- JPIO n° 03 du 01/08/2008
 

Journal de Parodontologie & d'Implantologie Orale n° 03 du 01/08/2008

 

ÉVALUEZ VOS CONNAISSANCES

LA PLACE DE LA RÉGÉNÉRATION OSSEUSE GUIDÉE DANS LES TECHNIQUES DE RECONSTRUCTION OSSEUSE

P. MATTOUT, C. MATTOUT, C. VAIDA

En ROG, la membrane est mise en place après un lambeau :

a) d'épaisseur totale

b) d'épaisseur partielle

Une membrane non résorbable permet le passage :

a) de cellules

b) de tissus

c) de fluides

Les contours de la...


LA PLACE DE LA RÉGÉNÉRATION OSSEUSE GUIDÉE DANS LES TECHNIQUES DE RECONSTRUCTION OSSEUSE

P. MATTOUT, C. MATTOUT, C. VAIDA

En ROG, la membrane est mise en place après un lambeau :

a) d'épaisseur totale

b) d'épaisseur partielle

Une membrane non résorbable permet le passage :

a) de cellules

b) de tissus

c) de fluides

Les contours de la membrane doivent reposer sur :

a) de l'os

b) du périoste

Une membrane non résorbable doit rester enfouie pendant :

a) 1 à 2 mois

b) 2 à 4 mois

c) 8 à 10 mois

En ROG, le tissu régénéré :

a) permet l'ostéointégration

b) ne permet pas l'ostéointégration

c) se résorbe

GREFFES CONJONCTIVES ENFOUIES ASSOCIÉES OU NON AUX PROTÉINES DE LA MATRICE AMÉLAIRE (EMDOGAIN®) : ÉTUDE PRÉLIMINAIRE

S. VINCENT, B. DURAND, S. DUFFORT

Les dérivés de la matrice amélaire :

a) amènent des résultats fiables dans le traitement des défauts infra-osseux

b) peuvent être associés à des techniques de chirurgie plastique parodontale

c) peuvent améliorer la phase précoce de la cicatrisation des tissus mous

L'adjonction d'Emdogain® aux greffes conjonctives enfouies :

a) augmenterait le pourcentage de recouvrement radiculaire

b) entraînerait une régénération sur les surfaces radiculaires greffées

c) doperait la cicatrisation des tissus mous

Emdogain® s'utilise :

a) sur une plaie humidifiée

b) après surfaçage de la racine dénudée

c) exclusivement dans le recouvrement des récessions unitaires

APPLICATION DE LA FIBRINE RICHE EN PLAQUETTES (PRF) DANS LE TRAITEMENT DES RÉCESSIONS TISSULAIRES MARGINALES : RAPPORT DE 2 CAS

Z. ISMAILI, M. SEFFAR, O. K. ENNIBI

Après centrifugation du sang dans le tube sans anticoagulants, le PRF correspond :

a) à la fraction supérieure composée de plasma

b) à la fraction moyenne comprenant le caillot de fibrine

c) à la fraction inférieure constituée du culot d'hématies

Les bénéfices du PRF seraient liés essentiellement à la présence :

a) de facteurs de croissance

b) de la trame de fibrine

c) de globules rouges

Les avantages de l'application du PRF lors du traitement des récessions gingivales par rapport aux GCE seraient :

a) la disponibilité

b) la fiabilité

c) la rapidité de cicatrisation

d) le confort postopératoire du patient

LE LASER ER:YAG DANS LE TRAITEMENT PARODONTAL NON CHIRURGICAL : REVUE DE LITTÉRATURE

Z. BADRAN, M. KRÄEHENMANN, O. LABOUX, J.-L. ARDOUIN, B. GIUMELLI, A. SOUEIDAN

Le laser Er:YAG permet :

a) l'ablation des tissus mous uniquement

b) l'ablation des tissus durs uniquement

c) l'ablation des tissus durs et mous

L'utilisation du laser Er:YAG pour le débridement radiculaire :

a) est strictement contre-indiquée à cause de l'effet de calcination du cément radiculaire

b) est possible à condition d'utiliser un « tip » et une énergie adaptées

c) est le traitement de choix en comparaison aux méthodes conventionnelles

La détection automatique du tartre par fluorescence :

a) est scientifiquement établie

b) est établie in vitro, mais ne peut être utilisée in vivo

c) est un argument commercial qui n'a aucun fondement scientifique

ÉVALUATION DE L'ÉTAT PARODONTAL CHEZ LE JEUNE SÉNÉGALAIS DRÉPANOCYTAIRE ET LE PORTEUR SAIN : ÉTUDE PILOTE

H. M. BENOIST, A. SECK-DIALLO, S. DIOP, M. DIOUF, A. DIOUF, M. SEMBENE, P. D. DIALLO

La drépanocytose est une hémoglobinopathie :

a) acquise

b) héréditaire

c) congénitale

Au cours de la drépanocytose, les globules rouges :

a) conservent leur forme sphérique

b) sont déformés en « faucille »

c) augmentent en nombre

L'hypothèse de relation pathogénique entre drépanocytose et parodontite résulterait :

a) des infections

b) de l'occlusion vasculaire par les globules rouges déformés

ANATOMIE CLINIQUE ET CHIRURGICALE DE LA CAVITÉ ORALE : LE SECTEUR MOLAIRE MANDIBULAIRE - II. LE CANAL MANDIBULAIRE ET SON CONTENU

P. CARPENTIER, R. FELIZARDO, G. CLÈDES, D. ETIENNE

Le nerf alvéolaire inférieur :

a) est la nouvelle appellation du nerf dentaire inférieur

b) est une branche du nerf mandibulaire (V3)

c) chemine en dessous de l'artère alvéolaire inférieure dans la partie du canal mandibulaire située en regard de la dent de sagesse

Parmi les lésions neurologiques iatrogènes consécutives à l'avulsion des troisièmes molaires mandibulaires :

a) la prévalence des lésions du nerf alvéolaire inférieur est supérieure à celles du nerf lingual

b) certaines lésions entraînent des douleurs neuropathiques non réversibles

c) comparativement à l'avulsion de la dent de sagesse, la coronectomie est suivie de suites opératoires plus importantes

Les signes d'imagerie traduisant la dangerosité de l'avulsion de la troisième molaire sont :

a) bande radio-claire se projetant sur les racines

b) refoulement et élargissement de l'image du canal

c) rétrécissement des apex