérieure par les micro-organismes ou de permettre la cicatrisation d’une parodontite péri-apicale. La technique de condensation latérale à froid ou manuelle reste la plus enseignée en France. Dans la perspective d’amélioration de cette technique, une nouvelle variante assistée mécaniquement a été mise au point.