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  • Les actes générant des aérosols sont incontournables dans la pratique de l’odontologie et ont été la source de beaucoup d’inquiétudes au cours de la pandémie de Covid-19. La présence de micro-organismes pathogènes tels que le SARS-CoV-2 dans les aérosols salivaires émis lors des soins dentaires...
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les maladies parodontales nécrosantes (MPN) sont les plus graves affections associées aux bactéries du biofilm oral car elles peuvent entraîner une destruction tissulaire rapide. Caractérisées par une nécrose de la gencive, des douleurs vives, des saignements et souvent une altération de l’état général, les MPN font partie des urgences parodontales. Le diagnostic précoce et le traitement rapide préviennent la progression de la maladie et la destruction parodontale.
  • Les classifications des lésions endo-parodontales ont toujours suscité débats et discussions au sein de la profession. Concernant la plus récente, établie en 2018, son principal avantage est de ne plus axer la démarche diagnostique sur l’étiologie primaire et le mode de propagation du processus infectieux comme le préconisent les classifications plus anciennes. Ainsi, les auteurs de cette nouvelle classification internationale proposent un outil de travail pragmatique, reposant sur une arborescence diagnostique permettant de mieux évaluer le pronostic et de personnaliser la démarche thérapeutique.
  • MOTIF DE CONSULTATION Une patiente de 66 ans est adressée par son médecin traitant pour un nodule muqueux jugal droit apparu progressivement il y a plusieurs mois. DEMARCHE DIAGNOSTIQUE La patiente n’a pas d’antécédents médico-chirurgicaux ni de traitement médicamenteux notables. Elle ne rapporte...
  • Avec l’avènement des implants dentaires au cours des années 1980 et leur démocratisation au XXIe siècle, un changement de paradigme dans la conception prothétique s’est opéré et une diminution de l’utilisation des attachements prothétiques a été observée. Il existe cependant des situations où le traitement implantaire n’est pas retenu pour des raisons médicales, esthétiques ou économiques. Reviennent alors les alternatives de prothèses composites. L’objectif de ce cas clinique est d’illustrer que le implant first ne peut faire oublier les attachements.
  • La réimplantation intentionnelle se définit comme l’avulsion délibérée d’une dent, suivie de sa réinsertion dans l’alvéole, ceci après avoir évalué ses surfaces radiculaires et réalisé une réparation radiculaire et/ou une prise en charge sur le plan endodontique [1-3]. Elle se destine aux...
  • Éviter la réalisation d’un traitement endodontique améliore les taux de survie des dents permanentes [1]. Face à cette observation, la dentisterie restauratrice et l’endodontie prennent en compte, depuis quelques années déjà, cette nécessité de s’orienter vers une approche minimalement invasive...
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • Dans le domaine de l’implantologie, la recherche et les innovations technologiques de ces dernières décennies ont visé essentiellement à étendre les indications tout en diminuant les échecs. Ces innovations ont surtout concerné l’implant lui-même, que ce soit au niveau de son état de surface [1],...
  • « Remontée de marge cervical »… voilà un terme qui, depuis longtemps, est source de débats houleux et passionnés entre ses fervents afficionados (qui y trouvent une procédure phare de l’économie tissulaire) et ses brûlants détracteurs (qui y voient une hérésie biologique). Qui est dans le vrai ? La vérité est souvent au milieu ! Cet article bousculera les certitudes en remettant en question la notion traditionnelle « d’espace biologique » et en faisant le point sur cette fameuse « remontée de marge cervicale », décrite comme une des techniques adhésives les plus difficiles à mettre en œuvre. L’objectif est d’en définir les avantages, les inconvénients et, surtout, les limites de son indication.
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Dans certaines situations cliniques, lorsque notre choix se tournera vers la réalisation de coiffes périphériques, nous privilégierons la réalisation de préparations verticales qui présentent un certain nombre d’avantages techniques et biologiques. Cet article, après avoir défini les différents types de préparations verticales et leurs spécificités, permet de faire un état des lieux de ce qui existe dans la littérature au sujet de la relation entre espace biologique, cicatrisation des tissus mous et préparations verticales. Il présente également la mise en œuvre de quelques étapes cliniques associées à ces techniques.
  • Dans notre pratique quotidienne, certains patients se présentent en consultation avec des délabrements importants de la cavité buccale, en recherche de solutions pour retrouver une mastication et une esthétique correctes. À l’heure actuelle, l’évolution de l’implantologie et de la prothèse...
  • PREMIÈRE CONSULTATION La patiente se présente au cabinet en 2018. A la suite de la prise en charge par un confrère, elle explique que les deux barres posées se sont fracturées à deux reprises après 15 jours. La patiente est contrariée, elle n’a plus confiance dans les solutions amovibles...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La résorption alvéolaire post-extractionnelle ainsi que le phénomène de pneumatisation du sinus maxillaire entraînent une diminution des volumes osseux disponibles pour positionner des implants [1]. La réhabilitation des secteurs maxillaires postérieurs nécessite ainsi le plus souvent l’augmentation...
  • Les chirurgies plastiques parodontales occupent une place de plus en plus importante dans la prise en charge des patients, tant en exercice spécialisé qu’en omnipratique. Elles ont pour intérêts l’amélioration de l’esthétique du sourire, le renforcement et la modification du phénotype parodontal...
  • « Le succès est l’échec de l’échec… » (Delphine Lamotte). Les restaurations postérieures (directes et indirectes) occupent une place importante de l’activité des omnipraticiens. Compte tenu de la quantité et du fait qu’aucune restauration n’est éternelle, il est normal d’être...
  • Le projet implanto-prothétique déterminé pour un patient et une situation clinique constitue l’objectif thérapeutique à atteindre. Durant toutes les étapes de traitement, tant chirurgicales que prothétiques, l’assistance apportée par le recueil et le traitement des données cliniques sous forme numérique contribue à assurer la concordance entre le projet thérapeutique et sa réalisation. Dans les situations d’édentement complet, en complément de la planification implantaire et de la chirurgie guidée, l’empreinte optique inversée s’inscrit dans cet objectif.
  • L’utilisation d’un guide chirurgical en implantologie permet un positionnement tridimensionnel prédictible des implants, facteur essentiel du succès des traitements implanto-prothétiques. L’ostéotomie implantaire au travers d’un guide peut néanmoins entraîner un échauffement du tissu osseux qui pourrait se traduire par une ostéonécrose potentielle et la perte de l’implant à court terme. L’objectif de cette revue de littérature est de comparer dans les études in vitro les valeurs d’échauffement relevées dans le tissu osseux avec et sans utilisation d’un guide chirurgical. Les résultats montrent une élévation de température plus importante lors de l’utilisation de ce dispositif d’assistance au forage.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.