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  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • Les implants sous-périostés souffrent d’une mauvaise réputation, fondée sur une pratique d’un autre temps. Les principaux défauts - déficit d’ajustage et absence de biocompatibilité - ont été corrigés par l’apport de la CFAO et l’utilisation du titane. De plus, nous avons observé ces dernières années l’arrivée de nouveaux produits sur le marché. L’implant SUB de la société Panthera Dental, développé en collaboration avec le Dr Yvan Poitras, apporte dans ce contexte une solution dans la gestion des secteurs postéro-mandibulaires atrophiques.
  • Dans notre pratique quotidienne, certains patients se présentent en consultation avec des délabrements importants de la cavité buccale, en recherche de solutions pour retrouver une mastication et une esthétique correctes. À l’heure actuelle, l’évolution de l’implantologie et de la prothèse...
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • La résorption alvéolaire post-extractionnelle ainsi que le phénomène de pneumatisation du sinus maxillaire entraînent une diminution des volumes osseux disponibles pour positionner des implants [1]. La réhabilitation des secteurs maxillaires postérieurs nécessite ainsi le plus souvent l’augmentation...
  • Les chirurgies plastiques parodontales occupent une place de plus en plus importante dans la prise en charge des patients, tant en exercice spécialisé qu’en omnipratique. Elles ont pour intérêts l’amélioration de l’esthétique du sourire, le renforcement et la modification du phénotype parodontal...
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • Les augmentations osseuses représentent un défi important lors de la réhabilitation implantaire des maxillaires. Parmi les nombreuses techniques existantes, la greffe autogène en coffrage proposée par Khoury offre beaucoup de sécurité et de reproductibilité grâce à l’usage et à la préparation spécifique de blocs osseux d’origine rétromolaire mandibulaire. Ce faisant, cette chirurgie est associée à une courbe d’apprentissage longue et reste une chirurgie à main levée, tant lors du prélèvement osseux que de la greffe elle-même. L’intégration du flux digital dans les augmentations osseuses en bloc permet de rendre cette chirurgie plus prédictible, plus accessible au plus grand nombre. Enfin et surtout, la shell technique 2.0 permet de planifier l’augmentation osseuse en fonction du projet prothétique déterminé en amont.
  • Lors d’une augmentation osseuse simultanée à la pose de l’implant, plusieurs techniques sont décrites. L’utilisation de greffons osseux autogènes présente un avantage de par leur pouvoir ostéo-inducteur et ostéo-conducteur. L’absence de rejet liée au fait que l’os appartient au patient réduit le risque d’échec. L’avantage des techniques utilisant de l’os autogène est leur moindre coût pour le patient. En revanche, la quantité d’os est limitée et son prélèvement nécessite parfois un second site chirurgical qui entraîne des suites post-opératoires plus compliquées. Au contraire, les greffes osseuses xénogènes se caractérisent par une quantité illimitée de biomatériau et l’absence d’un second site chirurgical mais l’utilisation de ces biomatériaux entraîne un surcoût. Les deux techniques, autogène et xénogène, sont présentées avec leurs indications à travers des cas cliniques.
  • La chirurgie guidée permet aujourd’hui de positionner des implants selon une planification chirurgicale et prothétique dans le but d’obtenir des profils d’émergences prophylactiques et esthétiques. Néanmoins, les résorptions osseuses post-extractionnelles nous contraignent souvent à placer des implants en position plus linguale, ce qui crée un sur-contour prothétique néfaste à long terme. Nous pouvons guider la position d’un implant mais comment guider la position de la greffe pour garantir un environnement tissulaire sain.
  • Nous avons tous déjà vécu ou entendu parler d’une expérience décevante lors de la réalisation d’une extraction/implantation immédiate dans le secteur antérieur. La littérature n’est pas toujours tendre avec cette technique. Mais le risque de ce protocole est-il une réalité scientifique ? Les protocoles modernes décrits pour la gestion des cas esthétiques en extraction/implantation immédiate fournissent les clés pour obtenir des résultats esthétiques reproductibles, la technique devenant un allié de choix pour la préservation tissulaire.
  • L’implantologie d’aujourd’hui voit émerger régulièrement et fréquemment des techniques, implants ou matériaux nouveaux, permettant une chirurgie de moins en moins invasive. Ce faisant, suite à des pertes tissulaires importantes, de nombreuses situations imposent une chirurgie de reconstruction des...
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.
  • Une avulsion dentaire conduit à une perte osseuse dans les sens vertical et horizontal. Selon la loi de Wolff, l’os se forme et se résorbe en fonction des contraintes mécaniques qu’il subit ; l’absence de support dentaire entraînera un phénomène de résorption de l’os alvéolaire (figure 1)....
  • En préambule, il est important de noter que l’utilisation de cette technique doit avant tout prendre en considération certains points : - une stabilité primaire de l’implant importante étroitement liée à la densité osseuse du site implantaire, au protocole chirurgical et à un design implantaire...
  • La mise en charge précoce exige une séquence de traitement rigoureuse dont chaque étape doit être scrupuleusement respectée et validée avant de passer à la suivante. Néanmoins, avant de décrire le protocole en détails, il est important de définir le cadre dans lequel nous souhaitons intégrer notre...
  • Les années 80 ont forgé dans nos mémoires l’avènement des implants, validés scientifiquement par Brånemark alors que démarrait au même moment l’évolution des surfaces lisses vers semi-rugueuses, pour une meilleure ostéointégration. À cette même époque est passé inaperçu l’immense travail...
  • Les récessions tissulaires marginales ou récessions gingivales sont définies par le déplacement du tissu gingival marginal apicalement à la jonction amélo-cémentaire. Elles sont très répandues, avec une prévalence estimée à 50 % pour les sujets âgés de 18 à 64 ans et à 88 % pour les sujets...
  • Colorations ? Mauvaise haleine ? Déchaussement ? Oui bien sûr… Mais n’oublions pas aussi… Douleur post-opératoire, échec implantaire, cannabis et vapotage.
  • Le maxillaire postérieur édenté représente un défi thérapeutique pour le traitement implantaire. Après avulsion, la résorption osseuse et la pneumatisation du sinus maxillaire peuvent aboutir à une hauteur osseuse résiduelle réduite, souvent associée à une diminution de la densité osseuse. La...
  • Dans les années 70, les concentrés plaquettaires sont introduits sur le marché comme adjuvant chirurgical pour diminuer les risques hémorragiques. Mais, en France, il est interdit de manipuler et de changer la composition biochimique du sang. En 2012, le Dr Joseph Choukroun décrit un concentré...
  • OBJECTIF Déterminer le protocole de prescription antibiotique le plus efficace dans la réduction des infections post-opératoires en implantologie. MATÉRIEL ET MÉTHODES Les auteurs ont réalisé un essai clinique contrôlé randomisé en simple aveugle. Les patients inclus avaient consulté le service de...