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  • Les bains de bouche antimicrobiens prétendent réduire la plaque dentaire et ainsi atténuer les principales maladies orales induites par la plaque que sont les maladies carieuses et parodontales. Ils pourraient aussi avoir un effet sur l’halitose. Leur intérêt est grandissant pour les soins...
  • Les bains de bouche à la chlorhexidine, au chlorure de cétylpyridinium et aux huiles essentielles présentent une efficacité clinique en réduisant la plaque dentaire supra-gingivale et l’inflammation gingivale. Toutefois, aucun bain de bouche ne peut agir seul : ils sont à utiliser en complément de...
  • Le processus coronoïde, ou apophyse coronoïde, est une saillie osseuse antérieure du bord supérieur du ramus de la mandibule, qui reçoit principalement l’insertion du muscle temporal. Dans le cadre d’une hyperplasie des processus coronoïdes, leur taille augmente, ce qui entraîne progressivement un...
  • L’engouement pour l’implantologie orale repose sur l’opportunité que cette discipline offre en termes de bénéfices thérapeutiques et de taux de succès rapportés des traitements. Si la péri-implantite s’est invitée en tête des préoccupations qui viennent obscurcir ce tableau idyllique, des infections postopératoires parfois très précoces peuvent compromettre la survie des implants ou altérer l’état de santé général de nos patients.
  • Les ostéites des mâchoires sont des manifestations inflammatoires, associées ou non à une infection, qui peuvent aller de l’alvéolite simple à de véritables ostéonécroses. En tant que chirurgien-dentiste, notre rôle est de savoir les diagnostiquer, les prendre en charge mais aussi les prévenir. Ainsi, il est fondamental de savoir évaluer les contextes médicaux locaux ou généraux à risque.
  • Les cellulites cervico-faciales (CCF) sont des pathologies infectieuses de la sphère oro-faciale relativement fréquentes qui présentent des tableaux cliniques variés. Prises en charge rapidement et de façon adaptée, leur pronostic est bon mais certaines formes graves peuvent engager le pronostic vital du patient. Les chirurgiens-dentistes se doivent de bien connaître ces pathologies, de savoir identifier les signes de gravité et d’assurer une prise en charge correcte du patient ou, le cas échéant, de l’adresser en milieu hospitalier.
  • Les maladies parodontales nécrosantes (MPN) sont les plus graves affections associées aux bactéries du biofilm oral car elles peuvent entraîner une destruction tissulaire rapide. Caractérisées par une nécrose de la gencive, des douleurs vives, des saignements et souvent une altération de l’état général, les MPN font partie des urgences parodontales. Le diagnostic précoce et le traitement rapide préviennent la progression de la maladie et la destruction parodontale.
  • Les classifications des lésions endo-parodontales ont toujours suscité débats et discussions au sein de la profession. Concernant la plus récente, établie en 2018, son principal avantage est de ne plus axer la démarche diagnostique sur l’étiologie primaire et le mode de propagation du processus infectieux comme le préconisent les classifications plus anciennes. Ainsi, les auteurs de cette nouvelle classification internationale proposent un outil de travail pragmatique, reposant sur une arborescence diagnostique permettant de mieux évaluer le pronostic et de personnaliser la démarche thérapeutique.
  • Avec l’avènement des implants dentaires au cours des années 1980 et leur démocratisation au XXIe siècle, un changement de paradigme dans la conception prothétique s’est opéré et une diminution de l’utilisation des attachements prothétiques a été observée. Il existe cependant des situations où le traitement implantaire n’est pas retenu pour des raisons médicales, esthétiques ou économiques. Reviennent alors les alternatives de prothèses composites. L’objectif de ce cas clinique est d’illustrer que le implant first ne peut faire oublier les attachements.
  • MOTIF DE CONSULTATION Une patiente de 66 ans est adressée par son médecin traitant pour un nodule muqueux jugal droit apparu progressivement il y a plusieurs mois. DEMARCHE DIAGNOSTIQUE La patiente n’a pas d’antécédents médico-chirurgicaux ni de traitement médicamenteux notables. Elle ne rapporte...
  • La réimplantation intentionnelle se définit comme l’avulsion délibérée d’une dent, suivie de sa réinsertion dans l’alvéole, ceci après avoir évalué ses surfaces radiculaires et réalisé une réparation radiculaire et/ou une prise en charge sur le plan endodontique [1-3]. Elle se destine aux...
  • Les résorptions correspondent à la disparition progressive d’un tissu dur (dentine, cément et/ou os) par l’action de cellules clastiques. Contrairement à la rhizalyse, qui correspond à la résorption radiculaire physiologique des dents temporaires, la résorption des dents permanentes est toujours...
  • Éviter la réalisation d’un traitement endodontique améliore les taux de survie des dents permanentes [1]. Face à cette observation, la dentisterie restauratrice et l’endodontie prennent en compte, depuis quelques années déjà, cette nécessité de s’orienter vers une approche minimalement invasive...
  • La mise en charge immédiate en secteur postérieur est peu utilisée malgré l’accumulation progressive des preuves de faisabilité. Pour le patient, l’accélération de la prise en charge et le confort immédiat sont deux nettes avancées. La bonne sélection des patients et la gestion rigoureuse des contraintes occlusales restent toutefois des conditions nécessaires à une réussite thérapeutique. Le présent cas clinique décrit une approche technique réalisable dans un cabinet d’omnipratique pour un remplacement en occlusion d’un édentement unitaire encastré dans le secteur postérieur à l’aide d’une prothèse transitoire.
  • En présence d’une malocclusion et/ou de malpositions dentaires, un traitement orthodontique est souvent requis mais il peut ne pas être suffisant sur le plan esthétique lorsqu’une anomalie est survenue au cours de l’éruption dentaire. Des techniques chirurgicales d’allongement des couronnes cliniques peuvent s’avérer nécessaires. Cette complémentarité orthodontie/parodontie souligne l’importance d’un diagnostic esthétique et fonctionnel commun entre orthodontiste et parodontiste.
  • La compréhension de l’espace biologique ou attache supra-crestale est essentielle. Elle permet l’optimisation des résultats esthétiques et fonctionnels en dentisterie restauratrice, esthétique et en implantologie. L’espace biologique peut se trouver altéré ou délocalisé. L’élongation coronaire trouve alors son intérêt dans la gestion de cet espace biologique. L’avènement de la dentisterie minimalement invasive a permis de développer différentes approches d’élongation coronaire. L’objectif de cet article est de préciser le concept de l’espace biologique, son évolution et sa relation avec l’élongation coronaire.
  • « Remontée de marge cervical »… voilà un terme qui, depuis longtemps, est source de débats houleux et passionnés entre ses fervents afficionados (qui y trouvent une procédure phare de l’économie tissulaire) et ses brûlants détracteurs (qui y voient une hérésie biologique). Qui est dans le vrai ? La vérité est souvent au milieu ! Cet article bousculera les certitudes en remettant en question la notion traditionnelle « d’espace biologique » et en faisant le point sur cette fameuse « remontée de marge cervicale », décrite comme une des techniques adhésives les plus difficiles à mettre en œuvre. L’objectif est d’en définir les avantages, les inconvénients et, surtout, les limites de son indication.
  • Dans notre pratique quotidienne, certains patients se présentent en consultation avec des délabrements importants de la cavité buccale, en recherche de solutions pour retrouver une mastication et une esthétique correctes. À l’heure actuelle, l’évolution de l’implantologie et de la prothèse...
  • PREMIÈRE CONSULTATION La patiente se présente au cabinet en 2018. A la suite de la prise en charge par un confrère, elle explique que les deux barres posées se sont fracturées à deux reprises après 15 jours. La patiente est contrariée, elle n’a plus confiance dans les solutions amovibles...
  • La péri-implantite, comme la parodontite, est causée par des bactéries qui adhèrent à la surface de l’implant et s’organisent en biofilms [1]. Par conséquent, les traitements des maladies parodontales et des pathologies péri-implantaires partagent le même objectif principal : l’élimination du...
  • Derrière chaque patient traité par la technique du All-on-4, il y a une histoire : celle d’un patient édenté avec son lot de souffrance (rappelons qu’en France 33 % des plus de 65 ans seraient édentés) [1]. La littérature nous montre que, pour le patient, la prévisibilité du traitement et...
  • Dans de nombreuses situations de réhabilitation implantaire, une reconstruction osseuse est nécessaire en amont ou en concomitance à la pose implantaire, cela en fonction du défaut osseux initial. Les échecs, bien que rares, peuvent tout de même être présents de façon précoce (dans les semaines qui...
  • « Le succès est l’échec de l’échec… » (Delphine Lamotte). Les restaurations postérieures (directes et indirectes) occupent une place importante de l’activité des omnipraticiens. Compte tenu de la quantité et du fait qu’aucune restauration n’est éternelle, il est normal d’être...
  • Le nasal lift est une technique opératoire permettant d’améliorer les conditions anatomiques préalables à l’implantation dans un prémaxillaire atrophié. Elle doit être considérée comme une alternative à des greffes verticales d’apport au niveau antérieur avec une fiabilité similaire à celle des interventions d’élévation du plancher sinusien.
  • La régénération osseuse guidée verticale permet une régénération osseuse assez stable dans le temps. Cette technique permet aussi de régénérer les 8-9 mm d’épaisseur d’os requis afin de pourvoir 2 mm d’os sur toute la circonférence des implants, épaisseur nécessaire pour la stabilité à long terme du niveau osseux péri-implantaire.