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La réussite d’une réhabilitation esthétique est le résultat d’une étroite collaboration entre le praticien et le prothésiste. Elle est surtout le fait d’une confiance entre le patient et le praticien. Cette confiance s’établit lors de la proposition du traitement par la réalisation de masques visualisant son futur sourire. Les facettes de céramique ne peuvent être scellées provisoirement. Le patient doit “valider” les facettes provisoires : forme, longueur et couleur pour limiter les modifications par des cuissons supplémentaires. La confiance du patient doit s’affirmer lors de la réalisation des éléments provisoires ce qui doit le rassurer. Étape développée dans ce « Pas à pas ». -
Dans le cas d’une restauration prothétique sur dents pulpées intéressant le secteur antérieur, le praticien responsable et conscient de son rôle de thérapeute doit proposer la solution la plus respectueuse des tissus dentaires. Les préparations doivent permettre le collage d’éléments restaurant la fonction, l’esthétique et la pérennité. Le choix de réaliser systématiquement des préparations périphériques dans toutes les situations doit être considéré comme une mutilation surtout si cela s’accompagne d’une dépulpation qualifiée de préventive. Ce n’est en aucun cas une prévention mais bien une mutilation qui pourrait faire l’objet d’une condamnation. -
De nombreuses études menées sur la fiabilité des couronnes en céramique montrent que le taux de réussite se situe aux environs de 95 % au bout de 10 ans. Ce taux si élevé n’est pas le fruit du hasard. Il résulte d’une succession de phases cliniques très rigoureuses. De l’analyse clinique à la fixation, l’exigence porte sur la qualité des préparations et des couronnes provisoires, sur une précision extrême des étapes de laboratoire et sur une concentration de tous les instants lors du collage, instants qui sont illustrés dans ce « pas à pas » en 26 images. -
ADF 2017Le prochain congrès de l’ADF ouvrira ses portes le 28 novembre dans un contexte « un peu particulier », alors que le règlement arbitral – rejeté par toute la profession – doit s’appliquer un mois plus tard, si rien ne s’y oppose. Le secrétaire général de l’ADF, Joël Trouillet, a...
