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  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les sinus maxillaires et les fosses nasales étant en contiguïté anatomique avec l’arcade supérieure, le chirurgien-dentiste est très régulièrement confronté aux pathologies rhino-sinusiennes, et ce aussi bien de manière fortuite que face à un tableau symptomatique. Qu’elles soient de nature infectieuse, inflammatoire ou tumorale, ces pathologies se traduisent par une radio-opacité des cavités aériennes : une analyse fine des imageries ainsi que le recueil des symptômes et des signes cliniques sont essentiels pour orienter le diagnostic. L’étiologie dentaire étant une cause fréquente de sinusite maxillaire, la coordination entre ORL et chirurgien-dentiste permet d’améliorer significativement la prise en charge des patients.
  • Les cellulites cervico-faciales (CCF) sont des pathologies infectieuses de la sphère oro-faciale relativement fréquentes qui présentent des tableaux cliniques variés. Prises en charge rapidement et de façon adaptée, leur pronostic est bon mais certaines formes graves peuvent engager le pronostic vital du patient. Les chirurgiens-dentistes se doivent de bien connaître ces pathologies, de savoir identifier les signes de gravité et d’assurer une prise en charge correcte du patient ou, le cas échéant, de l’adresser en milieu hospitalier.
  • Les infections bucco-dentaires sont une des premières causes de consultation en cabinet libéral. La douleur peut en être une des symptomatologies amenant le patient à consulter. Souvent banales, elles peuvent néanmoins, de par leur gravité ou les séquelles qu’elles peuvent entraîner, engager le...
  • Dans le domaine de l’implantologie, la recherche et les innovations technologiques de ces dernières décennies ont visé essentiellement à étendre les indications tout en diminuant les échecs. Ces innovations ont surtout concerné l’implant lui-même, que ce soit au niveau de son état de surface [1],...
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • Dans certaines situations cliniques, lorsque notre choix se tournera vers la réalisation de coiffes périphériques, nous privilégierons la réalisation de préparations verticales qui présentent un certain nombre d’avantages techniques et biologiques. Cet article, après avoir défini les différents types de préparations verticales et leurs spécificités, permet de faire un état des lieux de ce qui existe dans la littérature au sujet de la relation entre espace biologique, cicatrisation des tissus mous et préparations verticales. Il présente également la mise en œuvre de quelques étapes cliniques associées à ces techniques.
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • PREMIÈRE CONSULTATION La patiente se présente au cabinet en 2018. A la suite de la prise en charge par un confrère, elle explique que les deux barres posées se sont fracturées à deux reprises après 15 jours. La patiente est contrariée, elle n’a plus confiance dans les solutions amovibles...
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.
  • La chirurgie guidée permet aujourd’hui de positionner des implants selon une planification chirurgicale et prothétique dans le but d’obtenir des profils d’émergences prophylactiques et esthétiques. Néanmoins, les résorptions osseuses post-extractionnelles nous contraignent souvent à placer des implants en position plus linguale, ce qui crée un sur-contour prothétique néfaste à long terme. Nous pouvons guider la position d’un implant mais comment guider la position de la greffe pour garantir un environnement tissulaire sain.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
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  • Les premiers protocoles de chirurgie guidée assistée par ordinateur sont apparus dans les années 1990 avec le développement des premiers logiciels informatiques de planification avec fabrication de guides chirurgicaux [1]. Les premiers logiciels sont arrivés dans les années 90, Image Master 101 (1990)...