Évaluez vos connaissances en lisant et relisant Les Cahiers de prothèse
 

Les cahiers de prothèse n° 145 du 01/03/2009

 

TEST DE LECTURE

Suite au décret n° 2006-652 du 2 juin 2006, la formation continue des chirurgiens-dentistes est devenue obligatoire. Nous sommes persuadés, à la rédaction, que vous êtes conscients de l’importance de cette formation et espérons que Les Cahiers de prothèse font partie de vos supports réguliers et favoris de formation continue. Destiné à encourager et optimiser la lecture de la revue, ce test a pour objectif de vous faciliter l’accès à la connaissance et la...


Suite au décret n° 2006-652 du 2 juin 2006, la formation continue des chirurgiens-dentistes est devenue obligatoire. Nous sommes persuadés, à la rédaction, que vous êtes conscients de l’importance de cette formation et espérons que Les Cahiers de prothèse font partie de vos supports réguliers et favoris de formation continue. Destiné à encourager et optimiser la lecture de la revue, ce test a pour objectif de vous faciliter l’accès à la connaissance et la mémorisation des points forts de chaque numéro.

PLAN DE TRAITEMENT
IMPLANTOLOGIE

Gestion implanto-prothétique d’une perte osseuse dans le sens vertical : utilisation de fausse gencive céramique

Thierry Denis, Serge Armand, Philippe Boghanim, Philippe Campan, Louis-Philippe Gayrard, Laurent Gineste, Olivier Le Gac

1. En prothèse sur implants, la fausse gencive céramique :

a. permet de pallier l’aspect de dents prothétiques longues, dans les cas de perte osseuse importante dans le sens vertical

b. est recommandée chez les patients présentant un sourire gingival

c. est disponible dans différentes teintes de céramique rose

2. Le bridge provisoire armé, placé chez le patient totalement édenté au maxillaire, lors d’une mise en charge immédiate sur des implants dentaires :

a. doit être maintenu fixé pendant plus de 6 mois avant la réalisation de la prothèse d’usage

b. sert de fixateur externe sur les implants pendant la phase d’ostéointégration

c. est toujours fixé en technique scellée

3. Un bridge complet implanto-porté au maxillaire :

a. est envisageable avec des rapports des bases osseuses de classe III

b. nécessite la pose de 8 implants et plus

c. peut être confectionné en technique scellée ou vissée

ESTHÉTIQUE

La fausse gencive en prothèse amovible : considérations esthétiques

Olivier Hüe, Jean-Luc Muller, Amélie Fro

4. La visibilité gingivale :

a. est toujours acceptée

b. doit être évaluée

c. est fonction du type de lèvre

5. Le piqueté gingival est :

a. toujours présent

b. associé à des dents carrées

c. associé à des dents longues

PROTHÈSE FIXÉE

Bridges inlay-onlays pour le traitement des édentements unitaires : formes cliniques – Analyse comparative

Tomasz Kondracki, Jean-Luc Pigot, Michel Machureau

6. La réalisation d’un bridge inlay-onlay est indiquée dans les cas :

a. de petites caries ou obturations existantes sur les dents vivantes bordant la zone édentée

b. de dents à pulpe volumineuse et d’hyposialie ou de xérostomie

c. de volume osseux et/ou d’espace prothétique insuffisant pour la mise en place d’un implant unitaire

7. La rétention des préparations des bridges inlays-onlays traditionnels est élevée grâce :

a. au non-respect du parallélisme des parois

b. à la variation et à la complexité des formes de préparation

c. à une faible profondeur de la préparation

8. Les bridges inlays-onlays métalliques présentent un intérêt particulier dans le remplacement :

a. d’une molaire

b. d’une canine maxillaire incluse

c. d’une incisive, le plus souvent mandibulaire

IMPLANTOLOGIE

Prévalence des complications et influence de la restauration prothétique sur les tissus péri-implantaires

Jean-François Keller, Claire Bellanger, Loïc Antoine, Emmanuel Nicolas, Yves Douillard

9. Le manque d’adaptation entre la prothèse et le pilier implantaire est responsable :

a. d’une apparition de la limite prothétique uniquement

b. d’une inflammation péri-implantaire pouvant initier des destructions tissulaires

c. d’une apparition de douleur à la mastication

10. Pour diagnostiquer plus précocement les complications biologiques implantaires tardives :

a. le praticien doit revoir le patient en visite de contrôle tous les ans

b. il faut attendre que le patient se plaigne de douleurs

c. il faut attendre que le patient observe des saignements au brossage

11. Les complications biologiques implantaires sont des complications :

a. rares ne nécessitant pas de précautions particulières

b. sans gravité et ne compromettant pas la réhabilitation implantaire

c. fréquentes et pouvant dans certaines situations aboutir à la perte de l’implant

PLURIDISCIPLINAIRE

Patient polypathologique : conséquences sur la thérapie prothétique

Frauke Müller, Martin Schimmel

12. Chez les patients de plus de 50 ans :

a. la fréquence des visites chez le médecin généraliste diminue

b. la fréquence des visites chez le médecin généraliste augmente

c. la fréquence des visites chez le chirugien-dentiste diminue

d. l’âge n’influence pas la fréquence des visites chez le chirurgien-dentiste.

13. La xérostomie chez les patients âgés :

a. favorise la rétention de la prothèse complète inférieure

b. peut être le résultat d’une multi-médication

c. peut être traitée de manière satisfaisante avec une salive artificielle

d. diminue le risque d’une infection buccale

e. facilite la capacité de parler avec une prothèse complète supérieure

14. Dans le planning d’un traitement prothétique d’un patient âgé :

a. il faut toujours prévoir le remplacement de toutes les molaires

b. il faut prévoir un maximum de crochets pour retenir une prothèse partielle

c. les aspects esthétiques ne sont pas importants

d. il faut considérer que l’adaptation d’une nouvelle prothèse complète peut être difficile

e. l’implantation n’est pas une option