Évaluez vos connaissances en lisant et relisant Les Cahiers de prothèse

Suite au décret n° 2006-652 du 2 juin 2006, la formation continue des chirurgiens-dentistes est devenue obligatoire. Nous sommes persuadés, à la rédaction, que vous êtes conscients de l’importance de cette formation et espérons que Les Cahiers de prothèse font partie de vos supports réguliers et favoris de formation continue. Destiné à encourager et optimiser la lecture de la revue, ce test a pour objectif de vous faciliter l’accès à la connaissance et la mémorisation des points forts de chaque numéro.

PROTHÈSE COMPOSITE

Prothèse composite maxillaire et prothèse fixée mandibulaire
Démarche thérapeutique pour un traitement global

E. d’Incau, V. Séguéla

1. Pour le cas clinique présenté :

a. un traitement exclusivement par prothèse fixée sur implants est envisageable

b. un traitement exclusivement par 2 PAP est la meilleure solution

c. un traitement prothétique à la mandibule est inutile

2. Pour traiter ce cas clinique :

a. l’utilisation d’articulateur est inutile

b. la réalisation d’un montage directeur est indispensable

c. pour réaliser les prothèses fixées, la position de référence doit être la relation centrée

3. Pour réaliser le traitement prothétique :

a. des reconstructions sectorielles sont les mieux adaptées

b. la reconstruction globale permet une correction intégrale de l’occlusion

c. des enregistrements alternés droite et gauche permettent de prendre en compte l’occlusion validée par les prothèses transitoires

PROTHÈSE FIXÉE

Évolution du design des armatures en zircone pour bridges à ancrages partiels

C. Launois, H. Maréchal

4. L’élaboration d’une armature en zircone peut être faite par :

a. pressée

b. usinage

c. injection

5. La surface de la section au niveau des connexions, conseillée entre les ancrages et l’intermédiaire pour un bridge avec armature zircone est de :

a. 6 à 8 mm²

b. 16 à 18 mm²

c. 26 à 28 mm²

6. La réalisation d’un joint dento-prothétique en céramique pressée sur une armature zircone réduite permet :

a. d’améliorer l’aspect esthétique

b. la fixation plus sûre avec un CVIMAR

c. d’opacifier légèrement le joint dento-prothétique

7. Avant fixation d’un bridge sur base zircone, l’infrastructure zircone doit être :

a. sablée

b. mordancée

c. dépoluée

d. dépolie par meulage avec une fraise diamantée

MATÉRIAUX

Étude comparative de trois techniques d’hygiène sur l’état de surface d’une résine méthacrylique thermopolymérisée

V. Jardel, V. Lannuzel, G. Derrien

8. Quelle équation permet de déterminer le travail d’adhésion en fonction des énergies et de l’angle de contact ?

a. l’équation de Young

b. l’équation de Dupré

c. les équations de Young et Dupré

9. À partir de combien de temps les comprimés effervescents attaquent-ils la résine thermopolymérisée ?

a. 1 semaine

b. 2 semaines

c. 3 semaines

10. En pratique, que doit faire le patient ?

a. utiliser des comprimés effervescents

b. laisser tremper sa prothèse dans une solution de bain de bouche Éludril®, puis la brosser

c. laisser tremper sa prothèse dans une solution de bain de bouche Éludril®

PROTHÈSE FIXÉE

Incidences de la réalisation des prothèses fixées sur la pulpe et le parodonte
2^e partie : prise d’empreinte et assemblage

K. Gritsch, L. Pourreyron

11. La technique d’ouverture sulculaire la moins traumatique est :

a. le curetage rotatif

b. la technique du double cordonnet

c. la déflexion par prothèse fixée provisoire

12. Pour limiter l’agression chimique (acidité) des ciments au phosphate de zinc, il faut :

a. sécher consciencieusement la préparation

b. incorporer progressivement la poudre au liquide

c. augmenter la proportion de liquide

13. La « wash technique » :

a. permet un enregistrement précis des détails cliniques

b. est sans risque pour la vitalité des dents préparées

c. provoque une agression thermique de la pulpe

PROTHÈSE AMOVIBLE PARTIELLE

Prothèse amovible partielle ou prothèse fixée sur implants ?
Réflexions à partir du suivi d’un patient durant 30 ans

J. Schittly, E. Schittly

14. Dans un contexte occlusal équilibré, le pronostic d’un traitement par PAP peut être :

a. équivalent à celui d’un traitement par prothèse fixée

b. limité, car il est nocif pour les dents supports

c. de longue durée, mais avec une altération de la résine acrylique des dents et de la base

15. Pour le cas clinique présenté :

a. le traitement endodontique des incisives et des prémolaires aurait dû être proposé pour favoriser la gestion de l’esthétique d’un bridge

b. en 1978, dans le contexte occlusal décrit, un bridge avec attelles collées aurait pu être proposé

c. un traitement d’orthodontie est indispensable pour envisager un traitement par prothèse fixée sur implants

16. Pour envisager un traitement implantaire pour cette patiente :

a. Il est indispensable de prescrire d’emblée un examen tomodensitométrique (scanner)

b. L’évaluation de la nature du traitement, de sa durée et de son coût approximatifs peut être faite à l’issue d’une observation clinique complète

c. un examen par scanner permettra de préfigurer les axes implantaires et de mieux appréhender les problèmes esthétiques

MATÉRIAUX

Étude électrochimique des alliages Ni-Cr utilisés en prothèse fixée

A. Bennani, M. Amine, S. Eladioui

17. L’alliage Ni-Cr :

a. est un alliage caractérisé par son inertie chimique

b. a un comportement électrochimique qui dépend de sa composition

c. a un comportement électrochimique qui dépend de sa microstructure

18. Le comportement électrochimique de l’alliage Ni-Cr en bouche dépend :

a. du pH de la salive

b. de la température de la salive

c. de la quantité de salive

19. La corrosion électro-chimique du Ni-Cr augmente quand :

a. la température diminue

b. le pH diminue

c. la quantité de métal récupéré diminue

d. la surface du métal est bien polie

e. on est en présence d’un bimétallisme