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  • Une avulsion dentaire conduit à une perte osseuse dans les sens vertical et horizontal. Selon la loi de Wolff, l’os se forme et se résorbe en fonction des contraintes mécaniques qu’il subit ; l’absence de support dentaire entraînera un phénomène de résorption de l’os alvéolaire (figure 1)....
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • La mise en charge précoce exige une séquence de traitement rigoureuse dont chaque étape doit être scrupuleusement respectée et validée avant de passer à la suivante. Néanmoins, avant de décrire le protocole en détails, il est important de définir le cadre dans lequel nous souhaitons intégrer notre...
  • Les années 80 ont forgé dans nos mémoires l’avènement des implants, validés scientifiquement par Brånemark alors que démarrait au même moment l’évolution des surfaces lisses vers semi-rugueuses, pour une meilleure ostéointégration. À cette même époque est passé inaperçu l’immense travail...
  • Le traitement des usures dentaires représente l’un des défis majeurs de la dentisterie actuelle. L’attaque érosive, souvent combinée à des phénomènes concomitants d’abrasion et d’attrition, est à présent considérée comme l’un des principaux facteurs de perte tissulaire dentaire. Dans les...
  • L’usure dentaire (attrition, érosion) est un phénomène physiologique. Mais elle peut voir son évolution largement accélérée lorsqu’interviennent des facteurs aggravants, qu’ils soient intrinsèques ou extrinsèques. Les usures évoluent à bas bruit, de façon chronique et, lorsqu’on les...
  • Le maxillaire postérieur édenté représente un défi thérapeutique pour le traitement implantaire. Après avulsion, la résorption osseuse et la pneumatisation du sinus maxillaire peuvent aboutir à une hauteur osseuse résiduelle réduite, souvent associée à une diminution de la densité osseuse. La...
  • Le bruxisme est une activité répétitive des muscles masticateurs, exercée durant l’éveil et/ou le sommeil, le plus souvent de manière non consciente et caractérisée par le serrement et le grincement des dents. Il touche 8 à 32 % de la population adulte (selon les études et les populations) et...
  • NOTION DE PATIENTS À RISQUE Peuvent être considérés « à risque » les patients susceptibles d’avoir des difficultés, voire une incapacité, à s’habituer au changement de DVO de façon durable. Si un inconfort ou des symptômes sont parfois signalés par les patients ayant bénéficié d’une...
  • Aujourd’hui, l’implantologie fait partie de l’arsenal thérapeutique du praticien et s’intègre dans les plans de traitement globaux. L’implantologie a d’abord été utilisée pour traiter des patients édentés totaux pour lesquels les implants étaient positionnés avant tout dans l’os afin de...
  • Entre 8 et 31 % de la population présenterait [1] un bruxisme nocturne dit « sévère », c’est-à-dire susceptible d’entraîner des conséquences dentaires, parodontales, musculoarticulaires, voire posturales. Plusieurs types de bruxismes nocturnes ont été décrits, chacun ayant ses propres manifestations cliniques et des répercussions différentes. Si le traitement de choix est idéalement préventif en tentant de dépister et de gérer au mieux les étiologies, il s’avère parfois nécessaire, en complément, de prévenir ou de limiter les conséquences du bruxisme nocturne. Les orthèses occlusales sont un des outils à notre disposition, leur utilisation méritant une mise au point sur les impératifs, leur réalisation ainsi que la maintenance. D’autres options de prise en charge sont également exposées.
  • L’améloblastome est une tumeur odontogène épithéliale bégnine mais agressive à croissance lente développée à partir des débris épithéliaux de Malassez. Il est relativement rare puisqu’il représenterait 1 % de tous les kystes et tumeurs des maxillaires [1] et 10 à 14 % des tumeurs...
  • En prothèse amovible, qu’elle soit partielle ou totale, le praticien se trouve souvent confronté à des phénomènes de résorptions importants, voire majeurs, qui laissent présager, à juste titre, de futures difficultés thérapeutiques et pour le patient des problèmes fonctionnels. A contrario, la...
  • Face à un édentement complet, le chirurgien-dentiste fait face à une multitude de solutions thérapeutiques qui requièrent toutes une analyse approfondie de la situation [1]. Une erreur de conception peut ainsi être à l’origine d’instabilités, de complications répétées, d’échecs fonctionnels...
  • Les dysmorphies dento-squelettiques correspondent aux anomalies de développement et de position des bases osseuses des maxillaires les unes par rapport aux autres ou par rapport au crâne. Ces bases osseuses soutiennent les arcades dentaires. Leur malposition entraîne un certain nombre de retentissements...
  • Les mouvements dentaires orthodontiques, lorsqu’ils sont conduits dans l’objectif d’une amélioration du contexte parodontal, facilitent le bon positionnement anatomique des dents dans leur couloir osseux. Ainsi, le traitement orthodontique contribue aux objectifs de base de la thérapeutique...
  • La parodontite de stade III/IV grade C, anciennement nommée parodontite agressive [1], localisée incisives/molaires ou généralisée, est à l’origine de destructions osseuses sévères et rapides chez de jeunes patients en bonne santé générale [2]. Sa prévalence n’est pas très élevée (entre 0,1...
  • Nous avons expérimenté un nouveau concept de guide chirurgical en titane à appui osseux à doubles douilles pour implant zygomatique (IZ) permettant la mise en charge instantanée d’un bridge en zircone totalement anticipé avant la chirurgie. Le risque de mauvais positionnement du guide est limité grâce aux appuis osseux multiples. Les déviations d’axe sont principalement retrouvées au niveau des apex et sont de l’ordre de 0 à 1,5 mm par rapport à la planification. Le protocole chirurgical a été adapté aux particularités des implants zygomatiques et le design du bridge en zircone a été entièrement revu. Le guide chirurgical apporte plus de précision dans le placement des implants, sécurise et rend reproductible le geste chirurgical. Toutefois, cette technique n’est pas forcément accessible à tous et doit être réservée à des praticiens expérimentés.
  • APPROCHE INNOVANTE GRÂCE AU FLUX NUMÉRIQUE
    Renouveler une prothèse amovible complète est un exercice quotidien mais souvent périlleux ! Les outils numériques apportent une toute nouvelle perspective de prise en charge. L’équipe hospitalo-universitaire de Clermont-Ferrand présente les flux de réfection prothétique (lorsque certaines informations prothétiques existantes sont utilisables) ou de réalisation de duplicata (pour reproduire exactement les volumes prothétiques et la morphologie occlusale existante) à travers des solutions simples et précises pour répondre aux situations parfois complexes à gérer par des thérapeutiques classiques.
  • Les patients ayant subi une mandibulectomie partielle sont souvent complètement édentés après leur traitement chirurgical et radiothérapique. Leur réhabilitation dentaire commence généralement par la fabrication d’une prothèse complète classique. Les étapes prothétiques sont conventionnelles mais elles doivent intégrer certaines spécificités des tissus et de l’anatomie du patient. Cet article décrit les étapes nécessaires à une réhabilitation prothétique satisfaisante chez les patients ayant subi une mandibulectomie partielle.