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  • Avec la mode des selfies et l’engouement pour l’embellissement du sourire à tout âge, la demande de nos patients est exponentielle et nous devons y répondre par des propositions de traitements simples et rapides, minimalement invasives et permettant de restaurer les critères esthétiques, structurels,...
  • L’enseignement de l’odontologie s’appuie beaucoup sur des images fournies par la microscopie. Elles permettent de montrer l’infiniment petit pour mieux comprendre des concepts ardus tels que l’adhésion ou la physiologie pulpaire. Souvent cantonnée à l’illustration de cas cliniques [1], la photographie est un autre excellent moyen d’examiner les tissus de près, tout en conservant les couleurs d’origine.
  • DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE Interrogatoire Dans la plupart des cas, le patient ne consulte pas pour la présence d’une image radioclaire. Il s’agit d’une découverte fortuite radiologique faite le plus souvent par le chirurgien-dentiste traitant lors d’un examen panoramique de contrôle. Ces ostéolyses...
  • Le numérique prend une place prépondérante dans notre exercice. Pour traiter la dent dépulpée, que peut-il nous apporter ? Peut-on améliorer la qualité de nos soins tout en modernisant l’organisation du cabinet ? Nous allons voir comment la CFAO permet d’optimiser le continuum endo-prothétique, à quels matériaux elle nous permet d’accéder pour nos restaurations corono-radiculaires ou coronaires, et bien d’autres points forts encore !
  • Lorsque le chirurgien-dentiste envisage de réaliser une restauration coronaire d’usage sur dent dépulpée, il part souvent du principe que la dent est fragilisée par la thérapeutique endodontique et a tendance à reléguer les principes d’économie tissulaire au second plan.Or, existe-t-il des fondements scientifiques pour appuyer cette thèse ou cela relève-t-il de la pure croyance ? C’est ce que nous chercherons à vérifier dans cet article.
  • La glossodynie, stricto sensu une douleur de la langue, est un symptôme fréquemment rencontré en dermatologie buccale, secondaire à de nombreuses pathologies tant bénignes que malignes. Selon l’étiologie causale, le diagnostic et/ou la prise en charge peuvent être complexes, en particulier pour le...
  • La PAP est l’alternative de choix à la prothèse fixée pour certaines situations cliniques. Les compensations tissulaires assurent la restauration des fonctions manducatrices. L’armature, les crochets, le choix des dents, leur montage, leur maquillage tout comme celui de la gencive prothétique, sont autant de facteurs qui contribuent à « l’effacer » de la perception que s’en fait le patient, minorant ainsi son handicap et restaurant sa confiance en lui.
  • La prothèse amovible complète supra-implantaire est une option thérapeutique fiable chez le patient édenté complet. Après la réalisation de la prothèse, et pour ne pas en priver le patient, la mise en place des attachements peut se faire directement au fauteuil. Protocole à suivre…
  • La perte des dents entraîne une résorption de l’os alvéolaire. Elle est habituellement plus importante à la mandibule qu’au maxillaire du fait de l’anatomie de l’arche et des contraintes exercées [1]. Le remplacement des incisives mandibulaires par des reconstructions implanto-portées est un...
  • Les implants ont permis d’offrir aux patients un nouveau choix thérapeutique parmi les différentes possibilités de réhabilitations prothétiques [1]. Bränemark décrit pour la première fois en 1969 l’ostéo-intégration comme étant une coaptation anatomique et fonctionnelle entre l’os vivant et...
  • L’agénésie des incisives latérales maxillaires est une anomalie congénitale relativement fréquente. L’approche esthétique et fonctionnelle des patients est directement dépendante de la précocité du diagnostic. Le défi est de proposer, à la fin du traitement orthodontique, une réhabilitation ad integrum, pérenne et si besoin évolutive. Quelle est la place de la solution implantaire dans le parcours de soins patient ? À quel l’âge pouvons-nous implanter ? Comment obtenir une réhabilitation implantaire biomimétique ?
  • Le remplacement des molaires extraites se révèle souvent complexe par le manque de volume osseux qu’il est nécessaire de reconstruire pour la pose d’implants dentaires. La préservation alvéolaire représente une approche préventive intéressante permettant de compenser les effets du remaniement...
  • MÉCANISMES PHYSIOPATHOLOGIQUES DE L’INFLAMMATION PULPAIRE IRRÉVERSIBLE Les réactions inflammatoires qui accompagnent une lésion carieuse ou une souffrance pulpaire augmentent progressivement au fur et à mesure de son développement. Au stade le plus avancé, le parenchyme pulpaire est envahi par ce...
  • MÉCANISMES PHYSIOPATHOLOGIQUES DE LA LÉSION CARIEUSE EXTRÊMEMENT PROFONDE La lésion carieuse extrêmement profonde est une lésion où le front bactérien est proche de la pulpe (distance inférieure à 0,5 mm) (figure 1). Contrairement à la situation clinique précédente, l’épaisseur de dentine...
  • MÉCANISMES PHYSIOPATHOLOGIQUES DE LA LÉSION CARIEUSE Le processus carieux est lié à des bactéries (streptocoques et lactobacilles) présentes dans la salive et au sein du biofilm oral. Les hydrates de carbone fermentescibles qu’elles métabolisent grâce à leurs enzymes protéolytiques sont à...
  • Les fractures amélo-dentinaires et certaines manoeuvres iatrogènes ou parafonctions peuvent avoir comme conséquence une exposition dentinaire de tissus sains (figures 1 et 2). La dentine soudainement exposée est un tissu perméable riche en canalicules dentinaires et, comme tel, peut être le siège de...
  • Nos patients sont bercés dans une société où l’apparence a de plus en plus d’importance.Les études montrent qu’une grande partie de la demande esthétique de nos patients au cabinet dentaire concerne la couleur des dents [1]. Même si les éclaircissements font partie des approches les moins...
  • Le terme de péri-implantite est apparu en 1987 dans une publication de Mombelli et al. [1]. Depuis, de nombreux travaux se sont attachés à définir et caractériser cette pathologie inflammatoire qui représente la complication la plus fréquente concernant l’environnement tissulaire péri-implantaire...
  • Le terme de péri-implantite est apparu en 1987 dans une publication de Mombelli et al. [1]. Depuis, de nombreux travaux se sont attachés à définir et caractériser cette pathologie inflammatoire qui représente la complication la plus fréquente concernant l’environnement tissulaire péri-implantaire...
  • LA RÉSORPTION CERVICALE EXTERNE (RCE) Les résorptions radiculaires sont caractérisées par une destruction d’origine inflammatoire des tissus minéralisés dentaires. Si ce phénomène est physiologique au niveau des dents temporaires, pour permettre leur exfoliation [1], il est pathologique au niveau...
  • Les attentes des patients qui consultent pour le traitement de récessions gingivales sont principalement esthétiques et fonctionnelles. Les procédures chirurgicales de recouvrement radiculaire ont pour objectif d’augmenter la largeur des tissus kératinisés et le volume des tissus mous. L’évolution de la « chirurgie muco-gingivale » vers la « chirurgie plastique parodontale » a permis de tendre vers des techniques micro-chirurgicales peu invasives, avec des résultats esthétiques prédictibles. Les techniques gold standard sont les greffes de tissus conjonctifs, avec deux approches distinctes : la technique du tunnel, sans décollement des papilles, et la technique bilaminaire dont le design de l’incision permet une mobilisation du lambeau sans incision de décharge.
  • Longtemps, la thérapeutique non chirurgicale a été considérée comme le traitement initial préalable à la réalisation de lambeaux. Les études d’Axelsson, et al. [1], avec un suivi des patients sur plus de 30 ans, ont montré l’absence de différence significative entre les patients ayant bénéficié d’un traitement chirurgical et les autres. Et pour cause, nombre de maladies parodontales peuvent aujourd’hui être stabilisées sans chirurgie [2]. L’évolution des connaissances et des techniques nous permet en outre de proposer un traitement efficace sans avoir recours à l’utilisation d’analgésiques ou d’antiseptiques.
  • La prise en charge des atrophies maxillaires complètes du sujet jeune nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire.
  • La préservation alvéolaire est indiquée en présence d’une corticale vestibulaire inférieure à 2 mm, avec une largeur de crête d’au moins 8 à 9 mm et plutôt dans les secteurs postérieurs. Une fois l’avulsion dentaire réalisée de manière atraumatique, l’alvéole est comblée par un biomatériau et, le plus souvent, scellée à l’aide d’une membrane, résorbable ou non. Le fait de combler l’alvéole retarde la néoformation osseuse. L’implant sera posé au minimum 6 mois plus tard. L’information et le consentement du patient sont donc un prérequis indispensable.
  • Les thérapies de conservation de la vitalité pulpaire font désormais partie intégrante de l’arsenal du chirurgien-dentiste. Cependant, il n’existe à ce jour aucun consensus validé scientifiquement quant à un protocole précis de mise en place de ces traitements. Au-delà des considérations sur...