Les prothésistes rejoignent ainsi la position des syndicats de chirurgiens-dentistes qui s’opposent à une dissociation de l’acte prothétique recommandée dans le rapport de l’IGF (Inspection générale des finances) sur la réforme des professions réglementées.
Les prothésistes souhaitent en revanche pouvoir proposer aux patients certains services «
ne nécessitant pas d’actes médicaux ». Ils citent : l’entretien, la réparation, les gouttières sportives, ou encore la prise de teinte.
L’UNPPD demande aussi aux chirurgiens-dentistes de remettre obligatoirement à leurs patients le certificat de conformité édité par le laboratoire. Ce certificat précise l’origine, le lieu de fabrication ainsi que le prix d’achat de la prothèse à la sortie du laboratoire.
Enfin, le syndicat patronal veut faire reconnaître par les syndicats de chirurgiens-dentistes la charte professionnelle CQLAB qui défend la prothèse dentaire fabriquée en France.
ACD