Implant a lu - Revue de presse
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Cette étude rétrospective détermine le pourcentage de succès d'implants posés dans un cabinet privé sur des patients atteints de maladie parodontale. Les implants posés à la suite d'une extraction dentaire ont été contrôlés durant une période moyenne d'observation de 943 jours (allant de 35 à 4 030 jours maximum).
Au total, 149 patients ont été analysés. Chacun d'entre eux a reçu 1 seul implant (Paragon®, Zimmer Dental). Tous présentaient des pertes...
Cette étude rétrospective détermine le pourcentage de succès d'implants posés dans un cabinet privé sur des patients atteints de maladie parodontale. Les implants posés à la suite d'une extraction dentaire ont été contrôlés durant une période moyenne d'observation de 943 jours (allant de 35 à 4 030 jours maximum).
Au total, 149 patients ont été analysés. Chacun d'entre eux a reçu 1 seul implant (Paragon®, Zimmer Dental). Tous présentaient des pertes osseuses et une maladie parodontale avancée, avec des profondeurs de poche supérieures à 5 mm.
Seuls ceux qui avaient une dent ou plus atteinte de maladie parodontale ont été inclus dans l'étude. Ceux atteints d'une maladie systémique étaient exclus. Tous les implants de 10 à 18 mm de longueur et de 3,3 à 6 mm de largeur ont été posés selon le protocole chirurgical en 2 temps. Plusieurs implants avaient un état de surface de type hydroxyapatite. Dans la majorité des cas, le deuxième temps se situait entre 4 et 6 mois.
Avec 22 échecs implantaires relevés, le pourcentage de succès a été de 85 %. La maladie parodontale est, selon les auteurs, un facteur de risque implantaire non négligeable. Aucune différence significative n'a été notée entre la mise en place conventionnelle d'implants et celle immédiate suite à une extraction.