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  • DENT TRÈS DÉLABRÉE/AFFAIBLIE Plus la dent est délabrée, plus la restauration jouera un rôle important dans son renforcement. À cet effet, il a été montré que les techniques adhésives permettaient ce renforcement tout en préservant les structures restantes, à condition de pouvoir être mises en...
  • En 2009, Gil Tirlet et Jean Pierre Attal ont développé le concept de gradient thérapeutique dans le cadre des traitements esthétiques. En classant les traitements des plus conservateurs au plus invasifs, cette approche a placé l’économie tissulaire comme un élément central de la démarche...
  • Les outils numériques en implantologie rendent les traitements plus rapides, plus sûr, plus précis.
  • De nombreuses publications, dans les revues spécialisées, les livres ou, plus récemment, sur les réseaux sociaux, détaillent de façon exhaustive la plupart des techniques à notre disposition pour traiter nos patients. Mais la clé de voûte d’une thérapeutique reste l’élaboration du plan de traitement, pas simple à appréhender et peu souvent décrit. Le cas clinique présenté détaille un mode de réflexion, dans une approche globale, pour aborder un cas complexe et le résoudre.
  • La stabilité des résultats après les procédures de recouvrement radiculaire est un élément clé de la prise de décision clinique. À ce jour, le greffon de tissu conjonctif (GTC) est considéré comme la norme pour obtenir la meilleure stabilité des résultats. Le prélèvement palatin qu’il...
  • On retrouve un taux de survie implantaire allant de 83 à 100 % dans la littérature avec des temps de suivi variables. Cependant, nombre d’études sont réalisées par des cliniciens aguerris, avec des protocoles précis, une sélection des patients très stricte et sont souvent de simples études...
  • La greffe de sinus par voie latérale est la technique la plus courante pour pallier le manque de hauteur dans les secteurs postérieurs. Boyne et James ont été les premiers à décrire une approche par étapes pour la pose d’implants après une greffe sinusienne (Boyne, 1993). L’utilisation d’os...
  • Le lambeau déplacé bilaminaire est souvent mal compris. C’est une technique dont l’efficacité est éprouvée et pourtant nombre d’entre nous sommes mal à l’aise avec sa mise en œuvre. Lorsque l’on parle de lever un lambeau de grande étendue par exemple, c’est une image brouillonne et sanguine qui imprègne l’esprit en plus du risque de morbidité. Pourtant, cette technique est la somme d’une multitude de temps chirurgicaux très précis qui, mis bout à bout, assurent un bénéfice indéniable : la possibilité de recouvrir des récessions radiculaires multiples, rapidement et avec une cicatrisation esthétique.
  • Les attentes des patients qui consultent pour le traitement de récessions gingivales sont principalement esthétiques et fonctionnelles. Les procédures chirurgicales de recouvrement radiculaire ont pour objectif d’augmenter la largeur des tissus kératinisés et le volume des tissus mous. L’évolution de la « chirurgie muco-gingivale » vers la « chirurgie plastique parodontale » a permis de tendre vers des techniques micro-chirurgicales peu invasives, avec des résultats esthétiques prédictibles. Les techniques gold standard sont les greffes de tissus conjonctifs, avec deux approches distinctes : la technique du tunnel, sans décollement des papilles, et la technique bilaminaire dont le design de l’incision permet une mobilisation du lambeau sans incision de décharge.
  • Les greffes épithélio-conjonctives (GEC) permettent de renforcer efficacement les tissus autour des dents et des implants. Les indications sont nombreuses. La technique chirurgicale est bien codifiée ; le pronostic est très bon et le résultat est stable à long terme.Maîtriser les GEC est la première étape pour débuter en chirurgie plastique parodontale.
  • Dans de nombreuses spécialités de la médecine, les abords chirurgicaux minimalement invasifs se sont substitués aux abords chirurgicaux « classiques » afin, notamment, de diminuer la morbidité des interventions. Ces abords minimalistes, devenus possibles par des avancées technologiques, ont rendu obsolète le vieil adage « aux grands chirurgiens les grandes incisions ». Depuis une quinzaine d’années, la parodontologie a également vu évoluer ses abords chirurgicaux classiques par quadrant vers des chirurgies de sites. Cet article décrit l’évolution d’un ensemble de techniques et concepts chirurgicaux qui, grâce à leur convergence, ont permis de changer l’abord chirurgical des lésions parodontales infra-osseuses.
  • Longtemps, la thérapeutique non chirurgicale a été considérée comme le traitement initial préalable à la réalisation de lambeaux. Les études d’Axelsson, et al. [1], avec un suivi des patients sur plus de 30 ans, ont montré l’absence de différence significative entre les patients ayant bénéficié d’un traitement chirurgical et les autres. Et pour cause, nombre de maladies parodontales peuvent aujourd’hui être stabilisées sans chirurgie [2]. L’évolution des connaissances et des techniques nous permet en outre de proposer un traitement efficace sans avoir recours à l’utilisation d’analgésiques ou d’antiseptiques.
  • La prise en charge d’un patient atteint de parodontite est une démarche thérapeutique au long cours ; du jour de la consultation jusqu’aux séances de maintenance parodontale qui vont se succéder ensuite pendant des années. Le parcours du tandem patient/praticien va faire appel de la part du...
  • Les comblements alvéolaires post-extractionnels permettent de diminuer la perte osseuse secondaire aux avulsions dentaires. Les régénérations osseuses guidées (ROG) sont classiquement utilisées en chirurgie pré-implantaire afin d’augmenter le volume osseux de la crête alvéolaire. En cas...
  • Bien que le recours aux orthèses (gouttières) occlusales soit parfois remis en cause, cela reste indéniablement un outil de choix dans la prise en charge des DTM. Très intéressantes de par leur aspect évolutif et réversible, elles sont en général efficaces à condition de respecter certains critères de conception et de se fixer les bons objectifs.
  • La prise en charge des atrophies maxillaires complètes du sujet jeune nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire.
  • Augmenter sans greffer ? Est-ce possible ? Si nous considérons que le terme « greffer » répond à un prélèvement osseux, alors oui, il est possible d’augmenter sans greffer. Les augmentations par fractures déplacées bien connues en orthopédie peuvent être détournées pour répondre à un objectif de gain en volumes, bien plus puissant en mécanisme de cicatrisation que ne le serait l’intégration d’une greffe.
  • Il existe aujourd’hui un vaste choix de techniques de reconstructions osseuses pré-implantaires reproductibles. Le choix d’un procédé par rapport à un autre dépend du type de défaut osseux, des habitudes chirurgicales du praticien, du plateau technique et enfin du « contexte patient ». La régénération osseuse guidée 2.0 dite sausage telle que décrite par Urban est une technique simple à mettre en œuvre et semble offrir des résultats satisfaisants à moindre morbidité pour le patient. Quelles sont les indications de mise en œuvre de la sausage technique ? Quelles sont les étapes du protocole chirurgical ?
  • Réussir une greffe autologue, surtout lorsqu’il s’agit de la première, demande une connaissance précise de la technique, de la séquence opératoire et une attention particulière sur la sélection du « patient idéal ». Pour y parvenir, il faut allier les compétences du praticien, le patient et les astuces qui permettront d’obtenir un succès opératoire.
  • Un des défis majeurs de l’implantologie est la reconstruction de la crête alvéolaire dans ses dimensions horizontales et verticales. Les principales techniques de greffes osseuses utilisées sous anesthésie locale sont les expansions, les greffes autogènes avec prélèvement d’os intra-buccal et les régénérations osseuses guidées (ROG).
  • L’os possède d’étonnantes propriétés biologiques qui le rendent capable de se régénérer, notamment en cas de lésion. Cependant, certaines pathologies ou interventions chirurgicales (kystes, foyers infectieux…) aboutissent à des pertes osseuses que l’ostéogenèse ne suffira pas à...
  • Lorsqu’une dent présente une perte osseuse sévère ou une importante lésion d’origine endodontique, l’indication d’extraction est posée et, si nécessaire, un implant est envisagé. Bien que l’extraction paraisse inéluctable, il existe des situations cliniques où le traitement conservateur bien conduit permet pourtant d’obtenir des résultats fiables et parfois spectaculaires. Le succès du traitement parodontal ou endodontique permet alors d’éviter ou de différer durablement un traitement implantaire dont la complexité est en rapport avec l’importance des lésions. Il est également rappelé que, dans un contexte où la prévalence de la péri-implantite est élevée, il ne faut pas avoir une vision trop idéalisée de ce traitement implantaire.
  • Dans la pratique quotidienne de l’implantologie orale, les complications implantaires représentent un événement relativement fréquent. Même si elles n’aboutissent que rarement à la perte de l’implant (0-8,3 % des implants posés [1]), cet événement reste néanmoins désagréable tant pour le...
  • En prothèse dentaire, pour toute approche, qu’elle soit analogique ou digitale, le travail doit être préparé, analysé et organisé en amont. Ce triptyque est indispensable afin d’assurer le bon déroulement de toute restauration et garantir ainsi un résultat soigné, synonyme de réussite. Nous...
  • La préservation alvéolaire est indiquée en présence d’une corticale vestibulaire inférieure à 2 mm, avec une largeur de crête d’au moins 8 à 9 mm et plutôt dans les secteurs postérieurs. Une fois l’avulsion dentaire réalisée de manière atraumatique, l’alvéole est comblée par un biomatériau et, le plus souvent, scellée à l’aide d’une membrane, résorbable ou non. Le fait de combler l’alvéole retarde la néoformation osseuse. L’implant sera posé au minimum 6 mois plus tard. L’information et le consentement du patient sont donc un prérequis indispensable.