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  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.
  • La chirurgie guidée permet aujourd’hui de positionner des implants selon une planification chirurgicale et prothétique dans le but d’obtenir des profils d’émergences prophylactiques et esthétiques. Néanmoins, les résorptions osseuses post-extractionnelles nous contraignent souvent à placer des implants en position plus linguale, ce qui crée un sur-contour prothétique néfaste à long terme. Nous pouvons guider la position d’un implant mais comment guider la position de la greffe pour garantir un environnement tissulaire sain.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
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  • L’usure dentaire (attrition, érosion) est un phénomène physiologique. Mais elle peut voir son évolution largement accélérée lorsqu’interviennent des facteurs aggravants, qu’ils soient intrinsèques ou extrinsèques. Les usures évoluent à bas bruit, de façon chronique et, lorsqu’on les...
  • NOTION DE PATIENTS À RISQUE Peuvent être considérés « à risque » les patients susceptibles d’avoir des difficultés, voire une incapacité, à s’habituer au changement de DVO de façon durable. Si un inconfort ou des symptômes sont parfois signalés par les patients ayant bénéficié d’une...
  • Cette étude identifie les perceptions et expériences des patients sur les parcours pré-thérapeutiques, la chirurgie implantaire et la réhabilitation prothétique par prothèse sur implants trans-zygomatiques. Bien que les participants reconnaissent avoir surestimé la phase chirurgicale, ils rencontrent une morbidité plus importante que prévue concernant la phase de guérison. Des propositions d’amélioration de prise en charge peuvent être explorées pour une meilleure expérience globale de la réhabilitation pour le patient.
  • Il existe plusieurs techniques chirurgicales afin d’augmenter les volumes osseux : bloc autogène, distraction osseuse, régénération osseuse guidée (ROG)… Malgré les nombreuses publications sur leur efficacité, les ROG avec des membranes non résorbables ont toujours été au centre des débats du...
  • L’amélioration des soins dentaires au cours du siècle dernier permet aujourd’hui aux patients de conserver leurs dents tout au long de leur vie. Malgré tout, le vieillissement de la population suppose un nombre croissant de personnes édentées. Pas moins de 2 milliards de personnes de plus de 60 ans...
  • La perte des dents entraîne une résorption de l’os alvéolaire. Elle est habituellement plus importante à la mandibule qu’au maxillaire du fait de l’anatomie de l’arche et des contraintes exercées [1]. Le remplacement des incisives mandibulaires par des reconstructions implanto-portées est un...
  • La technique de régénération osseuse guidée (ROG) a pour but d’augmenter le volume osseux insuffisant. Ses principes découlent des principes de la régénération tissulaire guidée. Cette dernière consiste à stimuler le repeuplement sélectif de la surface radiculaire par les cellules provenant du...
  • La technique de régénération osseuse guidée (ROG) a pour but d’augmenter le volume osseux insuffisant. Ses principes découlent des principes de la régénération tissulaire guidée. Cette dernière consiste à stimuler le repeuplement sélectif de la surface radiculaire par les cellules provenant du...
  • PARTAGER LE SAVOIR NOUS FAIT GRANDIR
    CLINIC : Hadi Antoun, quel est votre parcours ? Hadi ANTOUN : Après mes études à Lyon, j’ai intégré le cabinet de Jacques Bori, à Paris, qui m’a rapidement orienté vers un postgraduate en parodontologie à Boston. J’ai rapidement été séduit par l’implantologie auprès de Carl Misch. Entre...
  • Augmenter sans greffer ? Est-ce possible ? Si nous considérons que le terme « greffer » répond à un prélèvement osseux, alors oui, il est possible d’augmenter sans greffer. Les augmentations par fractures déplacées bien connues en orthopédie peuvent être détournées pour répondre à un objectif de gain en volumes, bien plus puissant en mécanisme de cicatrisation que ne le serait l’intégration d’une greffe.
  • Il existe aujourd’hui un vaste choix de techniques de reconstructions osseuses pré-implantaires reproductibles. Le choix d’un procédé par rapport à un autre dépend du type de défaut osseux, des habitudes chirurgicales du praticien, du plateau technique et enfin du « contexte patient ». La régénération osseuse guidée 2.0 dite sausage telle que décrite par Urban est une technique simple à mettre en œuvre et semble offrir des résultats satisfaisants à moindre morbidité pour le patient. Quelles sont les indications de mise en œuvre de la sausage technique ? Quelles sont les étapes du protocole chirurgical ?
  • Un des défis majeurs de l’implantologie est la reconstruction de la crête alvéolaire dans ses dimensions horizontales et verticales. Les principales techniques de greffes osseuses utilisées sous anesthésie locale sont les expansions, les greffes autogènes avec prélèvement d’os intra-buccal et les régénérations osseuses guidées (ROG).
  • La préservation alvéolaire est indiquée en présence d’une corticale vestibulaire inférieure à 2 mm, avec une largeur de crête d’au moins 8 à 9 mm et plutôt dans les secteurs postérieurs. Une fois l’avulsion dentaire réalisée de manière atraumatique, l’alvéole est comblée par un biomatériau et, le plus souvent, scellée à l’aide d’une membrane, résorbable ou non. Le fait de combler l’alvéole retarde la néoformation osseuse. L’implant sera posé au minimum 6 mois plus tard. L’information et le consentement du patient sont donc un prérequis indispensable.