Clinical and radiographic evaluation of early loaded free-standing dental implants with various coatings in beagle dogs - Implant n° 2 du 01/06/2000
 

Implant n° 2 du 01/06/2000

 

Implant a lu - Revue de presse

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Thierry Neimann  

Le propos de cette étude pilote, menée sur des chiens beagle, est d'évaluer, avec des paramètres cliniques, dans quelle mesure l'ostéointégration de différents implants dentaires de revêtement de surface différents, non solidarisés par des prothèses et placés dans des conditions de mastication deux jours après la mise en place des implants dans les secteurs mandibulaires postérieurs est prévisible.

Des clichés radiographiques et des mesures de mobilité avec le système...


Le propos de cette étude pilote, menée sur des chiens beagle, est d'évaluer, avec des paramètres cliniques, dans quelle mesure l'ostéointégration de différents implants dentaires de revêtement de surface différents, non solidarisés par des prothèses et placés dans des conditions de mastication deux jours après la mise en place des implants dans les secteurs mandibulaires postérieurs est prévisible.

Des clichés radiographiques et des mesures de mobilité avec le système Périotest ont permis cette évaluation de mise en charge « immédiate » sur une période de six mois.

Quarante implants (diamètre 3,3 mm, longueur 8 mm) sont placés dans les mandibules de quatre chiens beagle.

Les groupes tests comprennent trois implants TPS (Hydroxypatite coatings of titanium plasma sprayed implants) et seuls ces implants avec TPS serviront de contrôle.

Les vis en or et couronnes unitaires ont été placées deux jours après mise en place des implants et les chiens ont reçu une alimentation normale.

Les trois autres groupes testent des implants dont les revêtements hydroxyopatite sont de compositions différentes.

Les vis en or et couronnes unitaires ont été placées deux jours après mise en place des implants et les chiens ont reçu une alimentation normale.

Les implants ont été évalués six mois après la mise en fonction.

Des clichés radiographiques et éléments cliniques ont été enregistrés lors de la réalisation des couronnes, puis à un, trois et six mois.

Sur 40 implants, 39 selon les critères de départ, étaient des succès cliniques. La perte de hauteur interproximale des implants était significative entre les données de départ et l'évaluation après six mois de fonction.

Entre les quatre groupes d'implants, aucune différence significative concernant la perte osseuse n'a été relevée.

Les auteurs concluent qu'une chirurgie atraumatique et une stabilisation primaire correcte sont un préalable au succès de ce type de traitement.

La mise en fonction rapide n'interfère pas sur le processus d'ostéointégration.

Les niveaux de perte osseuse observée à six mois ne varient pas significativement, malgré les revêtements de surfaces différents des implants.

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