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Les cahiers de prothèse n° 141 du 01/03/2008

 

TEST DE LECTURE

Suite au décret n° 2006-652 du 2 juin 2006, la formation continue des chirurgiens-dentistes est devenue obligatoire. Nous sommes persuadés, à la rédaction, que vous êtes conscients de l’importance de cette formation et espérons que Les Cahiers de prothèse font partie de vos supports réguliers et favoris de formation continue. Destiné à encourager et optimiser la lecture de la revue, ce test a pour objectif de vous faciliter l’accès à la connaissance et la...


Suite au décret n° 2006-652 du 2 juin 2006, la formation continue des chirurgiens-dentistes est devenue obligatoire. Nous sommes persuadés, à la rédaction, que vous êtes conscients de l’importance de cette formation et espérons que Les Cahiers de prothèse font partie de vos supports réguliers et favoris de formation continue. Destiné à encourager et optimiser la lecture de la revue, ce test a pour objectif de vous faciliter l’accès à la connaissance et la mémorisation des points forts de chaque numéro.

OCCLUSODONTIE

La relation centrée myostabilisée : un concept simple, physiologique et consensuel

Jean-Daniel Orthlieb, Jean-Philippe Ré, Christophe Perez, Laurent Darmouni, Bernard Mantout, Gérald Gossin, Anne Giraudeau

1. « Relation centrée » signifie :

a. condyle mandibulaire centré au fond de la fosse mandibulaire

b. alignement des milieux inter-incisifs

c. centrage mandibulaire dans le plan transversal

d. condyle mandibulaire en face du sommet du tubercule articulaire

2. Pour enregistrer la relation centrée, le patient doit être :

a. la tête dans le prolongement du corps avec un appui cervical

b. allongé la tête en hyper-extension

c. assis sans aucun appui dorso-cervical

d. debout

PLAN DE TRAITEMENT PROTHÈSE COMPOSITE

Prothèse fixée maxillaire et prothèse composite mandibulaire : démarche thérapeutique

Arnaud Soenen, Estelle Carreyre, Odile Laviole

3. La prothèse transitoire dans le cadre d’une restauration de grande étendue :

a. préfigure la prothèse d’usage

b. permet de valider les critères esthétiques et fonctionnels

c. fait appel à des prothèses transitoires de 2e génération

d. nécessite un rebasage

e. est issue d’une empreinte à l’alginate

4. Conventionnellement, lors de restauration prothétique globale :

a. La prothèse fixée est réalisée avant la prothèse amovible

b. La prothèse amovible est réalisée avant la prothèse fixée

c. La prothèse la plus stable guide le choix du concept occlusal

d. Toutes les solutions thérapeutiques doivent être présentées à la patiente

e. La phase de temporisation n’est pas nécessaire

ORTHODONTIE

Orthodontie-prothèse : une synergie utile chez l’adulte

Lamia Idrissi Kaïtouni, Salwa Berrada, Fatima Zaoui, Nadia Merzouk, Ahmed Abdedine

5. Dans le traitement combiné orthodontie-prothèse, la maquette prévisionnelle est :

a. nécessaire pour une meilleure communication entre les différents membres de l’équipe soignante

b. utile pour motiver le patient et obtenir son consentement

c. réservée uniquement au contexte des parodontites

d. indispensable pour l’établissement du devis thérapeutique

6. Le redressement orthodontique des axes dentaires est un préalable souhaitable à toute restauration prothétique, car il permet :

a. la conservation de la vitalité pulpaire

b. l’orientation de la résultante des forces occlusales selon le grand axe des dents

c. l’élargissement de l’espace prothétiquement utilisable

d. la prévention des lésions endodontiques

PROTHÈSE MAXILLO-FACIALE

Les empreintes piézographiques en prothèse maxillo-faciale

Laurent Le Guehennec, Pierre Le Bars, Yomin Alloh Amichia, Bernard Giumelli

7. La technique d’empreinte piézographique est indiquée :

a. pour tous les cas de figure

b. en prothèse amovible partielle

c. en présence d’une mandibule édentée de Classe III et IV d’Atwood

8. L’empreinte primaire en piézographie utilisant un tuteur permet de déterminer :

a. la surface d’appui

b. le couloir prothétique

c. la rétention

LABORATOIRE

Apport des soudures au laser en prothèse

Caroline Bertrand, Olivier Laplanche, Angeline Poulon-Quintin

9. Le brasage en odontologie :

a. cette technique d’assemblage fait appel à un métal d’apport ayant des propriétés physico-chimiques parfaitement identiques à celles de l’alliage de base

b. le brasage secondaire est utilisé pour les alliages précieux

c. le brasage est possible sur tous types d’alliages même le titane

10. La soudure au laser :

a. permet un travail de grande précision directement sur moulage en plâtre

b. nécessite le démontage de la résine et/ou de la porcelaine en raison d’une diffusion thermique aléatoire

c. la soudure obtenue est homogène réduisant les risques de corrosion en milieu buccal

d. est le seul moyen efficace de souder le titane et ses alliages

e. les alliages non précieux ont tendance à se fissurer à cause de certains éléments chimiques présents dans l’alliage en faible pourcentage comme le carbone ou le bore, le silicium

f. une mauvaise conductivité thermique est un obstacle majeur au soudage laser

g. les alliages non précieux subissent un affinement très important de leur microstructure qui les rend durs, fragiles et cassants

h. les alliages précieux avec une teneur faible en argent 5 % ne se soudent pas au laser

ODONTOLOGIE RESTAURATRICE

Le système CEREC® : enquête de satisfaction patients/praticiens

Christophe Ghrenassia, Jean-Jacques Guyonnet, Alain Auther, Simon Lucas, Olivier Chabreron, Benoît Sagne, Christian N’Guyen, Pierre Farré, Philippe Guignes, Rémi Esclassan, Michel Sixou

11. L’empreinte optique :

a. semble plus confortable que les empreintes traditionnelles pour les patients

b. paraît permettre un gain de temps pour le praticien

c. fonctionne sur les phénomènes de parallaxe

d. permet de réaliser directement une photo de la préparation

12. Le système CEREC® 3D :

a. a un recul clinique de plus de 20 ans

b. permet l’usinage de pièces céramiques et métalliques

c. permet la réalisation de pièces diverses telles que couronne, endo-couronne, inlay, onlay, facette

d. est réservé à un usage en laboratoire de prothèse dentaire