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  • Chez les patients qui présentent des parodontites sévères, la situation initiale est souvent peu engageante pour tenter la conservation car le praticien est confronté à une pathologie avancée qui associe plusieurs des éléments suivants : mauvais contrôle de plaque, inflammation, alvéolyse sévère,...
  • En 2009, Gil Tirlet et Jean Pierre Attal ont développé le concept de gradient thérapeutique dans le cadre des traitements esthétiques. En classant les traitements des plus conservateurs au plus invasifs, cette approche a placé l’économie tissulaire comme un élément central de la démarche...
  • Les outils numériques en implantologie rendent les traitements plus rapides, plus sûr, plus précis.
  • Les hypominéralisations molaires incisives peuvent être à l’origine de délabrements importants des premières molaires permanentes. Ces dents peuvent alors être source de douleurs et entraîner une perte de fonction. Selon la sévérité et la localisation de l’hypominéralisation, plusieurs options thérapeutiques s’offrent au praticien. Le manque de coopération de l’enfant pourra être également un facteur intervenant dans le choix de la réhabilitation.
  • On retrouve un taux de survie implantaire allant de 83 à 100 % dans la littérature avec des temps de suivi variables. Cependant, nombre d’études sont réalisées par des cliniciens aguerris, avec des protocoles précis, une sélection des patients très stricte et sont souvent de simples études...
  • Dans de nombreuses spécialités de la médecine, les abords chirurgicaux minimalement invasifs se sont substitués aux abords chirurgicaux « classiques » afin, notamment, de diminuer la morbidité des interventions. Ces abords minimalistes, devenus possibles par des avancées technologiques, ont rendu obsolète le vieil adage « aux grands chirurgiens les grandes incisions ». Depuis une quinzaine d’années, la parodontologie a également vu évoluer ses abords chirurgicaux classiques par quadrant vers des chirurgies de sites. Cet article décrit l’évolution d’un ensemble de techniques et concepts chirurgicaux qui, grâce à leur convergence, ont permis de changer l’abord chirurgical des lésions parodontales infra-osseuses.
  • Longtemps, la thérapeutique non chirurgicale a été considérée comme le traitement initial préalable à la réalisation de lambeaux. Les études d’Axelsson, et al. [1], avec un suivi des patients sur plus de 30 ans, ont montré l’absence de différence significative entre les patients ayant bénéficié d’un traitement chirurgical et les autres. Et pour cause, nombre de maladies parodontales peuvent aujourd’hui être stabilisées sans chirurgie [2]. L’évolution des connaissances et des techniques nous permet en outre de proposer un traitement efficace sans avoir recours à l’utilisation d’analgésiques ou d’antiseptiques.
  • Les comblements alvéolaires post-extractionnels permettent de diminuer la perte osseuse secondaire aux avulsions dentaires. Les régénérations osseuses guidées (ROG) sont classiquement utilisées en chirurgie pré-implantaire afin d’augmenter le volume osseux de la crête alvéolaire. En cas...
  • PARTAGER LE SAVOIR NOUS FAIT GRANDIR
    CLINIC : Hadi Antoun, quel est votre parcours ? Hadi ANTOUN : Après mes études à Lyon, j’ai intégré le cabinet de Jacques Bori, à Paris, qui m’a rapidement orienté vers un postgraduate en parodontologie à Boston. J’ai rapidement été séduit par l’implantologie auprès de Carl Misch. Entre...
  • La prise en charge des atrophies maxillaires complètes du sujet jeune nécessite une prise en charge pluri-disciplinaire.
  • Augmenter sans greffer ? Est-ce possible ? Si nous considérons que le terme « greffer » répond à un prélèvement osseux, alors oui, il est possible d’augmenter sans greffer. Les augmentations par fractures déplacées bien connues en orthopédie peuvent être détournées pour répondre à un objectif de gain en volumes, bien plus puissant en mécanisme de cicatrisation que ne le serait l’intégration d’une greffe.
  • Il existe aujourd’hui un vaste choix de techniques de reconstructions osseuses pré-implantaires reproductibles. Le choix d’un procédé par rapport à un autre dépend du type de défaut osseux, des habitudes chirurgicales du praticien, du plateau technique et enfin du « contexte patient ». La régénération osseuse guidée 2.0 dite sausage telle que décrite par Urban est une technique simple à mettre en œuvre et semble offrir des résultats satisfaisants à moindre morbidité pour le patient. Quelles sont les indications de mise en œuvre de la sausage technique ? Quelles sont les étapes du protocole chirurgical ?
  • Réussir une greffe autologue, surtout lorsqu’il s’agit de la première, demande une connaissance précise de la technique, de la séquence opératoire et une attention particulière sur la sélection du « patient idéal ». Pour y parvenir, il faut allier les compétences du praticien, le patient et les astuces qui permettront d’obtenir un succès opératoire.
  • Un des défis majeurs de l’implantologie est la reconstruction de la crête alvéolaire dans ses dimensions horizontales et verticales. Les principales techniques de greffes osseuses utilisées sous anesthésie locale sont les expansions, les greffes autogènes avec prélèvement d’os intra-buccal et les régénérations osseuses guidées (ROG).
  • Lorsqu’une dent présente une perte osseuse sévère ou une importante lésion d’origine endodontique, l’indication d’extraction est posée et, si nécessaire, un implant est envisagé. Bien que l’extraction paraisse inéluctable, il existe des situations cliniques où le traitement conservateur bien conduit permet pourtant d’obtenir des résultats fiables et parfois spectaculaires. Le succès du traitement parodontal ou endodontique permet alors d’éviter ou de différer durablement un traitement implantaire dont la complexité est en rapport avec l’importance des lésions. Il est également rappelé que, dans un contexte où la prévalence de la péri-implantite est élevée, il ne faut pas avoir une vision trop idéalisée de ce traitement implantaire.
  • La préservation alvéolaire est indiquée en présence d’une corticale vestibulaire inférieure à 2 mm, avec une largeur de crête d’au moins 8 à 9 mm et plutôt dans les secteurs postérieurs. Une fois l’avulsion dentaire réalisée de manière atraumatique, l’alvéole est comblée par un biomatériau et, le plus souvent, scellée à l’aide d’une membrane, résorbable ou non. Le fait de combler l’alvéole retarde la néoformation osseuse. L’implant sera posé au minimum 6 mois plus tard. L’information et le consentement du patient sont donc un prérequis indispensable.
  • La médecine dentaire, comme n’importe quelle branche de la médecine, tourne largement autour de l’évaluation du risque, avec en point de mire la détermination du meilleur rapport bénéfice/risque pour le patient. Quel risque prend-on en prescrivant un traitement médicamenteux, quel est le bénéfice...
  • Lors de la prise en charge d’un patient pour une réhabilitation implanto-­prothétique, il est important de respecter les différentes obligations et recommandations qui régissent la profession, qu’elles soient administratives, conventionnelles, déontologiques, cliniques ou techniques. Nous aborderons...
  • La correction des insuffisances verticales osseuse en implantologie est un défi pour le chirurgien oral ou le chirurgien-dentiste. Différentes techniques sont décrites dans la littérature comme les techniques de coffrage, les techniques de régénération osseuse guidée à l’aide de membrane armée en...
  • Lorsque le praticien prothésiste entreprend la réalisation d’une prothèse plurale fixée sur implant, un de ses défis est de mettre en place une armature passive et adaptée. Si la plupart des praticiens impliqués dans les thérapeutiques implantaires sont conscients de cette nécessité, peu ont une vision claire de cette problématique en réalité plus compliquée qu’elle ne paraît. Pourtant, l’inadaptation et le manque de passivité des armatures prothétiques ont de lourdes conséquences sur la pérennité des thérapeutiques implanto-prothétique. Entre passivité et adaptation, quels sont les concepts, les enjeux, et la pratique clinique ?
  • Reflet de notre société dans laquelle l’image est devenue l’un des vecteurs essentiels des échanges entre les individus, de l’intégration aux groupes et de la réussite professionnelle, l’orthodontie connaît un essor exceptionnel. Elle n’est plus seulement réservée principalement aux...
  • Le protocole opératoire d’avulsion de la troisième molaire mandibulaire est largement décrit dans les manuels de chirurgie. Cet article, à destination des praticiens et des étudiants, vise à mettre en exergue les séquences importantes de la thérapeutique, rassemblées en 10 points clés pour des...
  • Le système d’implant Patent™ (Zircon Medical Management AG) est fabriqué à partir de zircone Y-TZP. Grâce à un procédé de fabrication breveté, on obtient une rugosité de surface unique. La rugosité de surface se traduit par des propriétés hydrophiles et ostéoconductrices qui favorisent...
  • MOTIF DE CONSULTATIONUne patiente de 42 ans est adressée par son dentiste traitant pour une lésion interdentaire entre 46 et 47 évoluant depuis plusieurs mois. DÉMARCHE DIAGNOSTIQUE La patiente ne présente pas d’antécédents médico-chirurgicaux notables. Aucune intoxication éthylo-tabagique n’est...
  • La perte osseuse alvéolaire verticale est un défi majeur en chirurgie pré-implantaire. Elle présente des problèmes liés au volume osseux mais également à la disponibilité limitée des tissus mous. Une complication fréquente des greffes verticales est la déhiscence des tissus mous menant à...