© Nicolas Piton
Nicolas Piton revient sur l’intégration du scanner intra-oral en prothèse adjointe, qui exige une approche particulière et requiert une certaine adaptation, y compris pour les plus expérimentés.
L’empreinte optique en prothèse adjointe représente un défi global en dentisterie numérique. Elle nécessite de savoir scanner une arcade complète, ce qui suppose une certaine maîtrise et une expérience clinique solide de l’opérateur dans la manipulation du scanner intra-oral.
Ce domaine de la dentisterie est en plein essor et les logiciels d’acquisition progressent afin de retrouver la qualité d’enregistrement équivalente aux empreintes traditionnelles.
Son intégration dans la pratique quotidienne permet d’améliorer le confort du patient et du praticien lors de la prise d’empreinte et permet au laboratoire de traiter sur un même fichier différentes disciplines prothétiques.
L’atout majeur est la simplification dans la réalisation de prothèses adjointes immédiates partielles ou complètes uni ou bi-maxillaires selon le logiciel de modélisation utilisé. Le gain de confort, la stabilité primaire et les atouts cliniques lors de la prise des informations initiales font de l’empreinte optique une technique à prendre en considération.