Antimicrobial efficacy of semi-conductor laser irradiation on implant surfaces - Implant n° 1 du 01/02/2004
 

Implant n° 1 du 01/02/2004

 

Implant a lu - Revue de presse

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Éric Guez  

Cette étude in vitro évalue l'effet antimicrobien d'un rayon diode laser de 809 nms, semi-conducteur sur les surfaces implantaires. Trois disques (Friadent) de 1,5 mm d'épaisseur et avec des surfaces différentes, traitées soit à l'acide (SA), soit avec une projection de plasma de titane (TPS), soit à l'hydroxyapatite (HA), ont été incubés dans une suspension microbienne de Streptococcus sanguis pendant 60 min à 37 °C. Les trois disques ont été irradiés par le...


Cette étude in vitro évalue l'effet antimicrobien d'un rayon diode laser de 809 nms, semi-conducteur sur les surfaces implantaires. Trois disques (Friadent) de 1,5 mm d'épaisseur et avec des surfaces différentes, traitées soit à l'acide (SA), soit avec une projection de plasma de titane (TPS), soit à l'hydroxyapatite (HA), ont été incubés dans une suspension microbienne de Streptococcus sanguis pendant 60 min à 37 °C. Les trois disques ont été irradiés par le rayon laser pendant 60 secondes.

Dans les coupes TPS et SA, la population microbienne décroît considérablement à toutes les densités. Plus la densité est élevée, meilleure est la réduction microbienne.

Au niveau des coupes HA, il faut une densité de 2 et 2,5 W seulement.

Les surfaces ont aussi été traitées dans un bain de chlorhexidine et la population microbienne a été éradiquée à 99,99 % comme avec le rayon laser à forte densité ou à une puissance de 2 et 2,5 W pour les surfaces HA. Selon les auteurs, la décontamination par le rayon laser est possible, mais l'effet bactéricide est moins important que la chlorhexidine.

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