Editorial - JPIO n° 1 du 01/02/2004
 

Journal de Parodontologie & d'Implantologie Orale n° 1 du 01/02/2004

 

Editorial

Paul MATTOUT *   Salomon AMAR **  

Chers Amis, Chers Abonnés,

Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2004 pour vous et vos familles.

Je souhaite également que le JPIO continue de répondre à vos attentes et progresse pendant l'année 2004 dans la voie qui est la sienne parmi les journaux de référence en parodontologie et en implantologie.

Ce numéro spécial est la suite du travail initié par le rédacteur en chef invité...


Chers Amis, Chers Abonnés,

Je vous souhaite une bonne et heureuse année 2004 pour vous et vos familles.

Je souhaite également que le JPIO continue de répondre à vos attentes et progresse pendant l'année 2004 dans la voie qui est la sienne parmi les journaux de référence en parodontologie et en implantologie.

Ce numéro spécial est la suite du travail initié par le rédacteur en chef invité : le Pr Salomon Amar de l'Université de Boston, qui a réuni les spécialistes et les chercheurs internationaux les plus performants dans le domaine de la cicatrisation. Je lui souhaite le plus grand succès dans cette voie. Ces deux numéros feront date et s'inscrivent totalement dans la politique éditoriale du JPIO.

Paul MATTOUT

Chers Amis, Chers Abonnés

Je m'associe au rédacteur en chef, Paul Mattout, pour vous souhaiter une bonne et heureuse année 2004 pour vous et vos familles.

Je dédie tout particulièrement ce numéro à Edel Ora et à tous ceux qui espèrent une cicatrisation.

Je formule tous mes vœux pour qu'ils puissent trouver un prompt et complet rétablissement.

Ce numéro spécial est la suite du numéro n° 4/2003 sur la « Cicatrisation parodontale » qui, je l'espère, répondra à vos attentes dans ce domaine important de la parodontologie.

Dans ce numéro, Caton nous montre tout l'intérêt de la déminéralisation de la surface radiculaire qui favoriserait la régénération des tissus parodontaux en permettant la fixation de la fibrine, puis la régénération fibreuse.

Aukhil fait une revue des facteurs moléculaires permettant de restaurer l'architecture tissulaire du parodonte. Dans le travail de Pitaru, les nouveautés dans la biologie du cément sont exposées, en particulier en ce qui concerne les cellules progénitrices du cément et les protéines cémentaires.

Enfin, l'article de Bales-Kogan et Amar évoque un réseau complexe de cytokines intervenant dans le contrôle des maladies parodontales et leur rôle potentiel dans la cicatrisation parodontale.

Permettez-moi de remercier les auteurs qui ont bien voulu participer à cet important numéro spécial.

Mes remerciements vont également vers toute l'équipe de la rédaction du JPIO et au rédacteur en chef, Paul Mattout.

Je vous souhaite à tous une excellente lecture.

Salomon AMAR

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