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  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • Avec l’avènement des implants dentaires au cours des années 1980 et leur démocratisation au XXIe siècle, un changement de paradigme dans la conception prothétique s’est opéré et une diminution de l’utilisation des attachements prothétiques a été observée. Il existe cependant des situations où le traitement implantaire n’est pas retenu pour des raisons médicales, esthétiques ou économiques. Reviennent alors les alternatives de prothèses composites. L’objectif de ce cas clinique est d’illustrer que le implant first ne peut faire oublier les attachements.
  • La réimplantation intentionnelle se définit comme l’avulsion délibérée d’une dent, suivie de sa réinsertion dans l’alvéole, ceci après avoir évalué ses surfaces radiculaires et réalisé une réparation radiculaire et/ou une prise en charge sur le plan endodontique [1-3]. Elle se destine aux...
  • Dans le domaine de l’implantologie, la recherche et les innovations technologiques de ces dernières décennies ont visé essentiellement à étendre les indications tout en diminuant les échecs. Ces innovations ont surtout concerné l’implant lui-même, que ce soit au niveau de son état de surface [1],...
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Dans certaines situations cliniques, lorsque notre choix se tournera vers la réalisation de coiffes périphériques, nous privilégierons la réalisation de préparations verticales qui présentent un certain nombre d’avantages techniques et biologiques. Cet article, après avoir défini les différents types de préparations verticales et leurs spécificités, permet de faire un état des lieux de ce qui existe dans la littérature au sujet de la relation entre espace biologique, cicatrisation des tissus mous et préparations verticales. Il présente également la mise en œuvre de quelques étapes cliniques associées à ces techniques.
  • PREMIÈRE CONSULTATION La patiente se présente au cabinet en 2018. A la suite de la prise en charge par un confrère, elle explique que les deux barres posées se sont fracturées à deux reprises après 15 jours. La patiente est contrariée, elle n’a plus confiance dans les solutions amovibles...
  • Dans notre pratique quotidienne, certains patients se présentent en consultation avec des délabrements importants de la cavité buccale, en recherche de solutions pour retrouver une mastication et une esthétique correctes. À l’heure actuelle, l’évolution de l’implantologie et de la prothèse...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La résorption alvéolaire post-extractionnelle ainsi que le phénomène de pneumatisation du sinus maxillaire entraînent une diminution des volumes osseux disponibles pour positionner des implants [1]. La réhabilitation des secteurs maxillaires postérieurs nécessite ainsi le plus souvent l’augmentation...
  • La demande en réhabilitation implanto-portée sans métal ainsi que les propriétés particulièrement intéressantes de la zircone (excellente intégration tissulaire, faible affinité pour la plaque dentaire et résistance mécanique) ont naturellement conduit les industriels à proposer des implants dans ce matériau. Contrairement aux implants « monoblocs » usinés déjà existants, le système NobelPearl (Nobel Biocare) autorise des réhabilitations transvissées sans ciment et sans métal indiqué pour les réhabilitations unitaires ou plurales et postérieures, selon un protocole de mise en charge différée exclusivement. Les avantages des restaurations transvissées et de la zircone se cumulent pour offrir une intégration tissulaire des restaurations remarquable.
  • Le projet implanto-prothétique déterminé pour un patient et une situation clinique constitue l’objectif thérapeutique à atteindre. Durant toutes les étapes de traitement, tant chirurgicales que prothétiques, l’assistance apportée par le recueil et le traitement des données cliniques sous forme numérique contribue à assurer la concordance entre le projet thérapeutique et sa réalisation. Dans les situations d’édentement complet, en complément de la planification implantaire et de la chirurgie guidée, l’empreinte optique inversée s’inscrit dans cet objectif.
  • Pour améliorer la précision de la position implantaire, les outils informatiques de planification ont remplacé les protocoles analogiques et les guides chirurgicaux artisanaux ont cédé la place aux guides imprimés. Cependant, des différences dans les composants des trousses de chirurgie guidée disponibles peuvent influencer la précision de l’ostéotomie et la position implantaire finale, ce qui nécessite une attention particulière lors du choix de ce matériel ancillaire.
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • L’utilisation d’un guide chirurgical en implantologie permet un positionnement tridimensionnel prédictible des implants, facteur essentiel du succès des traitements implanto-prothétiques. L’ostéotomie implantaire au travers d’un guide peut néanmoins entraîner un échauffement du tissu osseux qui pourrait se traduire par une ostéonécrose potentielle et la perte de l’implant à court terme. L’objectif de cette revue de littérature est de comparer dans les études in vitro les valeurs d’échauffement relevées dans le tissu osseux avec et sans utilisation d’un guide chirurgical. Les résultats montrent une élévation de température plus importante lors de l’utilisation de ce dispositif d’assistance au forage.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.
  • La chirurgie guidée permet aujourd’hui de positionner des implants selon une planification chirurgicale et prothétique dans le but d’obtenir des profils d’émergences prophylactiques et esthétiques. Néanmoins, les résorptions osseuses post-extractionnelles nous contraignent souvent à placer des implants en position plus linguale, ce qui crée un sur-contour prothétique néfaste à long terme. Nous pouvons guider la position d’un implant mais comment guider la position de la greffe pour garantir un environnement tissulaire sain.
  • Nous avons tous déjà vécu ou entendu parler d’une expérience décevante lors de la réalisation d’une extraction/implantation immédiate dans le secteur antérieur. La littérature n’est pas toujours tendre avec cette technique. Mais le risque de ce protocole est-il une réalité scientifique ? Les protocoles modernes décrits pour la gestion des cas esthétiques en extraction/implantation immédiate fournissent les clés pour obtenir des résultats esthétiques reproductibles, la technique devenant un allié de choix pour la préservation tissulaire.
  • L’implantologie d’aujourd’hui voit émerger régulièrement et fréquemment des techniques, implants ou matériaux nouveaux, permettant une chirurgie de moins en moins invasive. Ce faisant, suite à des pertes tissulaires importantes, de nombreuses situations imposent une chirurgie de reconstruction des...
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
  • Les premiers protocoles de chirurgie guidée assistée par ordinateur sont apparus dans les années 1990 avec le développement des premiers logiciels informatiques de planification avec fabrication de guides chirurgicaux [1]. Les premiers logiciels sont arrivés dans les années 90, Image Master 101 (1990)...