Within-subject comparison of maxillary long-bar implant-retained prostheses with and without palatal coverage: patient-based outcomes - Implant n° 2 du 01/06/2001
 

Implant n° 2 du 01/06/2001

 

Implant a lu - Revue de presse

Prothèse

Philippe Barthélémy  

Afin de connaître le degré de satisfaction des patients au cours des différentes phases d'un traitement par prothèse sur implants, 15 patients édentés bimaxillaires sont sélectionnés :

- ces patients reçoivent des nouvelles prothèses amovibles bimaxillaires : étape 1 (PAC bimaxillaires) ;

- quatre implants maxillaires et quatre implants mandibulaires sont posés par patient, et après 4 mois, un bridge pilotis est réalisé à la mandibule : étape 2 (PAC maxillaire...


Afin de connaître le degré de satisfaction des patients au cours des différentes phases d'un traitement par prothèse sur implants, 15 patients édentés bimaxillaires sont sélectionnés :

- ces patients reçoivent des nouvelles prothèses amovibles bimaxillaires : étape 1 (PAC bimaxillaires) ;

- quatre implants maxillaires et quatre implants mandibulaires sont posés par patient, et après 4 mois, un bridge pilotis est réalisé à la mandibule : étape 2 (PAC maxillaire opposée à bridge pilotis) ;

- une barre est fixée aux implants maxillaires, et une prothèse supra-implantaire (PSI) est confectionnée, soit avec recouvrement palatin (PSIR), soit sans palais (PSI) : étape 3 (PSI opposée à bridge pilotis) ;

- 2 mois plus tard, l'étape 4 consiste en la transformation des PSIR en PSI, et inversement, on rajoute un palais aux PSI.

À chacune de ces quatre étapes, les patients sont interrogés et répondent à des tests d'évaluation psychométriques.

L'analyse des résultats montre un degré de satisfaction élevé à toutes les étapes. Toutefois, cet indice augmente pour toutes les variables étudiées lors du passage d'une PAC mandibulaire à un bridge pilotis. En ce qui concerne les prothèses maxillaires, les différences sont insignifiantes entre les différentes étapes (PAC, PSIR, PSI), ce qui amène les auteurs à conclure que chez les patients ayant un bon support osseux, la prothèse supra-implantaire maxillaire ne donne pas plus satisfaction que la prothèse amovible conventionnelle.

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